2013 : une année de série

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Un début d'année qui commence fort. Avec Justified, The Americans et Archer, FX nous montre que la chaîne n'a rien à envier niveau série à HBO.

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La FOX par contre, après nous avoir fait envie avec ce projet et son casting de haute qualité, me déçoit grandement. Des rebondissements à la pelle, des incohérences, les plus mauvais agents du FBI que j'ai jamais vu, vraiment dommage

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Beaucoup ont été déçu par cette saison 2, beaucoup trouve Hannah de plus en plus exaspérante. Personnellement cette saison 2 était aussi bonne que la première. L'épisode One Man's Thrash en particulier, ça passe ou ça casse.

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La série pour reposer son cerveau par excellence. Du sexe cru et de la violence à outrance, tout ça dans le pays des amish, c'était plutôt sympa.

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Netflix débarque dans le monde des séries télés, et frappe fort avec cette série politique. Spacey au sommet, Fincher qui réalise les 2 premiers épisodes. Et pour la première fois, une saison dispo d'un coup.
Netflix refera la même chose avec Orange is the new black pendant l'été.

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Les Gallaghers nous font profiter de leur meilleure saison à ce jour. Un final émouvant qui aurait pu être un series finale

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J'avais peur de cette saison 4, et j'avais raison. On essaye de faire du Harmon, mais ça ne passe pas. Vraiment dommage, en espérant que la saison 5 rattrape le coup.

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La Chaine A&E assez novice dans le domaine des séries télés, nous propose au printemps un préquel à Psychose. Chose qu'on croyait casse-gueule. Au final, ça reste une bonne surprise sans être quelque chose de révolutionnaire.

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1 ère saison que je vois en ayant lu déjà les bouquins. On attend tous l'épisode 9, et personnellement je n'ai pas été déçu. C'est également cette saison qui révèle que Nikolaj Coster-Waldau est un grand acteur.

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Les lundi du printemps, je les adore, Game of Thrones et Mad Men.
Mad Men qui nous sert de nouveau une très belle saison, en dessous de la 5 certes, mais avec un final nettement meilleur.

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Parce que la révélation de l'année en ce qui concerne l'acting, c'est Tatiana Maslany. Son interprétation parfaite des différents clones en font des personnages tous très différent les uns des autres, on en doute parfois que c'est la même actrice. En espérant qu'un brillant avenir lui soit réservé.

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On l'attendait depuis longtemps, Netflix le fait. Une saison 4, qui n'est enfait qu'un gigantesque épisode de 8 heures à se plier de rire. Merci les Bluths, et vivement le film

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Le 19 juin nous quitte un grand monsieur de la télé.
RIP James, tu nous aura marqué dans le rôle de Tony Soprano.

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Veep, c'est drôle, très drôle. Faut pas s'étonner que Julia Louis-Dreyfus remporte l'Emmy de la meilleure actrice. Cette saison encore, elle nous a montré qu'elle est la femme la plus drôle de la télé.

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NBC a pris un risque en nous livrant une série digne du câble. Deux premiers rôles parfaits, un esthétique soigné. La série a longtemps été en ballottage, mais les fans ont permis un renouvellement pour une 2eme saison.

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Pendant que tout les yeux étaient braqués sur CBS et Under The Dome, la pépite de l'été se trouvait sur NBC. Un mélange de Survivor et de Lost. Malheureusement les audiences ne sont pas au rendez-vous, et leur sort de la série est toujours incertain.

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L'été, on a jamais grand chose à se mettre sous la dent. Mais l'été c'est quand même la saison de True Blood. Une 6ème saison toujours aussi WTF, et qui confirme que quand la série doit faire un choix, elle fait toujours le mauvais. Mais bon True Blood, ça reste le guilty pleasure de l'été.

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L’événement de l'année. La saison finale d'une des plus grandes séries de l'histoire. Vince Gilligan ne s'est pas loupé, cette seconde moitié de saison est parfaite, l'une des plus belles choses que j'ai pu voir à la télé.

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Pari risqué que de consacrer son ultime saison à seulement un weekend de mariage, mais contrairement à beaucoup de monde, je trouve cette saison 9 bien meilleur que les 2 précédentes.

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La surprise venue d'Angleterre. Des acteurs talentueux, une bande son excellente, et une réalisation détonante. Pas très habitué des séries anglaises, mais celle-ci à fait mouche

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L'adaptation d'un comics d'un enfant de 5 ans, avec un casting de folie (Nick Offerman, Ken Marino et des guestes tels que Jonathan Banks, Michael Madsen, Alison Brie). C'est complètement con, mais c'est drôle.

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Une saison 6 qui commençait très bien, mais qui est sabordé par NBC qui arrête la programmation de la série en octobre. Une honte. De plus le départ futur de Rashida Jones et Rob Lowe, me conforte dans l'idée que la série ne sera malheureusement pas reconduite pour une septième saison.

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LA nouveauté de l'année. Un Michael Sheen et une Lizzy Caplan épatants. On avait peur que la série tombe dans le vulgaire avec Showtime, mais que nenni, c'est soigné et passionnant.

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A l'heure où les Modern Family, Big Band theory et autre HIMYM perde de la vitesse, cette nouvelle série mené par l'ancien de SNL Andy Samberg, s'impose en quelques épisodes comme l'une des nouvelles valeurs sûres des comédies de network

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Les habitués toujours présent, si Homeland a eu un démarrage plutôt lent même si elle nous a servi un final excellent, Boardwalk Empire a quant à elle, été parfaite tout au long de la saison, pour nous livrer peut-être sa meilleure saison.

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Une saison 6 en dessous, Sutter ayant du régler quelque problème à cause du départ de Donal Logue pour Vikings.
Celà n'empêche pas la série de nous délivrer dans le final, le moment le plus choquant de l'année télévisuelle.

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Getting On, Hello Ladies et Eastbound and Down, ont encore démontré que HBO ce n'est pas que des drama de qualité, mais aussi des comédies grinçantes et hilarantes.

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Sur les networks, c'est toujours pas la folie, mais Sleepy Hollow avec son univers très space arrive à se démarquer.
Agents of SHIELD, le blockbuster de la rentrée s'avère décevant.
Quant à the Blacklist et Hostages, on ferait mieux de les oublier.