Les mains ont leur propre langage...

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Les plus beaux plans que j'ai vus jusqu'à présent. Déjà celui des trois mains entrelacées autour de la mère mourante. Et puis ensuite, tout au long du film quand viennent les flashbacks de la femme aimée. Un véritable dialogue s'installe entre eux, magique...

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Ce plan sur la balustrade... Deux mains, une cigarette, mes yeux qui pleurent...
(Ou la main d'Oliver sur la main dElio quand il lui demande l'heure.
Ou les pieds....)

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A de nombreuses reprises, les mains de Pocahontas et Smith se frôlent, se cherchent, découvrent l'autre comme une terre inconnue...

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Pour l'image de la bande-annonce, déjà (cf photo de couverture) : une merveille absolue.
Pour les plans où une main joue avec la lumière avec le ciel pour décor...
(et encore il y a d'autres moments !)

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Magnifique......
et me donnerait presque envie de créer une liste "Langages de pieds".
Un plan sur leurs mains, et tout est dit. Tout.

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Véritable communication entre deux êtres pendant un petit moment, merveilleux, sensible, émouvant...

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Comme pour renouer les uns avec les autres, ils serrent leurs mains comme leur dernier et unique espoir...

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A revoir pour plus de précision. Mais déjà la scène d'où est tirée l'affiche (forcément). Et bien d'autres encore. Ah Malick !!

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La scène où il "prend ses mesures". Et la dernière fois qu'ils sont ensemble, la main comme barrage à tout contact malgré le désir évident et réciproque.

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Comment ai-je pu l' "oublier" !???!!! (peut-être était-ce trop évident^^)
Un film qui parle si peu ne peut que dire les choses autrement...
Et en revoyant cet après-midi un très court extrait à l'exposition "Musique et cinéma" de la Cité de la musique, en voyant cette étreinte lourde de sens, ces larmes déchirantes, et ces mains s'accrocher désespérément à ce qu'elles peuvent encore tenir de l'autre...Je me suis dit que ne pas le mettre dans cette liste était une injure à la magnificence de ce film, à mon amour pour lui. Il y a enfin sa place, celle qu'il mérite. Et peut-être, très bientôt, le reverrais-je, pour un deuxième visionnage, certes effrayant, mais pas tant risqué...Comment pourrais-je ne pas l'aimer chaque fois davantage ?

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Les mains du frère sur le bras de la soeur (à deux reprises), s'agrippant à celui-ci comme pour évacuer la peur et traduire tout l'amour qui reste intérieur : tellement fort et lourd de sens...

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Une main comme seul et unique contact à la montée d'un carrosse, geste anodin qui, pour l'époque, veut dire bien plus qu'il n'y paraît...

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Cindy pose sa main sur celle de Dean, et dans ce geste, c'est comme l'illustration de la tentative désespérée de s'accrocher à l'autre alors que celui-ci s'en va.

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Dialogue avec son ancien collègue, avec les mains pour seuls outils de communication. Pressions, mouvements des doigts, et dessin des lettres sur la paume de l'autre. Très beau.

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Tant de passages ! Les mains d'Emanuelle parcourant le dos d'Eiji. Les mains d'Eiji serrant celles d'Emanuelle dans les siennes. Et tant d'autres choses...

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Mr Rochester tend sa main pour prendre celle de Jane et refermer son autre main sur celle-ci. Moment très court, mais riche de sens. Et quelques autres passages, à la fin par exemple, quand au simple toucher de sa main, Mr Rochester reconnaît Jane Eyre.

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A de nombreux moments, les mains s'effleurent, s'accrochent pour ne plus se lâcher...

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Je compte le revoir sous peu (même si je l'ai vu il n'y a pas si longtemps !), je détaillerai à ce moment là !

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Y'a-t-il plus belle poignée de main dans l'Histoire du cinéma ?
Cette femme qui tend sa main à cet homme, qui la prend doucement dans la sienne.
Rien n'est dit, et pourtant...

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Sans même parler de ces magnifiques mains de pierre, ou même de la main de cette femme caressant le corps froid d'une autre statue, ces dialogues de mains sont d'une extrême beauté. Une recherche de l'autre canalisée sur quelques centimètres de peau...

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- Ces petites mains tremblantes dans la terre...Cette autre main qui vient doucement se poser sur l'une d'entre elle.
- Cette petite main qui frôle cette autre, froide, glaciale...
- etc etc

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Cet enchevêtrement de mains : le père et le fils, la mère et la fille, sur la route d'une nouvelle maison. Deux plans de toute beauté !

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Si fréquemment, Archer attrape doucement la main de la comtesse Olenska...et dans ce geste transparaît l'immense passion qu'ils éprouvent l'un pour l'autre.
Sans parler de cette scène dans le carrosse où il enlève son gant et relève le sien pour mieux baiser sa main...

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Une petite main d'enfant qui monte le long d'un arbre pour attraper une papaye...
Pour ne citer qu'un exemple !

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Les mains de trois enfants qui dialoguent avec les fleurs des arbres...Magique ! (un peu hors sujet car pas totalement dans le domaine du dialogue mais...)

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Les mains du fils serrant celle de la mère. Très bref instant, mais j'avais quand même bien envie de lui donner sa place dans cette liste...

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- Les mains de l' "homme/femme" sur le corps de l'homme aimé.
- La petite dame aux oeufs et l'homme aux neufs doigts...

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Pas mal de petits moments. Dans la voiture dans les bois pour ne citer qu'un exemple.

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Pour n'en citer qu'un, le ô combien merveilleux plan final....

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La scène où Annabel embrasse les mains de Lily, pour ne prendre qu'un exemple.