2021 en découvertes

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Film sur une équipe de foot qui doit se former pour continuer un championnat N° 17356. Rien de nouveau sous le soleil, pas même l'aspect équipe féminine très cliché et une absence terrible d'enjeux pendant les match. Pas désagréable en soi mais plutôt creux.

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Dommage que le ton général soit à ce point dans la retenu, on aimerait que ça aille plus loin dans l'humour noir et dans la satyre. Là, c'est un peu sage avec quelques sursauts. Pour autant, les sketchs fonctionnent. S'ils ne brillent pas par les idées véhiculées, j'ai bien aimé les différents traitements et situations qui sonnent juste pour certaines. Les acteurs portent bien les sketchs et, malgré une inégalité inhérente à ce genre de film, chaque sketch propose quelque chose d'intéressant et nous questionnent sur notre rapport aux réseaux sociaux.

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Interprètes et réalisation au top mais j'ai vraiment eu le sentiment que le film retombait comme un soufflé lors de la première "grosse" révélation. Finalement, à la fin j'ai juste sortit un "meh". Dans sa volonté de surprendre, Johnson se prend un peu les pieds dans le tapis. L'idée était intéressante mais l'exécution ne m'a pas pleinement convaincu. L'enquête reste assez bien ficelée et quelques scènes grinçantes sont savoureuses.

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Un film sur la vie, sur ses plaisirs simples, qui appellent à en profiter dans sa beauté de tout les jours, un film qui fait du bien une fois qu'on la visionné. Questionnant notre place sur terre, le but de la vie, etc Soul nous amène à nous interrogé sur notre existence, je me suis retrouvé à faire un petit bilan personnel.
Jouissant, mais est-il nécessaire de le préciser, d'une animation exceptionnel, ma seule frustration sera de ne pas avoir pu découvrir ce film en salle.
Vas te faire foutre Disney !

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Vous savez tous les aprioris négatifs que vous avez pu avoir à l'annonce de ce projet. Et bien multipliez les par 3,4367 et vous aurez une idée de l'étendu des dégâts.
Je veux dire, tout ce qu'on peut reprocher à ce genre de film est présent: un scénario au fraise, un humour digne de son héros éponyme, une réalisation sans personnalité, etc

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Une très belle interprétation de la part des deux acteurs principaux au service d'une histoire poignante de reconstruction.
Le tout est tout de même un poil longuet, le rythme tendant à s'essouffler dans sa deuxième partie.

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Voilà quoi... impersonnel et sans grande inventivité, juste en pilote automatique. Aussitôt vu, aussitôt oublié !

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J'ai tout de même envie de saluer le casting qui, s'il lorgne parfois avec l'imitation, s'avère assez convainquant, d'ailleurs en soi, j'ai réussi à croire à ce retour en arrière vers la jeunesse des personnages.
Le soucis maintenant, c'est qu'il n'y avait rien à raconter... et le film ne raconte rien en plus d'être très mou sur son rythme et à la comédie qui tombe à plat.

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Robert Rodriguez n'est pas fait pour les films pour enfants. Il n'est pas mal intentionné, au contraire, mais il semble clairement moins exigeant envers ce public, ce qui se traduit par un scénario stupide, des dialogues lourdingues ainsi qu'un visuel kitsch et dégoulinant.
C'est dommage car la créativité est présente, les acteurs se font plaisirs et on voit surgir par instants des moments franchement cool qui auraient pu l'être encore plus.
J'aime énormément Rodriguez, notamment par la liberté qu'il s'octroie sur ses projets et sa passion qu'il sait retranscrire, mais faut qu'il arrête de prendre les gosses pour des cons quand il fait un film pour eux.

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A l'image de son duo de tête, superbement campé par Luchini et Demoustier, le film disserte, parle et questionne la politique, son milieu et ses acteurs. Pas vraiment de jugement ou de condamnation mais des points de vues qui s'entrecroisent au travers de cette jeune philosophe qui débarque dans le monde de la politique face à un vieux de la vieille qui n'a plus d'idées.
Une réussite.

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Un étrange mélange d'inspirations diverses qui étonnamment fonctionne plutôt bien, on entre dans l'univers de ce film et on se laisse prendre dans cette intrigue.
Christophe Gans se fait plaisir, il tente et expérimente et s'il verse parfois dans le too-much, je ne lui enlèverai pas ses idées de mise en scène qui parviennent à la fois à suggérer la créature (que je trouve personnellement immonde, tant dans le design que les effets numériques) et a insuffler du punch dans les scènes d'actions. Le casting est convaincant malgré quelques fausses notes, surement dû à une direction d'acteur quelque peu en roue libre et la reconstitution historique est de toute beauté niveaux costumes.
Le Pacte des loups s'avère donc un patchwork d'influences diverses mais qui arrive à en ressortir son style, pour un final surprenant mais (en ce qui me concerne) dans le bon sens du therme.

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Ce film fait mal, il prend au tripes et te décoche des uppercuts non-stop. Pascal Laugier parvient à immerger le spectateur dans cette violence physique et psychologique avec une vraie maîtrise, la violence est crue, elle est raide, l'expérience devient douloureuse et c'est là la preuve que Laugier a réussit son métrage.

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Un drame horrifique visuellement impeccable, tant sur l'esthétique générale que la mise en scène, mais auquel j'ai finalement peu accroché. Le rythme est particulièrement lent, les révélations plutôt prévisible (sans être mauvaises bien entendu) et s'il est efficace pendant les quelques séquences horrifiques, tout en gardant une ambiance générale au malaise palpable plus que réussi, le métrage est beaucoup plus ennuyeux dans ses autres séquences.

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James Wan pratique une horreur assez frontale, qui ne s'embarrasse pas de petits effets intimistes mais préfère plutôt les effets moins subtiles mais impactant... et ça marche. Wan maîtrise l'horreur et sait faire peur, il l'a prouvé avec ce film dans lequel il flanquait les miquettes avec une poupée bien avant Annabelle. S'il n'y avait pas eu cette fin grotesque et ces personnages particulièrement creux (et tout de même un ensemble plus posé dans ses effets), Dead Silence aurait pu être une grande réussite horrifique. Dommage.

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C'est pas ouf...
Tantôt concon, tantôt neuneu dans sa morale, ce teen-horror-comique-movie n'est jamais effrayant et souvent drôle malgré-lui, même si son auto-dérision est plutôt amusante. Au moins les acteurs y mettent du leur, Jessica Rothe faisant preuve d'une énergie des plus appréciable et communicative.
Ai-je déjà dis que ce n'était pas ouf ?

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Relativement marrant quand il ne se prend pas au sérieux puis relativement chiant quand il se prend (trop) au sérieux, on est sur de la demi-teinte...
Cela dit, je trouve que le film a plutôt bien étendu le concept du premier film et forcer d'admettre que quand il ne se prend pas au sérieux, il est plutôt plaisant à regarder. Vraiment dommage.

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Une histoire lyrique et onirique sur l'amour, celui entre deux individus, entre une mère et son fils, entre deux amis,... qui arrive à nous emporter dans son univers. Le jeu assez particulier des interprètes et le rythme général rendent toute fois le film un peu mou, tout comme la rigidité de l'animation, montrant des imperfections. Mais une direction artistique riche et les idées visuelles ne manquent pas pour égailler l'expérience.

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Techniquement réussi et à l'univers fascinant, on se laisse aller à cette aventure et à la découverte des créatures qu'a à nous proposer ce labyrinthe plein de fantaisies. Malheureusement, et ce malgré un Bowie follement divertissant, j'ai peiné à pleinement rentrer dans ce film que j'ai trouvé assez creux. Les créatures se succèdent mais j'ai constamment eu le sentiment que ça ne racontait que très peu de choses. L'univers fascine mais l'histoire ne suit pas. Dommage.

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"Les heures sombres" sont deux heures d'une mise en scène toute en maîtrise et d'une interprétation de Gary Oldman bluffante mais tout de même, ces deux heures sont longuettes, la faute à un manque de rythme. Je n'ai de plus rien trouver de particulièrement mémorable dans ce biopic, si ce n'est les deux discours de Churchill.
Ce biopic a tout de même le mérite de nous montrer Churchill sous ses mauvais jours, on évite ainsi une approche trop idéaliste du bonhomme.

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Rambo est assez ancré dans l'inconscient collectif, son image est iconique et on a tendance à l'assimiler à un mec baraque qui dézingue, grosse mitrailleuse à la main, tout ce qui lui passe devant. Finalement une image assez éloigné de celle de son film d'origine.
Un premier opus très fort qui par une allégorie de la guerre explore le traumatisme de ces soldats entrainer à tuer et relâcher dans un monde qui les désavoue. Stallone est incroyablement touchant, amenant à Rambo une portée tragique très forte, qui n'a rien à envier à son charisme et sa badasserie naturelle.
Si les scènes d'actions, réussis au demeurant, m'ont un peu moins captivée, les scènes plus intimistes avec Rambo ont pleinement captées mon attention.

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Interprétation et technique convaincante mais un scénar un peu osef. Le tout manque d'enjeux et hormis Vidocq, les personnages sont plutôt anecdotiques. Ambition tenue sur la forme mais peu sur le fond.

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Ce n'est pas l'originalité qui étouffe ce teen-movie romantique mais je me suis surpris à me prendre au jeu. C'est mignon, très énergique et j'avoue m'être beaucoup identifié à la protagoniste sur plusieurs points. Rien d'innovant mais une mécanique bien huilée.

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Mouais... c'est encore plus cliché que le un et avec encore plus de gnangnan. Cela dit j'ai pas mal rit mais pas toujours avec le film.

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Pourquoi s'obstiner à faire des suites quand il n'y a plus grand chose à raconter. Les précédents avaient des enjeux guimauves mais au moins il y en avait, là j'ai juste suivit le tout avec un désintérêt assez conséquent. C'est Bilbon qui avait raison, faut pas tartiner du beurre sur une tartine trop grande.

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Ce film me laisse un sentiment étrange, on y trouve tous les clichés que l'on pourrait attendre d'un film français centré sur la famille et, soyons honnête, le tout à prit un petit coup de vieux. Pour autant, le film touche juste. On se reconnait dans cette famille, dans ces personnages. L'émotion est présente mais suffisamment dosée pour ne pas sombré dans le pathos dépressif, on sourit même à la fin. Les acteurs/actrices sont vraiment convaincants et la mise en scène maitrisée.
Un très beau film.

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Une histoire tragique, aussi touchante que bouleversante mais qui pêche par un rythme qui s'essouffle et une voix off envahissante. On retiendra principalement les superbes interprétations des acteurs/actrices dont une Virginie Efira toujours aussi incroyable.

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D'ordinaire je m'acharne a finir un film que je commence à regarder mais là c'est juste pas possible. L'incompétence de ce film dépasse le nanardesque tant c'est insupportable à regarder et proche de l'inaudible. Absolument rien ne va dans ce truc !

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C'est marrant par ce qu'on retrouve dans ce film toutes les tares qui jalonnent le cinéma d'Anderson: ralenties inappropriés, tentative de faire du cool qui devient juste ridicule ou nanardesque, personnages fonctions, etc
Sauf que là, c'est la formule mini et l'histoire est a minima intéressante donc ça passe.