J’ai lancé World War Z: Aftermath sans trop d’attentes, et ça s’est révélé être un bon défouloir. Quand les vagues de zombies débarquent par centaines et que tu vides tes chargeurs en panique, ça fait vraiment monter l’adrénaline. Le moteur gère des foules énormes sans broncher, et certaines maps (Rome, Kamchatka) ont une vraie personnalité.
Le gameplay est simple mais efficace : coop à 4, armes qui claquent bien, progression par classes. Ça marche surtout entre potes, parce qu’avec des inconnus l’expérience est souvent plus chaotique.
Là où ça pêche, c’est la répétitivité. Les missions finissent par toutes se ressembler : on défend, on appuie sur un bouton, on tient une position… et on recommence. Le contenu additionnel améliore un peu les choses, mais on n’échappe pas à la sensation de grind.
Aftermath fait très bien ce qu’il promet : un shooter coop nerveux, spectaculaire, mais pas assez varié pour y passer des centaines d’heures.