(Re)Lu en 2014

Annotation :

Très sympa !
L'héroïne est une enfant pourrie gâtée, attachante malgré ses nombreux défauts. Jane Austen écrit des textes beaucoup plus incisifs que je ne l'aurais imaginé il y a quelques années, quand je n'avais lu qu'Orgueil et Préjugés.
(5 janvier)

Annotation :

Un roman qui prend la Grande Guerre sous un autre angle : comment elle est vécue comme des vacances par ceux qui restent.
Le héros est immature, pénible, aime d'une passion adolescente la femme d'un poilu.
C'est bien écrit, et pas pompeux malgré l'orgueil de l'adolescent pourri gâté qui s'exprime.
(7 janvier)

Annotation :

La note est un peu donnée au hasard, parce que c'est difficile de noter un témoignage.
Tout est assez atroce en tout cas, la lecture est éprouvante.
La meilleure campagne de prévention contre la drogue qui puisse exister.
(7 janvier)

Annotation :

C'est très bien écrit, il y a beaucoup de choses intéressantes derrière la trame.
Après l'intrigue principale ne m'a pas passionnée. J'ai aimé sans adorer en somme.
(10 janvier)

Annotation :

La femme qui n'avait jamais grandi.
De ses 13 ans à la date de ses poèmes/lettres d'amour au refrain lancinant, elle n'évolue pas, restant piégée volontairement dans un amour d'adolescente.
J'aime beaucoup Zweig, et ce roman me confirme l'idée que je devrais lire toute sa biographie.

(10 janvier)

Annotation :

Lu en anglais.
J'ai moins aimé que le premier. L'intrigue est moins sympa, mais je n'accroche pas trop aux policiers de ce genre habituellement, donc ce n'est peut être qu'une affaire de goûts.
Ça reste un bon page-turner avec des personnages qu'on prend plaisir à suivre.

(22 janvier)

Annotation :

Julien Sorel est souvent à baffer, comme d'autres personnages, mais tous sont assez intéressants et ambigus. Je regrette de manquer de connaissances un peu plus précises de cette période toutefois, parce que la lecture en devient plus difficile à suivre.
J'ai aimé, sans adorer.
(24 janvier)

Annotation :

C'est pas très très original, le scénario a un goût de vu et de revu. Toujours la même histoire d'amour transposée dans un univers différent, cette fois ci les zombies. L'univers est d'ailleurs plutôt intriguant et bien foutu mais... voilà, c'est du réchauffé.
Ça se lit vite et ça n'ennuie pas trop, mais c'est plutôt accessoire.
(27 janvier)

Annotation :

J'ai préféré à "Histoire d'O" dans me style érotique, l'écriture est plus fluide et les personnages plus vivants.
C'est néanmoins très misogyne et déprimant dans sa description des rapports hommes femmes, et un peu lourd dans certaines répétitions.
Le livre est très court cependant, donc ses défauts n'ont pas trop le temps de choquer et le tout reste une lecture très agréable, et surtout assez intéressante : c'est plutôt enrichissant de pouvoir lire l'origine d'un mot. (En l'occurrence le masochisme)
(28 janvier)

Annotation :

Assez bien foutu, bien construit, difficile d'en dire plus sans gâcher un peu le livre en fait.
Un thriller vraiment sympa !
(30 janvier)

Annotation :

Pas super intéressant. C'est surtout un livre objet au final, sauf que clairement, même si les dessins sont bien fait, ça manque beaucoup de caractère et de style, tout comme l'histoire.
Savoir dessiner n'est pas savoir illustrer...
(31 janvier)

Annotation :

Un thriller très bien foutu, dynamique et intriguant !
Quelques petits défauts que j'ai noté à la lecture puis oubliés, mais dans l'ensemble les enjeux sont bien posés et le rythme très bien géré.
(7 février)

Annotation :

La forme est très étrange, c'est une sorte de thèse sur un film dont on analyse le contenu et le contexte, les réactions... Avec en plus de ça des notes des différents protagonistes qui sont arrivés en possession de la pellicule, le tout étant mis en forme plus ou moins "aléatoirement". La forme est un gros plus du livre, et suit le fond, ce qui est assez intéressant.
Le livre reste toutefois très lisible malgré cet aspect un peu indigeste et des digressions plus ou moins passionnantes (les études d'ingénieur peuvent carrément aider pour comprendre pleinement certains passages avec plein de formules et tout, c'est rigolo.)
C'est assez fluide donc réussi. L'histoire en elle-même ne respecte pas la promesse de récit horrifique, mais c'est un récit d'aventure très honnête, qui vaut surtout par tout l'enrobage : le récit en lui-même n'est clairement pas prédominant dans ce roman.
Au final, ça reste une lecture très agréable et rigolote, à condition d'accrocher à ce côté thèse un peu lourd par moments.
(11 février)

Annotation :

Moui.
(13 février)

Annotation :

C'est bien écrit, drôle et révoltant, et on apprend aussi beaucoup de choses !
Une lecture à conseiller à ceux qui s'intéressent à l'Inde ou au féminisme, et même aux autres en fait.
(16 février)

Annotation :

Un roman épistolaire qui frôle le sans fautes. Merteuil est géniale, les lettres semblent réelles, c'est drôle, intelligent, rythmé.
Seule la conclusion empêche le livre d'être parfait, dans une non-apothéose moralisatrice qui déçoit.
(21 février)

Annotation :

Certains chapitres, comme La Révolte ou celui de la plaidoirie, sont parmi les plus beaux que je n'ai jamais lu. Je l'ai préféré à Crime et Châtiment je pense. Il y a de très belles réflexions théologiques et psychologiques. Un très beau roman !
(22 février)

Annotation :

Lu en VO.
Au départ ça partait assez mal à cause d'une discussion sur V for Vendetta : l'héroïne qui se plaint parce que c'est "a boy movie" et pourquoi on demande aux filles d'aimer les films pour garçons et patati et patata...
Mais finalement c'est plutôt bien.
(23 février)

Annotation :

C'est très beau.
(24 février)

Annotation :

Lu en VO.
Trop injuste, trop pénible.
Je voulais le lire pour compléter ma lecture du "Monde de Ben" que je n'avais déjà pas spécialement aimer, et bien voilà.
Je ne comprends pas son prix Nobel de littérature !
(25 février)

Annotation :

Très rigolo, instructif, j'ai vraiment bien aimé !
L'Iran est un pays que je connais très mal à part l'image qui en circule, et ça fait du bien de lire un livre sur les "vrais gens".
(5 mars)

Annotation :

Inégal.
C'est parfois un peu poussif, le début ne m'a pas passionnée. J'ai largement préféré la deuxième partie, bien plus rigolote, avec de jolis passages.
(6 mars)

Annotation :

Olalah, Shakespeare écrit vraiment, vraiment bien.
(8 mars)

Annotation :

C'est une très belle apologie de la lecture !
Beaucoup de choses sonnent très vrai, et tout ça me donne envie de relire Madame Bovary. De mon plein grès cette fois.
(13 mars)

Annotation :

Même si le style est très narratif et contient peu d'actions, j'ai apprécié ce roman. Le A est paradoxalement libérateur, et le livre vraiment moderne et féministe quand on se place dans l'époque et le contexte de ces Etats-Unis puritains.
(14 mars)

Annotation :

Il va devenir impératif que je me procure le reste de la bibliographie de Zweig.
J'aime énormément.
(16 mars)

Annotation :

J'ai beaucoup aimé !
Je m'attendais à lire quelque chose d'un peu élitiste, pompeux ou "compliqué", finalement non. La pièce est très courte, se lit très vite, très dynamique, et je suis ravie de connaître enfin la signification exacte de "L'enfer, c'est les autres". Encore une citation trop souvent dépouillée de son sens premier !
Bref, j'ai tout aimé.
(16 mars)

Annotation :

Marguerite est adorable, c'est bien écrit même si un peu niais finalement, mais alors le mode de fonctionnement d'Armand est tellement éloigné du mien que j'avais envie de le baffer à chaque crise de jalousie ridicule.
C'est un beau livre, malheureusement le fils reste dans l'ombre du père.
(19 mars)

Annotation :

J'ai préféré la pièce qui précède les Mouches dans le recueil, mais celle-ci reste excellente. J'aime beaucoup toute la mythologie autour des Atrides depuis ma prépa, et pendant un an j'ai entendu parler de cette pièce sans avoir le temps de la lire (je n'avais déjà pas le temps de dormir donc bon).
C'est réparé et tant mieux. Cette version est un peu différente que celle des Choéphores d'Eschyle, et avoir lu les Eumenides permet de connaître aussi la suite. Plus qu'Agamemnon et j'aurai "complété" l'Orestie dans un sens un peu plus large !
En tout cas, Sartre écrit effectivement très bien, et sur scène ça doit être très beau.
(20 mars)

Annotation :

Lu en anglais.
J'ai été un peu déçue par ce denier volume qui met beaucoup de temps à commencer. Les deux premières parties, soit à peu près 300 pages quand même, m'ont ennuyée à mourir, et j'ai vraiment eu l'impression que l'auteur me prenait pour un imbécile tant l'intrigue est répétée une centaine de fois. Mais vraiment. À chaque putain de page, un résumé de ce qui s'est passé avant. C'était très, très lourd.
Heureusement les dernières parties rattrapent un peu.
La fin laisse un goût d'inachevé mais ce n'est malheureusement pas la faute de l'auteur.
(21 mars)