Mon top of the flop: les meilleurs nanars

Annotation :

insurpassable dans mon cœur. Indicible. Une expérience. Vu au moins cinq fois

Annotation :

Aussi connu sous le surnom de Turkish Starwars: un starwars à moustache avec casque de mobylette ou le héros décapite à main nue des hommes déguisé en ours et où les rochers explosent. Il y est vaguement question de religion aussi, mais j'ai pas tout compris.

Annotation :

La drogue, c'est mal, et ça peut vous transformer en poulet humain assoiffé de sang de drogués.

Annotation :

Des vampires, des crocodiles-garous amoureux, des villageois thaïlandais persistants dans leur volonté de baignade malgré un killcount astronomique pour toute personne foutant un orteil dans l'eau. Du grand art

Annotation :

Je me dois de reprendre un extrait de la critique de ce bon Kiwiwayne Kiwinson que vous trouverez ici en guise de résumé

Dans une Normandie pittoresque, un monstre S.S tue les hippies et les auto-stoppeurs à l’aide de son couteau à viande (qui qu’est ce que quoi ??). Là, une blonde, incarnée par l’éblouissante Véronique Renaud, crève sur la route, et finit par se retrouver chez un aubergiste perplexe, harcelé par un cheval diabolique. La blonde fuit cette auberge morbide, et se fait poursuivre par le monstre S.S dans le bois, lui même tué par le cheval sataniste effrayé par une momie dotée d’un costume moulant explicitement ses parties génitales. Entre tout ce joyeux bordel, un bateau centenaire sortant des rochers, un fusil semblant lui-même fabriquer ses munitions et un chat (le seul à avoir lu le script ?) capable de contrôler le temps !!

https://www.senscritique.com/film/Devil_Story_Il_etait_une_fois_le_diable/critique/106991990

Annotation :

Ou les moustaches diaboliques de la terreur. Soporifique au point que tu aies envie de t'ouvrir les veines jusqu'au déchainement de combat de catch féminin sur du jazz. Et Puis Torgo quoi!

Annotation :

Un gars dans un costume de gorille avec un casque de plongeur sous-marin du XIX ème siècle sur lequel on a collé des antennes de radio (censé être un extra-terrestre) fait des aller et retour entre une grotte où il a élu domicile et le camp des derniers humains.

Annotation :

La descente de la lesse mais aux USA (c'est plus classe) avec des mecs qui parlent de karma (assez mal) auquel vient s'ajouter un thriller aussi passionnant qu'une corvée de patate. Ah oui, la pire prise de son de l'histoire du cinéma aussi.

Annotation :

Oh my gooooooooooooooood! Des végétariens mangeurs de chair (oui, vous avez bien lu), mais pas avant de vous avoir changé en plante. Un fantôme de grand père. Un gamin qui pisse sur la bouffe pour sauver sa famille. Que du classique quoi!

Annotation :

Neil Breen, c'est un peu comme un mélange entre Tommy Wiseau (The Room voir plus haut), David Lynch et Terrence Malick pour les thèmes, mais sans le talent.
L'histoire d'un écrivain/informaticien doté de pouvoirs surnaturels par une pierre magique qu'il a découvert étant enfant qui essaye de mettre à jour les magouilles du méchant gouvernement en hackant le Pentagone

Annotation :

Toujours Neil Breen.
Un christ/Cyborg/monstre de Frankenstein/extra-terrestre vient pour nous avertir du danger que nous font courir les méchante corporations.

Annotation :

Pour qu'il puisse baiser sa sœur, il faut qu'elle meurt. Ou sinon il y a des moustaches 80's des combat et des scènes d'actions de... boarf, on sait pas trop quand, et des dialogues magnifiques de conneries.

Annotation :

Double ration de Neil Breen.

Annotation :

Faut viser la tête qu'on vous dit! Le film de zombie à coté duquel Resident Evil ressemble à 2001 l'odyssée de l'espace.

Annotation :

Le dessin animé sud coréen qui explique peut-être pourquoi leurs amis du nord ont voulu s'isoler!

Annotation :

Une entité messianique qui vient du futur pour éliminer 300 millions de « méchants » et inaugurer une nouvelle ère de paix.

Annotation :

Les Oiseaux, mais pas de Hitchcock. Avec des effets spéciaux qui auraient poussé George Mélies au meurtre (à vrai dire, pas que lui)

Annotation :

Alien, mais sur terre et avec un chat qui n'a pas reçu son Kit et Kat.

Annotation :

Delta plane à coup de ptérodactyle mort, répliques et musique à donner envie de s'arracher les oreilles. Un mélange entre Rahan, Flash Gordon et Starwars comme s'il avait été réellement tournée avec des moyens préhistoriques.

Annotation :

Un film de bagarre où le héros tape sur des ninjas grâce au redoutable art martial de la... gymnastique.

Annotation :

Seul un ninja peut tuer un autre ninja. Les ninja sont un des grands classiques du nanars, ici vous allez en bouffer de toutes les couleurs: des noirs, des rouges, des blancs, des avec des pancartes sur le front. et ils ont aussi des plans de ninja... ça ne doit d'ailleurs être compréhensible que par un ninja, parce que j'ai rien capté.

Annotation :

Un obscure métrage philippin sur lequel a été plaqué une histoire de vengeance. Regardez ce film ou il vous trouvera et vous cassera la gueule bande d'enculés!

Annotation :

Il vole, il passe à travers les murs et peut faire semblant d'être mort pendant 10 minutes... Comme un puma quoi.

Annotation :

Entre Conan le barbare, une histoire biblique et un pornfood dégueulasse

Annotation :

Imaginez un mélange entre Prédator et Terminator, mais avec des soucis d'élocutions qui rend tout ce qu'il raconte incompréhensible. Une heure de rire.

Annotation :

Un héros en mini short tue ses adversaires un par un pendant 1h30 sur des bruits de synthétiseurs random, le tout rythmé par des dialogues incroyables et des scènes bêtes à pleurer de rire.

Annotation :

Un méchant au sommet du machiavélisme puisque même lorsque son plan est expliqué à la toute fin, il reste parfaitement incompréhensible.

Annotation :

Et quels pièges! un frisbee rasoir, un malfrat en skateboard, une poupée gonflable, un bazooka, un serpent contaminé.

Annotation :

Un gang de yakuza sans un seul gars même vaguement asiatique, un samourai cop pour qui Katana, ça veut dire épée japonaise en japonais, un sidekick pas rigolo hilarant, et la coupe de cheveu à géométrie variable la plus classe du cinéma z