Mes épisodes de séries préférés

Annotation :

2x08 : Premier épisode qui m'a vraiment fait aimer la série, pour son côté rock touchant et beau, première leçon de vie sérielle reçue en pleine gueule. Et puis cette fin, cette ode à la vie...

3x12 : Où le paroxysme d'une attente insoutenable et tellement poignante, à la limite de l'exagération tragique mais qui bouleverse.

4x05 : Un épisode surprenant, étouffant, révoltant, qui touche malgré tout en plein dans le thème de la série. Un chef d'oeuvre.

5x09 : Ce retour d'accident aussi inespéré que tragique, et cette fin à en pleurer (même si personnellement, sur le coup j'étais plutôt choqué).

5x10 : Un épisode incroyable, impossible de ne pas pleurer quasiment tout du long, d'un réalisme et d'un poétique jamais revu depuis.

5x12 : Et enfin, mon épisode préféré de tous les temps, un épisode parfait de bout en bout, 10 minutes pas à pleurer, mais à verser des torrents de larme. Je n'ai jamais été autant bouleversé de toute ma vie, oeuvres et tous moments de vie confondus...

Annotation :

1x01 : Meilleur pilote que j'ai vu de ma vie sans aucun doute, j'étais sous le charme dès le départ, grâce à ses personnages, son humour, sa construction narrative.

3x10 : Ou le fameux épisode de la mouche. Inutile pour certains, d'une profondeur rarement égalée dans la série pour d'autres, un modèle de huis-clos pour ma part.

3x12 : Ou le plus gros cliff que j'ai subi dans ma vie de sériephile, en plus d'un épisode très intense.

4x13 : Ultime duel entre deux personnages aussi cruels l'un que l'autre, et un cliff légèrement prévisible mais n'en perdant pas sa puissance pessimiste.

5x14 : Deuxième meilleur épisode que j'ai vu de ma vie, d'une intensité absolument incroyable. Bryan Cranston digne des plus grands acteurs contemporains, et une richesse psychologique à tomber par terre.

5x16 : Et enfin le final quand même, car même s'il est parfois facile, ce fut incroyablement émouvant de terminer une des toutes premières séries regardées, et fondatrice de ma sériephilie.

Annotation :

4x07 : Finalement, j'adore Mad Men mais il y a relativement peu d'épisodes qui me marquent, mon adoration se jouant davantage sur la longueur. Cela dit, le fameux "The Suitcase" en fait partie, pour sa confrontation éprouvante et émouvante entre Don et Peggy.

4x08 : Episode souvent oublié, pourtant il se démarque par sa réalisation originale pour la série et sa classe monumentale. Un vrai coup de coeur.

7x14 : Putain de bordel c'est fini Mad Men. Quelle émotion. C'est légèrement happy ending par moments, mais c'est tellement bien fait et au final les personnages le méritent tellement que ce n'est pas gênant. Ironiquement, ce final ne passera quasiment pas par du face à face mais par le téléphone, et pourtant... quel jeu exceptionnel d'Elizabeth Moss au téléphone avec Stan, quelle émotion lors du coup de téléphone entre Don et Betty ("Bye bye Birdie" putain, j'ai pleuré).

Et puis surtout ce monologue d'un mec lambda à la fin, et la réaction de Don derrière... j'ai jamais autant explosé de l'intérieur c'est dingue, les larmes me sont montées aux yeux avant que j'ai eu le temps de m'en rendre compte. Je crois que jamais une scène n'avait aussi justement résonné en moi, même Six Feet Under putain.

Et cette fin qui redonne tout de suite la sourire par son ironie mordante, génial.

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3x05 : Un épisode bouleversant auquel je ne m'attendais pas du tout, une fulgurance poétique et mélancolique incroyable. Parker Posey, i love you.

Annotation :

2x13 : J'adore Hannibal, mais rarement un épisode de série ne m'aura autant marqué que celui-ci. Une tension incroyable, menant le face-à-face psychologique entre Will et Hannibal vers un final somptueux, d'un tragique gracieux à en pleurer.

Annotation :

J'adore tous les épisodes de Malcolm, mais difficile d'en choisir un qui sorte du lot. Pourtant, et je n'ai aucune idée à quelle saison il appartient, mais je me souviendrais toujours de l'épisode où Hal apprend à Malcolm à faire du roller. Cette double séquence sur Funky Town, c'est juste épique.

Annotation :

1x01 et 2x01, soit un double épisode jouissif et puissant où le chaos règne et les surprises abondent. Un grand moment.

6x06 : Un épisode extrêmement émouvant, une des plus belles mises à mort télévisuelles.

L'épisode où les prisonniers adaptent Shakespeare. Je ne me souviens plus de quel épisode il s'agit (c'est vers la fin de la dernière saison en tout cas), mais ce fut un moment extraordinaire devant mon écran, un théâtre méta du tragique très intense et puissant.

Annotation :

2x12 : mon épisode préféré de la série sans conteste, absolument brillant, très culotté et esthétiquement parfait.

3x11 et 3x12 : un degré de "jouissivité" rarement atteint en télévision.

4x12 : pour sa fin...

Annotation :

1x01 : Rares sont les séries déjà superbes dès leur pilote. Carnivale en fait partie, grâce à une lumière et une bande-sonore sublimes.

1x04 : Une ambiance incroyable, glauque et poétique à la fois. Un grand épisode.

2x01 : Sans doute l'épisode le plus "fantastique" de la série, avec des rêves absolument incroyables dans leur esthétique et métaphore. A couper le souffle.

Annotation :

1x02 : Encore une série où le début est déjà parfait. Ici, la découverte de Daniel de ses albums d'adolescence et de son terrain de base-ball sont deux scènes magnifiques.

2x10 : Un épisode brillant dans son écriture et révoltant par l'évolution de Daniel. Les dix dernières minutes sont parfaites.

Annotation :

4x08 : un sommet d'absurde hilarant de bout en bout, même si ça parodie un peu les fin à la SFU, j'accepte la provocation quand elle est brillante !

Je ne me souviens plus de sa place dans la série, mais l'épisode avec Will Ferell en patron de Kya est génial également.

Annotation :

2x14 : Un épisode qui restera sûrement celui devant lequel j'ai le plus ri de ma vie. Pleins d'autres épisodes sont géniaux bien sûr, mais celui-là reste mon préféré de la série.

Annotation :

1x04 : Comment ais-je pu l'oublier, tout de même ! Pour le magistral plan-séquence de fin, bien évidemment, mais aussi pour toute la préparation et les dialogues le précédant, où la mise en scène donne une tension incroyable à tout l'épisode.

2x08 : Contrairement à la saison que j'ai globalement trouvé moyenne, j'ai assez curieusement adoré ce season finale, les personnages et le propos se révélant complètement au cours de ces 90 minutes. Le pessimisme n'a jamais été aussi cruellement beau.

Annotation :

9x24 (final de la série) : Eh oui, tout le monde le déteste mais j'ai adoré ce final, parfois joliment niais, mais parfois aussi d'un romantique et d'un réalisme sur la vie très touchant. J'ai jamais été aussi heureux de quitter une série.

Annotation :

1x06 : L'épisode sur Manolis, le grand-père. Un épisode bouleversant et pourtant simple sur la vieillesse et le temps passé, un des rares moments de séries où j'ai pleuré.