2020 au cinéma feat. Festival de Gerardmer

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Cinexperience 158.

Quelle belle façon d'inaugurer une année de cinéma. Un film que j'attendais depuis un moment, le pitch me parlant bien. Et au final, ce fut mieux que ce que je pressentais. Un film à la fois drôle et touchant, sans jamais chercher le larmoyant. Les personnages sont bien travaillés, ceux plus en retrait ont tout de même droit à leurs moments de bravoure. Certaines scènes sont très très drôles, d'autres, forcément, moins. Mais l'ensemble est vraiment intéressant, et brasse des thèmes finalement très larges, entre l'évolution du pays, le rapport à la mort, le deuil, l'expatriation, l'identité ...
Je recommande chaudement.

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J'y allais sans trop en attendre, mais en espérant une série B de luxe divertissante à défaut de révolutionner le genre, un peu comme Life que j'avais trouvé sympa.
Dommage, ce n'est pas le cas ici. Aucun charisme ni attachement vis à vis des personnages, les actions s’enchaînent sans que ça me remue ne serait-ce qu'un peu, c'est pas hyper lisible, les monstres sont juste moches, et j'ai buggé dès le début en ayant l'impression d'un faux raccord dégueulasse lorsque Kirsten Stewart courrait dans les couloirs : un plan pieds nus, un autre avec des chaussures, un autre pieds nus avec des bandages. Un détail au milieu du reste mais ça faisait pas très sérieux.
De plus, les mises à morts sont pas folles, contrairement là aussi à Life qui s'avérait efficace et parfois inventif.
Bref, dommage, un film simplement inutile.

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J'y suis allé un peu au pif, et je ne doit pas être fait pour ce genre de films. Quelques moments de grâce perdus au milieu d'un truc trop cucul pour moi.

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Film choral familial hypnotisant, ou l'on suit à travers les saisons les parcours individuels et familiaux d'une fratrie (et de leurs proches), à partir du moment ou leur mère voit son état de santé décliner.
C'est beau, leurs trajectoires sont subtilement dessinées, la mise en scène aidant, et l'on capture l'essentiel.
Ils sont attachants, totalement imparfaits, et nous permettent également d'avoir une représentation du pays d'un point de vue plus général.
J'ai vraiment ressenti de l'empathie pour eux, de la fille de l’aîné de la fratrie qui se bat pour pouvoir être libre de choisir son futur mari, en passant par le père d'un enfant trisomique qui magouille à tout va pour subvenir à ses besoins et qui s'étoffe énormément au cours du film.

Il ne s'agit de plus que de la première partie de trois films, dont j'attends les suites impatiemment si elles sont aussi réussies (j'ai cru comprendre que ce ne serait cependant pas une suite "directe" dans le sens ou ces personnages ne reviendraient pas).

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Film d'ouverture de Gerardmer. Alors pour le coup, ça ne casse vraiment pas trois pattes à un canard, le film usant de raccourcis et de ficelles grossières, et s'avérant finalement très classique. Il est également peuplé de grosses longueurs. Cependant, je me suis bien marré à plusieurs reprises, même si ce n'est pas toujours très fin. Mais ne l 'étant pas non plus, j'ai été client. Le subtil Skyler sauve le film et se trouve doté de moments de fulgurances efficaces.

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Gerardmer 2020

Je ne suis absolument pas rentré dans le délire. Un film bien chiant durant lequel je n'ai ressenti que du vide et de l'ennui.

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Gerardmer 2020

Un petit thriller à l'atmosphère inquiétante. On se questionne tout du long et on se laisse prendre au jeu malgré quelques grosses ficelles qui seront pardonnées assez facilement.

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Gerardmer 2020

Les films avec des bébêtes agressives, ça me botte toujours, et celui-ci se suit très bien, malgré un côté anxiogène malheureusement trop en retrait.

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Gerardmer 2020

Vu de façon totalement neutre, n'ayant vu l'original. Une bonne série B bien fun et sanglante.

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Gerardmer 2020

J'ai eu un peu peur durant l'intro du documentaire, d'assister à un docu-fiction moisi, mais finalement ce ne fut pas le cas, et il est intéressant d'entendre ces interview mêlant interprétations et anecdotes, ainsi que les liens faits avec les inspirations diverses du projet.

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Gerardmer 2020

Une très bonne surprise pour moi. Un profond dépit pour les deux personnes avec qui je suis au festival. Une lutte de mauvaise foi assumée pour en discuter.

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Gerardmer 2020

Un film de zombie qui charcle bien, généreux et qui se laisse regarder une fois. Des personnages inégaux ainsi qu'une histoire parfois difficilement lisible empêchent de passer un bon moment cependant.

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Gerardmer 2020

Une sombre chiasse, dont on se lasse même de se moquer. Les acteurs sont immondes, les personnages écrits avec le cul, le son infâme...
Un truc infâme dont je me demande comment il peut être assez apprécié pour être diffusé en salles de nos jours.

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Les ressorts horrifiques (notamment un trop plein de jumpscares et de musique trop forte) gâchent une expérience qui avait du potentiel.

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Gerardmer 2020, Nuit Hammer

Un film bien rétro, à la foi malsain et kitsch, qui se regardait bien, et qui se prêtait bien à un événement tel qu'une "Nuit..."
On s'est bien poilés devant.

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Gerardmer 2020, Nuit Hammer

Idem que pour le précédant, il y a quelque chose de sympa à mater ces vieux films un peu naïfs lorsqu'on les regarde aujourd'hui, et interprétés de façon assez théâtrale.

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Gerardmer 2020, Nuit Hammer

Idem que pour les précédents, mais de manière moins kitsch (en le restant tout de même, notamment la coupe de cheveux de Jekyll), le film ayant une ambiance réussie, et se suivant bien.
Malheureusement, étant le 8è film de la journée, et diffusé à 1h30 du matin, j'ai un peu trop lutté pour m'amuser autant que pour les deux autres de cette Nuit Hammer.

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Gerardmer 2020

Un docu passionnant qui laisse la parole à Friedkin durant 1h45.

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Gerardmer 2020

Décevant. L'ambiance est réussie, quelques scènes très efficaces, mais le fin mot de l'histoire m'a sorti du film. Belle performance de Riley Keough.
J'aimerai bien le revoir tout de même, petit moment de fatigue durant la séance, j'ai dû lutter pour tenir.

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Gerardmer 2020

Belle ambiance étrange, mêlant le côté propre et le sentiment de malaise. Le début fonctionne très bien, mais ça se tasse un peu au milieu, pour regagner en intérêt sur la fin. Le film aurait gagné à conserver son humour du début un peu plus par la suite.

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Gerardmer 2020, nuit décalée

Les mots me manquent.

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Gerardmer 2020, nuit décalée

Après le pilon anal brutal que fut Alien Crystal Palace, n'importe quelle merde aurait fait l'affaire. Un petit film rigolo qui rempli bien son office pour une soirée sous le signe du film de groupes fun, con et sanglant. Les satanistes sont bien cons et clichés (volontairement), c'est généreux en scène poilantes et sanglantes, ça fait l'affaire.

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Gerardmer 2020, nuit décalée.

Un slasher aquatique à la Piranha (sans la menace animale) avec du jeune couillon débauché, du gore, un carnage final peu avare en tripaille, pas trop long, ça se prêtait également bien à la soirée, avec de bons applaudissements à chaque décès.

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Gerardmer 2020

Un film de genre orienté grand public, pas spécialement mon truc mais il se suivait sans trop de déplaisir.
Il utilise cependant ses grands sabots au moment de faire passer les émotions (musiques pas très subtiles...), et s'avère un peu trop niais.

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Gerardmer 2020

Oulala que ce fut long. C'est dommage parce qu'il y a des trucs sympas sur la partie western mais c'est long et les passages "trip halluciné" sont pas tenables, c'est hyper chiant et moche.

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Gerardmer 2020

Un petit film d'horreur coréen pour clôturer le festival, ça sonnait bien. Malheureusement, c'est une bonne daubasse, clichée, inintéressante et inutile.

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Excellent moment. Le film ne joue pas sur la carte de la comédie couillonne, et se ballade entre plusieurs tons. Il possède évidemment des moments très drôles, mais réussit à être touchant, critique et triste tout en gardant un ton léger, à hauteur de point de vue de l'enfant qu'il suit.
L'humour gagnerait cependant par moment à être plus subtile.
Les acteurs sont bons, mention spéciale pour Sam Rockwell, à contre emploi, et à son partenaire Alfie Allen (plus en retrait mais pourtant indissociable).

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Impressionnant, techniquement fou, et qui réussit à ne pas être tape à l'oeil. Quelques scènes sensationnelles au milieu d'un film qui prend au tripes en jouant sur l'ambiance et la tension. A voir dans les meilleures conditions possibles.

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1ère séance n°1 (event SC)

Très particulier, mais le film m'a hypnotisé. La scène d'intro est très prenante, vraiment bien foutue (il s'agit en fait du cours métrage originel auquel fait suite le film), et le reste du film est intriguant, car la relation entre Helena et Jean est équivoque, même si au coeur de celle-ci se trouve un attachement sincère. Cela peut donner lieu a des moments de malaise et de frustrations, mais c'est tout de même intéressant.
Un film à voir, que je conseille en tous cas car il regorge de choses intéressantes.
Et un vrai coup de coeur pour le travail sur l'image qui nous donnes des plans superbes notamment sur les paysages naturels.

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Le sujet est passionnant, le film retrace de longues années d'investigations et de procédures, ce qui tend à le rendre bancal et non exhaustif. Mais il réussit néanmoins à nous plonger efficacement dans une affaire une nouvelle fois déprimante quant à notre pouvoir et quant à la bienveillance de tout ce qui est puissant et fortuné.