2020 : L'oeil évadé - cinéma

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04 Janvier 2020

Court métrage de 5 minutes marquant les débuts de Makoto Shinkai, l’ambiance et les thèmes propre a son cinéma sont pourtant déjà là. She and her Cat parle déjà de la connexion dans la séparation, de la difficulté a communiquer, du temps qui passe et de la météo. Parvenant même a être touchant malgré la durée extrêmement courte.

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04 Janvier 2020

Un autre court des début de Makoto Shinkai, ici un peu plus ambitieux malgré le manque total de moyen et de personnel. Voices of a Distant Star parle déjà d'une séparation et d'une connexion entre deux être qui s'aiment a l'autre bout de l'espace et du temps. L'une des bonnes idées du court métrage étant non pas de rendre la communication impossible entre les deux personnages mais plutot limité par le temps qu'elle mettra a arriver a l'autre. Visuellement, s'il ne vieillit pas extrêmement bien, c'est tout de même magistrale pour un travail fait par une seul personne.

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07 Janvier 2020

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11 janvier 2020

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3 Février 2020

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08 Février 2020

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18 Avril 2020

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1 Mai 2020

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07 Mai 2020

Chef d'oeuvre onirique et poétique

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05 Juin 2020

vraiment un film magnifique sur le gain d'indépendance, le passage à l'âge adulte
Ça parle de voyager seul, de se débrouiller seul, mais aussi du coup de l'importance d'avoir quelqu'un à ces côtés
Des ptites difficultés de la vie tout ça
C'est carrément dans la tradition slice of life de ghibli, d'ailleurs à mon avis Takahata doit être assez impliqué dans celui ci
Et on croirais pas forcement comme ça mais le film est juste giga beau en terme d'animation, les séquence de vol sont toutes carrément magiques, les décors sont sublimes et font vraiment vivre la ville, on la construit dans sa tête au fil du film tellement c'est précis, c'est bourré de ptite scènes attendrissante
Yas un très beau passage qui parle de la création artistique et de l'entreprenariat , de trouver sa voie aussi
En fait c'est assez géniale comme il arrive à faire un film qui soit à la fois mature et pour les enfants
Yas aussi un ptit charme rétro qui fais vraiment fondre le cœur, on a l'impression d'être émerveillé chez les meilleur grand parents du monde.
Un moment où Kiki écoute la radio sur son balai, un son de city pop japonaise des 70's, dans un vol de nuit en partant de chez elle, Magnifique
d'ailleurs l'ost est magistrale ( évidement !) elle comporte clairement l'un de mes morceaux préféré de toute les compo de Hisaishi ( Umi no Mieru Machi )
Bref un magnifique film feel good

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01 Juillet 2020

ça a très bien vieilli, surrement bien mieux que les épisodes suivant, le n&b donne vraiment une esthétique sobre et stylé.
Dans la real yas une pure idée de génie, c'est de filmer de vrai décors comme si c'étais des maquettes, beaucoup de plan vu de très haut avec des foules qui courent et ce genre de choses, ce qui est bien c'est que ça permet d'être moins flagrant quand il utilise vraiment des décors en maquette, ça donne de la cohérence. Pour autant il y a aussi des très bon moment plus en intimité notamment quand on vois les pertes humaines dans les hôpitaux où les dilemmes scientifiques.
Mais surtout ce qui est fou c'est tout le côté politique et social, on est vraiment dans un contexte de japon d'après guerre, très pauvre et ça se voit. On te parle clairement de la bombe h, de radiation, de relation mondiale, de catastrophe déclenchés par l'homme, de la science en tant qu'arme ect...
On te dis clairement que Gojira a été réveillé par les essais nucléaire américain, sans pincettes, c'est même pas métaphorique en fait mdr pour autant le Japon prend aussi de mauvaise décision, genre le gouvernement qui décide de ne pas communiquer l'existence de Gojira pour ne pas aggraver encore plus leur relation avec les US
Franchement je suis pas déçu, c'est vraiment un film sérieux et intéressant, c'est pas de la blague

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01 Juillet 2020

kitsch et rigolo, mais bien loin de la sobriété et l’intelligence de l'original

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02 Juillet 2020

c'est un pure dinguerie à tout les niveaux franchement. Le film est hyper cohérent avec son époque ils se contente pas juste de remaker, l'ancien mais propose un nouveau discours social et politique ultra pertinent et beaucoup plus actuel. La mise en scène est démentielement cool, rythmé et énervé , je le met easy dans ma liste de films de furieux.
L'ost est incroyable avec carrément des pistes de Evangelion
C'est une version de Gojira qui présente un espèce d'enfer Kafkaïen, ou chaque procédure ralenti les actions concrètes, avec des hommes de pouvoir incapable de prendre des décisions et de réagir aux événements.
Franchement c'est un monument mon seul regret c'est de pas l'avoir vu au ciné

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02 Juillet 2020

quelle claque.
je pensais déjà connaître king kong mais wallah ça m'as surpris.
Le film est putain de bien écris, toute les thématique auquel on peux penser sont soigneusement évoqué, et bizarrement il est beaucoup plus profond que ce qu'on pourrait croire. Ça te parle d'aventure, ça te parle d'amour, de civilisation et de cinéma, c'est beau.
Mais surtout, c'est un monument, une masterpiece d'artisanat.
À partir du moment où on arrive sur l'île, la c'est le délire total, des mate painting de folies sur tout les plans, des fuckin dinos en stop mo giga stylé, des effets spéciaux parmis les plus cool et stylé que j'ai vu de ma vie ( je jure c'est vrai, 1933 putain) des péripéties d'une VIOLENCE mon gars, j'étais pas prêt, le film est sorti avant le code de censure sur le cinéma américain, et putain les mecs en ont bien profité haha
le King Kong de 1933 c'est de la dark fantasy !

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07 Juillet 2020

sans surprise c'est encore un chef d'oeuvre, définintivement Miyazaki n'as pas de film mineur. L'ost de Hisaishi est démentiel comme d'hab, mais dans un style très différent, avec quelque chose de beaucoup plus europeen avec carrément des chansons en français ( quel bonheur ). Formellement c'est sublime, background de folie, séquence de vol oniriques, c'est surement le Miyazaki ou l'on ressent le plus son amour pour l'aviation. Ce qui le rend génial c'est que c'est quand même un film assez différents des autres, on sent que ça s'adresse a un publique plus adultes, un personnage un peu blasé qui commence tranquillement a vieillir, une dimension historique, une ambiance de vieux film des années 50, du romantisme et une écriture d'une grande finesse. Et malgré les différences on sent aussi parfaitement les thèmes chère a Miyazaki, ce qui le rend à la fois atypique mais cohérent dans la filmographie. Ce coté vieux romantisme raffiné c'est un pure plaisir qui me touche beaucoup. Étrangement on dirait un film de fin de carrière ( pas de façon négative ! ) et pourtant la machine se relance plus fort que jamais un peu plus tard avec les films qui ont fais sa célébrité mondiale, on dirais la fin du 1er cycle Miyazaki, là ou Mononoke incarnera le début du deuxième.

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08 Juillet 2020

adaptation d'un compte traditionnel japonais, à la fois poétique et initiatique, quasi anti-capitaliste, la modestie et la vanité.

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11 Juillet 2020

film plus classic que les autres de Lynch que j'ai pu voir jusque là, moins bizarre et expérimentale, mais ça n'en fais absolument pas un film moins bon
Ce n&b dans les bas fond de Londres, les hôpitaux et les spectacle de Freaks
de l'inspiration des films expressionniste allemand des année 20, autant dans la forme que dans le fond, au Hunchback of Notre Dame de Dieterle et surtout à Freaks de Todd Browning
surement son meilleur film pour aborder sa filmo à mon avis.
propos touchant et bien développé, la figure du monstre / artiste, l'idiotie des foules et la sagesse dans la solitude, mais aussi sa part de souffrance et de tristesse, l'amitié, l'ouverture sociale et une notion du regard, du spectacle, qui a mon avis intéresse particulièrement le bon David Lynch

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15 Juillet 2020

Film puzzle labyrinthique et onirique sur l'identité, le cinema, l'acting...
pour moi incarne la volonté de vouloir être un autre ( au premier visionnage du moins )
un coté Alice aux pays des Merveilles avec le personnage de la blonde.
Beaucoup de scènes inoubliables, la rencontre sous la douche, le jardin, le clochard, la naissances des désirs, la fin magistrale et surtout cette scène tout bonnement incroyable dans le théatre

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23 Juillet 2020

Un drame grandiose, humaniste et initiatique sur la bonté d’âme et la compassion. Un final magistrale sur la plage entre le fils et la mère.

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25 Juillet 2020

Très dur a noter, d'un coté la forme est incroyable, et inventive. Le fond n'est pas en reste non plus, je suis loin de trouver le film sans queue ni tête, j'ai bien compris un propos ( sur la peur de l'enfantement et de la paternité ) voir même une certaine poésie. Mais d'un autre coté le visionnage est quand même vraiment douloureux et désagréable ...
Du coup ça requestionne mes goûts pour d'autres films, qu'est ce qui fait que je trouve d'autre films éprouvants agréable a regarder ? comme Alien, Orange Mecanique voir même Elephant Man et Mulholland Drive.
Une véritable étrangeté.
PS : assurément le PIRE film a regarder lors d'un premier date

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28 Juillet 2020 ( énième visionnage )

Mononoke Hime est définitivement l'une des œuvres les plus mature, dense et complète de Miyazaki. Pur univers de dark fantasy / japon féodale, entre le Ran de Kurosawa et les récits de Yokai de Mizuki.
Il y a dans ce film une beauté singulière, une poésie de la boue et du sang.
La nature y est loin d'être fantasmé, originellement neutre, sous les mauvaises action de l'homme elle peut ici prendre une grande violence et une apparence cauchemardesque. Ils en va de même pour l'humain, présenté autant dans ses travers que ses qualités.
La bande son de Hisaishi est une fois de plus incroyable, entre des orchestres classiques, mélodies traditionnels et nappes plus expérimentales durant les moment d'horreur fantastiques.
Beaucoup de design sont des purs idées d'animation, l'apparence masqué de San entre louve et humaine prenant toute son identité lorsqu'elle est en mouvement, les ténèbres grouillantes, la transformation du Dieu cerf, les sylvains qui apparaissent et disparaissent a foison, voir même la mutation qui tiraille Ashitaka.
Chaque scène délivre un sens profond sur les réflexions soulevé par le film, tellement paraissent "clé" à l'un des themes, pas une seule seconde ne pourrait être enlevée.
L'intro avec le sanglier possédé, San qui désinfecte la plaie de la louve, la présentation de Dame Eboshi et de ses valeurs, l'apparition du dieu cerf et ce final en apothéose sous la rage du dieu de la forêt.

Monoke Hime est un monument, peut être le film somme qui rassemble le plus de valeurs chères a Miyazaki, un sommet artistique et narratif, loin d'être aseptisé et pourtant universelle, sévère dans sa moral mais poussant au positif. Monoke Hime est une oeuvre d'une immense valeur.

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29 Juillet 2020 ( deuxième vionnage ? )

Le Château Ambulant est l'un des films les plus riche et complexe de Miyazaki, il adopte un fil narratif bien plus emmêlé que sur ces autres films, les différents concepts et thèmes étant abordés de façon onirique et dispersé voir parfois quasi abstraite. L'amour, la beauté, le temps, la vieillesse, la guerre et le travail. Tout ces thème complexe évoqués dans un montage onirique passant par un brouillage constant du temps et de l'espace, le château pouvant ouvrir a différents endroit du royaume ( concept génial me rappelant étrangement Rear Window ), le champ de bataille étant un espace quasi abstrait, et les personnages changeant d'age et d'apparence selon leur cœur.
La beauté passant par l'amour de sois et celui qu'on porte aux autres.
Esthétiquement le film utilise bien plus de 3D et d'effet numérique que les précédents ( l'héritage de Hosoda ? bien que Miyazaki démentis ), heureusement tout est parfaitement maîtrisé et il devient même superbe grâce à une direction artistique d'une immense générosité et inventivité.
La bande son de Hisaishi se fait plus orchestrale et classic, mais peut devenir étrange est quasi tribal dans les scènes de magie les plus onirique.
Des scènes d'une immense beauté, comme le quotidien de Sophie, la valse aérienne, l’escalier, la chambre de Howl, sa transformation dépressive, l'affrontement de magie, le champ de fleurs ... beaucoups !

Le Chateau ambulant est un film magnifique, d'une immense beauté, dans lequel on peut plonger de nombreuse fois pour en relier tout les concepts, un bijou de richesse et d'onirisme.

Théorie : je vois le film comme une représentation d'un amour à l'épreuve du temps, entre une femme au foyer et un soldat au front, qui se retrouve vieilli et qui tente de retrouver leur beauté et leur enfance moins lointaine qu'ils pourraient le croire. Bien sur le film prend volontairement une approche décousu et onirique et on peut tout a fait préférer garder cette magie

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13 Aout 2020 ( deuxième vionnage ? )

Film une fois de plus somptueux, adopte un style visuel assez différent de ses autres films, parfois un effet crayonné proche de l'illustration jeunesse. Encore une fois la bande son de Hisaishi est exceptionnel, se fait légèrement plus orchestrale ( une inspiration Wagnérienne ), notamment dans cette scène époustouflante ou Ponyo cours sur les vagues.
Egalement l'un de ses films les plus onirique, voir psychédélique, incroyablement inventif visuellement.
Magnifique scène ou les eaux monte autour de la maison transformant le quotidien en aventure. Scène de communication en morse entre le deux partie de la famille séparé. Scène géniale dans le tunnel ou Ponyo se transforme, d'une grande puissance métaphorique.
Film du chill par excellence aux coté de Totoro et Kiki, film sur l'enfance et la beauté du quotidien.

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19 Aout 2020 ( énième visionnage )

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25 Aout 2020

Magnifique fin de carrière pour Miyazaki, avec un film historique entre la romance, le biopic, le drame, sans pour autant manquer de l'onirisme chère a Miyazaki. Une histoire d'une grande richesse historique et poétique. Une bande son plus proche du classic, comportant également des chansons populaire allemande. Séquence de rêves incroyable. Des bruitages a la bouche lorsqu'il s'agit de représenter le vent et les forces de la nature. Séquence du balcon ou les deux amoureux communiquent grace à un avion en papier, rappel subtilement Roméo et Juliette. Référence graphique impressionistes.
Un film important d'une immense richesse

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25 Aout 2020

abus d'autorité, violence cru, absurdité de la vie contemporaine
errance en voiture dans les quartiers de Tokyo. Une bonne bo, bien que Hisaishi ne soit pas encore de la partie, de la nonchalance jazzy et la gnossiene 1 de Satie.
éminemment caustique, ou les flic sont aussi méprisables que les yakuza.
Immersif lent et violent.

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27 Aout 2020

Encore plus lent, contemplatif et immersif que son premier film. Ici les dialogues se font rare et absence totale de musique. Un coté Drive mais avec un personnage bien moins charismatique. Des personnage qui prennent l'absurdité de la vie et la violence avec nonchalance, qui restent mutique mais boue de violence intérieurement et en silence. La violence n'y est absolument pas épique ou cathartique elle est froide et cru.
Une très belle dimension errance spleenesque et fataliste, dans des ambiance soignés.

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29 Aout 2020

Intéressant et efficace dans sa tension, l'aspect thriller est réellement maîtrisé, mais le sujet trop rude selon mon seuil de tolérance est abordé avec trop de réalisme et de sensationnalisme, même s'il fait l'effort d'une certaine pudeur.

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01 Septembre 2020

Magnifique film sur l'amour et le silence.
Lent contemplatif et existentiel. Une bo de Joe Hisaishi une fois de plus magnifique.
Des pures moment de poésie simple face à la mer.
Une fin qui sublime la totalité du film.

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03 Septembre 2020

Incroyablement inventif, baroque et stylé. Bien que le script ne soit pas incroyable le film est bourré d'instants de génie. L'idée du témoin aveugle, les scènes dans la peau du tueur en plan subjectif, la longue scène dans le cimetière magistrale, le personnage féminin et cette fin abrupte et marquante.
Une dimension sur la perception comme dans l'oiseau au plumage de cristal.