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Recueil d'énormités ou de trucs douteux voire remarquables

Le capitalisme de la séduction, Clouscard ; p. 269 : Oui, mais : la crise ? Crise incluse dans la croissance. Crise du capitalisme et non extérieure au système. Car c’est la croissance elle-même qui révèle les contradictions ...

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15 livres

créee il y a plus de 9 ans · modifiée il y a plus de 4 ans

Urgences Francaises
4.9

Urgences Francaises

Sortie : 29 mai 2013 (France). Essai

livre de Jacques Attali

Adrast a mis 5/10 et a écrit une critique.

Annotation :

p. 122, Chacun de nous est responsable : les rentes -> "des étudiants (pas tous) qui refusent de choisir des études ingrates ou difficiles, et ne rêvent que de sécurité de l'emploi"

p. 197, Les corporatismes : "Regrouper les chambres de commerce et d'industrie, les chambres de métiers et d'artisanat, les tribunaux de commerce".
-> C'est flou ça !

p. 199, au sujet des actionnaires : « Toute société doit avoir un objet licite, être constituée et gérée dans l'intérêt social, qui impose de concilier les dimensions économiques, sociales et environnementales à long terme, en concertation avec les parties prenantes à l'entreprise ».

Ne pas perdre sa vie à la gagner
7.4

Ne pas perdre sa vie à la gagner

Sortie : mars 2008 (France). Essai

livre de Baptiste Mylondo

Adrast a mis 7/10.

Annotation :

Préface, Paul Ariès : "L'insécurité [salariale] est la grande justification de la « fièvre acheteuse » : cette façon de vivre sa vie sur le mode de la dévoration et de chercher dans la consommation une consolation illusoire."

Le Premier Sexe
4.8

Le Premier Sexe (2006)

Sortie : 2006 (France). Essai

livre de Eric Zemmour

Adrast a mis 5/10.

Annotation :

p. 61 : "Nous vivons en effet une époque de mixité totalitaire, castratrice. Dès l'école maternelle, les enfants, sollicités par les mamans admiratives, sont incités à désigner leur « amoureux ». C'est badin, anodin, c'est le début du dressage. Les filles sont très à l'aise, les garçons sont gauches et timides."

p. 71 : "C'est la raison profonde pour laquelle cette époque féministe, où les femmes se sont approprié les attributs virils par excellence, l'argent et la reconnaissance sociale, exigeant le respect, cette époque tendanciellement castratrice est aussi un temps où les femmes affichent les tenues les plus débridées, multipliant minijupes et décolletés plongeants, string et pantalon taille basse, jeans ultra-moulants et charmants dessous mis dessus."

p. 79, au sujet de l'évolution du porno : "Dans les années 90, en revanche, alors que les femmes s'imposent partout, que l'on ne parle que de parité en politique ou dans l'entreprise, que les valeurs féminines dominent la société, le porno prend le contre-pied de la société et s'enfonce dans une violence rageuse. Comme si les hommes, consommateurs ultra-dominants du genre, se vengeaient violemment dans le secret des sex-shops d'une réalité où ils se sentent de plus en plus dominés."

La fin du travail
6.9

La fin du travail (1995)

Sortie : décembre 2005 (France). Essai

livre de Jeremy Rifkin

Adrast a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

p. 16. Préface de Michel Rocard : "Socialisme ou barbarie, disait Trotski. Mais que savait-il du socialisme ? A cette époque (les années dix), le corpus théorique qui portait ce nom n'incorporait ni la reconnaissance de ce qu'il n'y a pas de vie sans compétition [NDLR : phrase alambiquée juste pour légitimer le libéralisme et donc la concurrence (pour ne pas dire lutte) de tous contre tous], ni le constat de la redoutable nocivité du pouvoir [NDLR : sous-entendu étatique, comme s'il n'en existait qu'un, et que celui des 1% n'en était pas un] et donc l'appel à l'indispensable développement de contre-pouvoirs dans toute société organisée, ni surtout l'affirmation première que la dignité de l'homme se fonde sur sa liberté. Faute de ces trois éléments majeurs, l'exigence égalitaire que représentait Trotski a produit le Goulag, soit cinquante millions de morts hors faits de guerre [NDLR : raccourci par le génocide pour intimider tout lecteur ayant velléité de redistribution des richesses par un Etat souverain gouverné par son peuple et non des représentants qui au final ne représentent pas toutes les couches de la société]".

p. 40 : "Tandis que la productivité grimpait en flèche dans les années vingt et qu'un nombre croissant de travailleurs recevaient leur lettre de licenciement, les ventes chutèrent brutalement. La presse commença à parler de «grèves des acheteurs», à évoquer des «marchés limités». Confronté à l'engorgement, à la surproduction et à la pénurie d'acheteurs, le Syndicat national du patronat (National Association of Manufacturers) fit front avec des opérations de relations publiques, pour rallier les consommateurs à sa cause. Il exhorta le public à «mettre fin à la grève des achats». A New York, des hommes d'affaires créèrent un «Bureau de la prospérité » pour convaincre les consommateurs qu'ils devaient «acheter maintenant», «remettre l'argent au travail» : «Vos achats font travailler l'Amérique». Les chambres de commerce locales se jetèrent dans la bataille pour relayer le message des entreprises dans tout le pays. Le monde des affaires espérait qu'en convainquant ceux qui travaillaient encore d'acheter plus et épargner moins, on parviendrait à dégonfler les stocks et à relancer l'économie américaine. Une croisade s'élança pour faire entendre «l'évangile de la consommation» aux travailleurs américains : ils devaient devenir une « masse » de consommateurs."

Le Capitalisme de la séduction
7.5

Le Capitalisme de la séduction (1981)

Critique de la social-démocratie libertaire

Sortie : 2006 (France). Essai, Culture & société

livre de Michel Clouscard

Adrast a mis 7/10.

Annotation :

p. 109 : C’est bien le mauvais usage de la drogue dure qui accroche ; lorsque l’on consomme au-dessus de ses moyens, physiologiques, psychologiques, financiers, on tombe dans la misère, physiologique, psychologique, financière. Et c’est la misère qui accroche. C’est le misérabilisme de l’usager qui fait le manque. La drogue est alors le besoin du manque. Parce que le misérabilisme est besoin et manque.

p. 160 : Peaufinons cet alexandrinisme : peut-on être violée en partouze ? Ou bien : peut-on, dans le même acte sexuel, être consentante et refusante ? La chatte de la voisine aura-t-elle le droit de témoigner ? Si le mari préfère une position amoureuse et si sa femme la refuse, est-ce un cas de divorce ? Au bénéfice de qui ? Où est le licite et l’illicite du lit conjugal ? Et de celui de l’union libre ?

pp. 210-211 : Cette stylisation exquise permet à l’intelligentsia de jouer sur les deux tableaux, du fantasme et du mondain. Consommation du fantasme et consommation mondaine. L’une par l’autre. C’est le fantasme qui sert à séduire car le fantasme est l’essence du mondain.
De grands noms illustrent cette esthétisation de l’art, vedettes des jolis-arts : Godard (le cinéma) ; Chéreau (l’opéra) ; Béjart (la danse) ; le Living, Planchon (le théâtre). L’expression corporelle de la mondanité bourgeoise. L’avant-garde des avant-gardes. La fantasmagorie prescrite, les modèles d’usage de la mondanité culturelle.

p. 250 : D’où la liberté sexuelle du Club Méditerranée, le modèle structural de la circulation des objets est aussi celui de la circulation des femmes : en user sans s’embarrasser de la possession. Partage démocratique de la jouissance. Parts de jouissance. Dans le Club. Entre membres. Car cet égalitarisme libertaire de l’usage est dans une propriété privée (microreproduction de la structure de la social-démocratie libertaire).

p. 253 : Bringuer, oui, mais en copains. S’éclater, mais sans se détruire (les drogués sont de plus en plus mal vus, pis, ignorés). On partage les frais. Pourquoi ne pas se partager les femmes. On se les passe, même, comme on se prête la voiture. C’est les vacances. Ça ne dure qu’un moment. Il faut en profiter. Il y a un impératif permissif de l’industrie du loisir.

Hommage à la Catalogne
8.1

Hommage à la Catalogne (1938)

Homage to Catalonia

Sortie : 1955 (France). Récit

livre de George Orwell

Adrast a mis 5/10.

Annotation :

"Je crois que les pacifistes gagneraient à illustrer leurs brochures de photographies agrandies de poux." p. 74

L'Insurrection qui vient
6.6

L'Insurrection qui vient (2007)

Sortie : mars 2007. Essai

livre de Comité Invisible

Adrast a mis 5/10 et a écrit une critique.

Annotation :

J'ai pas quoté la première partie pessimiste (et empreinte d'une certaine mauvaise foi comme je sais bien en faire) mais y'avait matière.

p. 83 : "Il n’y a plus à réagir aux nouvelles du jour, mais à comprendre chaque information comme une opération dans un champ hostile de stratégies à déchiffrer, opération visant justement à susciter chez tel ou tel, tel ou tel type de réaction; et à tenir cette opération pour la véritable information contenue dans l’information apparente." Alerta anticomplotista !

p. 86 : "On ne se lie pas innocemment [d'amitié] dans une époque où tenir à quelque chose et n’en pas démordre conduit régulièrement au chômage, où il faut mentir pour travailler, et travailler, ensuite, pour conserver les moyens du mensonge."

Sociologie de la bourgeoisie
7.3

Sociologie de la bourgeoisie (2000)

(Édition révisée en 2016)

Sortie : 2000 (France). Essai, Culture & société

livre de Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot

Adrast a mis 8/10.

Annotation :

p. 7 : "À travers celle-ci s’accumule et se gère une forme
de richesse essentielle, le capital social. Un capital qui, comme
le capital économique, ignore les frontières : il est lui aussi
cosmopolite. La grande richesse se construit et se vit à l’échelle
planétaire."

p.104 [au sujet du "jeune toxicomane de banlieue"] : Son corps est son seul bien et son seul lien, qu’il travaille, fait jouir et détruit dans une explosion d’individualisme absolu.

Chevaucher le tigre
7.5

Chevaucher le tigre (1961)

Cavalcare la Tigre

Sortie : 1964 (France). Essai

livre de Julius Evola

Adrast l'a mis en envie.

Annotation :

p. 27 : "La thématique nietzschéenne est bien connue : par besoin d’évasion, par défaut de vitalité, on avait inventé un « monde de la vérité », ou « monde-valeur », qui était détaché de ce monde-ci et lui était même opposé, qui lui conférait un caractère de fausseté et lui déniait toute valeur; on avait inventé un monde de l’être, du bien et de l’esprit qui était la négation via condamnation de celui du devenir, des sens et de la réalité
vivante."

p. 64 : "avoir pour principe de ne pas obéir aux passions, mais de les tenir en laisse (« la grandeur de caractère ne consiste pas à ne pas avoir de passions
— il faut les avoir au plus haut degré, mais les tenir en laisse, et sans que cette domination soit une source de joie particulière, avec simplicité »)"

Les Soliloques du pauvre
8.1

Les Soliloques du pauvre (1897)

Sortie : 1897 (France). Poésie

livre de Jehan-Rictus

Adrast a mis 7/10.

Annotation :

p. 37 :
Des candidats au copahu,
Des jeun's genss' qui fait dans l' Commerce
Et qui s' sont dit « Faut qu'on s'exerce
A la grand' noce, au grand chahut »

p. 50 :
(Car c'est pas drôl' d'êt' sans coucher
Pour la raison qu'on est fauché,
Et d' pas s' connaître eun' tit' maîtresse
A caus' qu'on est dans la détresse !)

(L' droit au baiser existe trop
Pour les rupins qu' est débauchés,
Pour les barbes, pour les michets
Le sans-pognon. lui, baise. la peau!)

p. 56 :
On croit s' battr' pour l'Humanité,
J' t'en fous. c'est pour qu' les Forts s'engraissent
Et c'est pour que l' Commerce y r'naisse
Avec bien plus d' sécurité.

p. 77 :
(Fini l' chiqué des vieux gratins,
Des pauv's vieux cochons balladeurs,
Fini, Mam' Poignet et ses leurres
Solitaires et clandestins!)

p. 123 :
Ah sors-toi l' coeur va pauv' panné
Ton coeur de pâle illuminé
Au lieur d'histoir's à la guimauve
Hurle ta peine à plein gosier.

p. 139 :
L' rupin qu' à z'eu des aventures
Regard' c' qui lui sort su' la hure
Et l' pauvre avec mélancolie
Les punais's sortir d' son bois de lit

p. 143 :
Aussi, moi, j' m'en fous de leur galette,
Qu'y se l'enfonç'nt dans l' troufignon,
Et ceuss' qui viv'nt ed' leur pognon,
J' les méprise! Y sont moins qu' des bêtes

Mort à crédit
8.2

Mort à crédit (1936)

Sortie : 1936 (France). Roman

livre de Louis-Ferdinand Céline

Adrast l'a mis en envie.

Annotation :

p. 21 : Voici le « dossier 34 », l’employé aux lorgnons noirs, le timide, le petit futé, il va l’attraper sa chtouille tout exprès, chaque six mois, cour d’Amsterdam, pour mieux expier par la verge... il pisse ses lames de rasoir dans les connasses des petites annonces... C’est sa prière ! comme il dit... C’est un microbe énorme, « 34 » ! il l’a écrit dans nos gogs ! : « Je suis la terreur des vagins... J’ai enculé ma grande soeur... Je me suis fiancé douze fois ! » C’est un client bien ponctuel, silencieux et pas difficile et toujours heureux de nous revenir.

p. 23 : moi je peux même pas tenter de boire depuis que je bourdonne
jour et nuit

p. 67 : Pendant les essayages, on découvre les épaules, la peau... Aussitôt qu’elle était partie, ça manquait jamais, je bondissais aux gogs, au troisième, me taper un violent rassis. Je redescendais tout cerné.

À rebours
7.6

À rebours (1884)

Sortie : 1884 (France). Roman

livre de Joris-Karl Huysmans

Adrast a mis 9/10 et a écrit une critique.

Annotation :

« Plus scélérate, plus vile que la noblesse dépouillée et que le clergé déchu, la bourgeoisie leur empruntait leur ostentation frivole, leur jactance caduque, qu'elle dégradait par son manque de savoir-vivre, leur volait leurs défauts qu'elle convertissait en d'hypocrites vices ; et, autoritaire et sournoise, basse et couarde, elle mitraillait sans pitié son éternelle et nécessaire dupe, la populace, qu'elle avait ellemême démuselée et apostée pour sauter à la gorge des vieilles castes ! [...] Une fois sa besogne terminée, la plèbe avait été, par mesure d'hygiène, saignée à blanc ; le bourgeois, rassuré, trônait, jovial, de par la force de son argent et la contagion de sa sottise. Le résultat de son avènement avait été l'écrasement de toute intelligence, la négation de toute probité, la mort de tout art [...] C'était le grand bagne de l'Amérique transporté sur notre continent ; c'était enfin l'immense, la profonde, l'incommensurable goujaterie du financier et du parvenu, rayonnant tel qu'un abject soleil, sur la ville idolâtre qui éjaculait, à plat ventre, d'impurs cantiques devant le tabernacle impies des banques ! »

Relu dans "Le Bourgeois" d'Alain de Benoist [oui c'est la "nouvelle droite" mais on s'en fout s'il a des choses bien à dire], texte très court de 27 pages qui résume bien l'installation de l'ordre bourgeois.

Critiques théoriques

Critiques théoriques

Sortie : 1 avril 2003 (France). Essai

livre de Alain de Benoist

Annotation :

Partie intitulée "Le Bourgeois", recommandable, même si elle tend à réhabiliter l'aristocrate sur quelques paragraphes [très peu au final] opposant les valeurs bourgeoises aux valeurs aristocratiques.

p.19 : Le bourgeois n'est en fait pas tant moral que moraliste. Comme l'avait bien vu Mounier, il n'adhère à la morale que dans une perspective instrumentale. Les principes moraux sont pour lui des dispositifs permettant de se prémunir soit par en haut, contre l'autorité politique (dont on peut délégitimer les décisions par l'argumentation morale), soit surtout par en bas, contre le peuple (les « classes dangereuses »), qu'il faut dissuader de se révolter contre le sort qui lui est fait. Comme la religion, la morale devient alors un auxiliaire de la gendarmerie. Elle permet de maintenir l'ordre et d'éliminer les déviants, qui ne respectent pas la règle du jeu social et contestent le « désordre établi ».

Réflexions sur la violence
7.1

Réflexions sur la violence (1908)

Sortie : octobre 2006 (France). Essai

livre de Georges Sorel

Annotation :

p. 16 : "[...] les hommes sensés en vinrent à se demander si tout cet étalage de prétendu pessimisme n'avait pas été le résultat d'un certain déséquilibre mental."
"Les maîtres du monde contemporain sont poussés, par les forces économiques, dans la voie de l'optimisme"
"Lorsque nous rencontrons un homme qui, ayant été malheureux dans ses entreprises, déçu dans ses ambitions les plus justifiées, humilié dans ses amours, exprime ses douleurs sous la forme d'une révolte violente contre la mauvaise foi de ses associés, la sottise sociale ou l'aveuglement de la destinée, nous sommes disposés à le regarder comme un pessimiste, tandis
qu'il faut, presque toujours, voir en lui un optimiste écoeuré [...]"

p. 25 : On peut indéfiniment parler de révoltes sans provoquer jamais aucun mouvement révolutionnaire, tant qu'il n'y a pas de mythes acceptés par les masses ; c'est ce qui donne une si grande importance à la grève générale, et c'est ce qui la rend si odieuse aux socialistes qui ont peur d'une révolution ; ils font tous leurs efforts pour ébranler la confiance que les travailleurs ont dans leur préparation à la révolution ; et pour y parvenir, ils cherchent à ridiculiser l'idée de grève générale, qui seule peut avoir une
valeur motrice. Un des grands moyens qu'ils emploient consiste à la présenter comme une utopie : cela leur est assez facile, parce qu'il y a eu rarement des mythes parfaitement purs de tout mélange utopique.

p. 27 : Renan était fort surpris de constater que les socialistes sont au-dessus du découragement : « Après chaque expérience manquée ils recommencent; on n'a pas trouvé la solution, on la trouvera. L'idée ne leur vient jamais que la solution n'existe pas et là est leur force ».

p. 33 : D'après lui, le syndicalisme tend nécessairement à l'opportunisme
; comme cette loi ne semble pas se vérifier en France, il ajoute : « Si dans
quelques pays latins, il a des allures révolutionnaires, c'est de la pure apparence. Il y crie plus haut, mais c'est toujours pour demander des réformes dans les cadres de la société actuelle. C'est un réformisme à coups de poing, mais c'est toujours du réformisme ».

La fable des abeilles
5.9

La fable des abeilles

The Fable of the Bees

Sortie : 1714 (France). Essai, Culture & société

livre de Bernard Mandeville

Adrast a mis 5/10.

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