Parcours non-cinéphile 2016

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Janvier.

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Janvier.

C'était la 4ème (ou 5ème) fois que je le regardais. Une film que j'aime beaucoup, même si j'avais bien conscience depuis longtemps que je le surnotais.

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Février. Cinéma.

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Février. Cinéma.

Le film met en scène l'histoire douce-amère d'une expérience ratée, ainsi que sa variation heureuse. On se demande si la deuxième partie, correspondant à la journée "rejouée", n'est pas une œuvre mise en abyme : celle du personnage principal, qui est cinéaste. De la grisaille à la lumière, des phrases maladroites aux répliques qui font mouche, du fiasco à la jolie bluette, la vie est totalement réinventée. Certaines variations sont bien vues : au tout début, le plan centré sur le personnage principal lui coupe les pieds. La caméra montre ensuite les branches d'un arbre décharné. Dans la deuxième partie, le plan est englobant, et les petits détails soulignant (symboliquement ou non) la malchance ou la maladresse du personnage ne sont pas montrés.

Tout au long de la journée "heureuse", on se demande si le personnage principal n'est pas, tout comme nous, au courant de ce qui s'est passé durant la journée "malheureuse". Il semble savoir exactement quoi faire pour que le sort lui soit favorable. Maître des ficelles si l'on peut dire. L'une des scènes finales du film s'apparente même à une vengeance, une blague amusante faite à des femmes qui ont pu contrarier ses manœuvres ...


Pour résumer, un film un peu long que réveillent par moments des scènes tendres et drôles.

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Février.

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Février.

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Février.

Difficile de le noter. C'est un grand film. Mais j'ai été obligée de sauter des scènes.

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Février.

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Février.

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Février.

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Février.

Ce n'est pas un chef d’œuvre comme Toute une nuit ou Jeanne Dielman. Mais un film intéressant quand même sur l'huis-clos, le sentiment de l'intrusion, le recroquevillement sur soi ... Ces sujets étant traités avec un humour décalé.

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Février.

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Février.

Je mets 9 pour le visage de Gene Tierney quand le fantôme lui prend les mains à la fin du film. Moment d'intense pleurnicherie dans ma chaumière.

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Février.

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Février.

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Mars.

Six personnages en quête d'on ne sait quoi*, et qui se lancent dans de complexes chassés-croisés, ça met la puce à l'oreille quand on sait que deux d'entre eux jouent / mettent en scène une pièce de Pirandello ... A laquelle les autres assistent en tant que spectateurs. Oeuvres dans l'oeuvre, mises en scène en tous genres, coups de théâtre : le film n'est rien d'autre qu'une pièce jouée sous nos yeux. Ceci étant dit, je n'ai pas eu l'impression de voir un énième film sur le théâtre. Ces artifices sont vieux comme le monde, oui. Et pourtant on s'y laisse prendre une fois de plus, et avec grand plaisir. Le pire, c'est qu'en dépit de sa théâtralité assumée, son manque de vraisemblance, son habileté, ce film met en scène des personnages qu'on a l'impression de connaître dans la vie. Comme eux, on trouve sa vérité dans ce qu'on voit représenté. C'est peut-être banal de le dire, mais après tout, ça ne se produit pas si souvent.


* Enfin si, l'un d'entre eux est littéralement en quête d'un auteur.

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Très beau film.

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Un prof-médecin et de surcroît chef-d'orchestre qui raconte des mensonges à ses étudiantes-patientes et les épouse.

Ou l'art de soigner par la fiction.

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Mars-Avril.

Picoré, portrait après portrait.

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Mai.

Super B.O.

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Mai.

Visionné à cause de la rue Daguerre.

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Revu en juin, par un temps semblable à celui qu'il fait dans le film, la nuit, les fenêtres ouvertes.

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Juillet.

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Revu en août avec une amie.

Une symbolique inspirée par la psychanalyse (je crois : je n'ai pas lu Freud) rend ce film fascinant - et l'alourdit par sa présence insistante.

Reste la beauté de ces plans qui n'ont pas vieilli, même si certains ressorts me semblent plus visibles aujourd'hui qu'au premier visionnage.

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Vu en août au cinéma.

Ce film m'a arraché des rires et des larmes. Beaucoup de bons sentiments, mais jamais jusqu'à l'écoeurement. Les errances de ces Thelma et Louise, qui se sont enfuies d'une sorte de couvent pour femmes atteintes de troubles psychiatriques, nous confrontent certes à la dureté d'un monde indifférent à la souffrance morale; mais elles sont aussi parsemées par des éclairs de bonté inattendus. Les folles de joie sont surtout folles d'une tristesse qui fait un instant douter d'une issue possible à leur échappée belle. Entre libération et naufrage, on hésite un moment. Seule l'amitié redonne le sourire, sans toutefois constituer une solution aux maux dont souffrent les deux femmes. Le film s'achève sur bien moins et bien plus qu'une note d'espoir - un apaisement fragile, mais précieux.

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Fin août.

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Début septembre.

Des images magnifiques. Gertrud comme une silhouette superposée à celle de son amant, mais pas vraiment auprès d'elle ...

La fin est amère, lourde, prévisible.

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Septembre.

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Septembre.