2020 : séries vues ou revues

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Saison 1
Reprenant les bases du graphic novel, la série compte beaucoup sur nous pour recoller les morceaux (même si des rappels surviennent au long de la saison) et nous figurer cet dystopie foutrement crédible, où la police se masque pour se protéger de la résurgence du Klan. Encore une fois, on voit les bénéfices du succès de Game of Thrones pour HBO qui nous claque un budget monstrueux sur toutes les scènes d'action (nombreuses) et les différentes CGI, qui ne paliraient certainement pas devant les derniers blockbusters. La série est brutale, engagée, écrite avec maestria (décidemment, Lindeloff je suis fan) et propose des épisodes marquants (Nostalgia !). Un moment fort qui se clôt rapidemment. On notera aussi un Jeremy Irons génial. Bref, foncez si ce n'est pas déjà fait.

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Vu
La construction en 4 épisodes du portrait d'un des tueurs les plus prolifiques d'Amérique est glaçante. Un type somme toute assez charmant qui recèle en lui une telle folie, forcément ça fait douter de nos voisins.

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Saison 1
Série sympathique qui vaut pour le capital sympathie de Paul Rudd et son concept. Après c'est pas folichon non plus, malgré un rythme fait d'aller-retour qui fonctionne bien. De là à regarder la saison 2, je ne sais pas.

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Saison 1
Série qui parvient bien à prolonger l'univers de Star Wars (là où Rise of the Skywalker ne fait rien) grâce à sa narration décousue qui nous porte sur diverses planètes. Certains épisodes sont plus faiblichons, mais dans l'ensemble on ne boude pas son plaisir et certaines scènes fonctionnent très bien (celle de Taikai Waititi sur la visée des stormtroopers est fendarde). Le nombre de caméos et guest stars est assez hallucinant : Bill Burr, Richard Aoyade, Gina Carrano, Taika Waititi...
Bref, Disney arrive quand même à faire des choses cools avec la licence malgré certaines purges.

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Saison 2
Saison légèrement en deçà de la première, les obstacles posés semblent de plus en plus artificielle, et la crédibilité de l'histoire passe souvent à la trappe au profit de blagues parfois à côté de la plaque. Ça reste plaisant, mais ça ne laisse pas présager du bon pour la suite...

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Saison 6
Il était temps que le final vienne, et il se trouve être cohérent, bien qu'en deçà de ce que l'on a pu voir par le passé en termes d'écritures. Cela conclue en tous cas une série qui a su alterner entre bouffonneries, univers décalés, et moments profondément bouleversants. Un must-see donc.

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Vu
J'avais beaucoup apprécié Last Man, mais là ça ne prend juste pas. Entre le comique de répétition qui cesse d'être drôle à la troisième itération, le vulgos et le trash qui s'enchaînent gratuitement, et une certaine laideur ambiante, il n'y a pas grand chose à sauver. Certaines blagues marchent, mais ça ne suffit pas à relever le niveau général. C'est finalement le format très court qui m'aura fait rester jusqu'au bout.

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Saison 1
Très trash mais très drôle, ce Vermin débarqué en même temps que Crisis Jung sur Netflix me réconcilie avec les créateurs de LastMan. Encore une fois, un format très court, mais vu la dégueulasserie ambiante du bousin, c'est p'tet pas plus mal.

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Saison 3

Si l'exotisme de ce Breaking Bad au bord d'un lac est toujours présent, on sent quand même un certain essoufflement côté scénario, notamment avec l'arrivé du frère de Wendy qui ramène son lot de ficelles bien visibles. Ca reste tout de même prenant et bien troussé, donc j'attends toujours la suite.

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Saison 5 : +1 Point par rapport aux 4 premières

La série est toujours aussi quali, avec toujours des magouilles astucieuses, du cynisme à la pelle, la réalisation si caractéristique des deux séries de Gilligan, un suspense efficace et des filtres jaunes dès qu'on passe la frontière. On est vraiment au coude à coude avec Breaking Bad en terme de qualité, la sérié souffrant surtout d'être un préquel et donc d'avoir déjà une fin connue pour ses personnages.

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♫ Jazz, mais vite éreinté ♫

La série bat le chaud et le froid au fur et à mesure de ses épisodes, mais il en ressort finalement une ambiance et une patte certaine, malgré de nombreux écueil scénaristiques. La musique, les acteurs, et le portrait d'une certaine facette de Paris sont clairement les points forts, tandis que le passage du scénario par certaines étapes semble trop forcé.

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Saison 1

C'est plutôt con, mais plutôt charmant. Le show tient surtout grâce à des acteurs qui s'en donnent à cœur joie pour surfer juste comme il faut sur la ligne entre crétinerie et honnêteté. Ça m'a beaucoup fait pensé à l'essai non renouvelé qu'était The Brink sur HBO il y a quelques années.

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Saison 1

Je n'en attendais rien, mais quelle agréable surprise. Un univers crédible et mature à la Watchmen, où les super héros sont des puissants comme les autres, pourris jusqu'à la moelle. C'est fendard, c'est dynamique, c'est porteur de pas mal de messages (même si pas toujours très subtils), et ça claque visuellement. Vivement septembre pour la suite !

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Saison 2

Idem que la saison 1. Je prends du plaisir à la regarder, elle est toujours aussi touchante et toujours aussi drôle de cynisme, mais c'est toujours aussi redondant, se complaisant dans une formule qui n'avance pas d'un iota. C'est un oui mais non, et je regarderais quand même la saison 3 si elle existe.

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Vu

Tour complet des Bulls des 90s, de l'arrivée de Jordan jusqu'à ladite dernière danse. Tous les personnages croqués le sont avec attention (Jordan, Rodman, Pippen, Jackson, Kerr...), et le montage alterné entre premiers et dernier championat fait monter le suspens, quand bien même l'issue du tout est déjà connue. Frais, instructif, bien réalisé, une bande-son efficace, tout ce qu'on attend d'une bonne série docu.

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Baisse les yeux

Si dans les nombreux films au thème BLM que j'ai vu récemment, Selma était sans doute le moins intéressant, Ava DuVernay réussi tout de même ici un tour de force. Le sujet est traité de façon quasi-documentaire et donne lieu à de nombreux moments déchirants, révoltants, et la réalisation sait se démarquer de la platitude du biopic du révérend d'Atlanta. Les procédures ordurières pour boucler l'affaire sont parfaitement démontrées, la détresse de ces gamins jetés en pâture aux lions est palpable. Une franche réussite qui fend le cœur.

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Vu

Si Samurai Champloo ne vous tient pas en haleine, il marche surtout grâce à son ambiance tragi-comique teintée de hip-hop et de faits historiques. On est dans le format "méchant de la semaine", ce qui normalement me rebute pas mal dans les séries, mais au final ça permet aussi de regarder un épisode de temps en temps sans avoir peur de perdre le fil. Samurai Champloo est également très beau, avec de superbes animations. Samurai Champloo c'est une vibe cool, ni plus, ni moins.

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Terminé

Si au début le côté japoniais me laissait un peu dubitatif, on se prend finalement vite au jeu tant la série arrive à subjuguer de magnifiques morceaux classiques par l'animation, ainsi qu'à nous faire s'attacher aux personnages malgré quelques soliloques fleur bleue. C'est finalement très beau, et très touchant.

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Terminé

Bonne série thriller à l'ambiance proche d'un Fincher, où le glauque côtoie le bienveillant. L'animation est très belle, le scénario intéressant (même si on devine l'identité du tueur dès qu'on le voit, au deuxième épisode). Une bien belle découverte.

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Saisons 1 et 2

A la recherche d'un programme simple à binge pendant une grosse crève, Family Business fait parfaitement le taf. C'est assez cons, et certaines vannes sont gênantes de nullité, mais on se laisse tout de même porter par l'ensemble grâce à un cast qui fonctionne et une sorte de sous-Weeds à la française dans l'intrigue. La série flirte sans cesse entre le navrant et le marrant.

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Saison 1

Une série où l'on retrouve Simon Pegg et Nick Frost à l'écriture et devant la caméra, traitant de complots et de surnaturel, ça vendait un peu du rêve. Mais au final c'est assez fade, pas bien drôle, et assez cheapos. Dommage.

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Saison 4

La cadence est maintenue, avec toujours cette balance entre un propos pertinent et du trash over the top. Les personnages continuent d'évoluer, leur puberté aussi. On regrettera juste un ventre mou en milieu de saison, où les épisodes tournent un peu en rond.

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Saison 11

S'il y a une certaine redondance dans les blagues et les situations (après 11 saisons en même temps), ça fonctionne tout de même toujours bien, notamment grâce à ce retour à l'ancien format d'épisodes détachés, dans un contexte plus classique.