Rien en commun (à première vue) et pourtant...

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La Graine de l'Acceptation - Analyse croisée avec Miraï, ma petite soeur

Amis ou ennemi ? Réalité ou rêverie ? - Rapprochement avec le Labyrinthe de Pan

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Naissance d'un Mythe - Analyse croisée avec Joker

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Incompatibilité Sentimentale - Rapprochement avec Blade Runner 2049 et Best Friend

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L'Héritage - Rapprochement avec Star Wars : The Force Awakens

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L'Intelligence Artificielle selon Ridley Scott - Rapprochement avec Blade Runner

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The Return of the Jedi - Rapprochement avec le Seigneur des Anneaux

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Don't (forget to) smile - Rapprochement avec Taxi Driver et King of Comedy

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Next Generation - Rapprochement avec Terminator : Dark Fate

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I was your ghost - Rapprochement avec Interstellar

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The Muppet Master - Rapprochement avec Batman v Superman

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We are Upgraded - Rapprochement avec Venom

Points communs :

- Eddie et Grey vont être amenés à partager leur corps avec des *entités* étrangères, l'une est alien, l'autre une intelligence artificielle ;

- Les entités ont leur propre conscience, ce qui donne lieu à une dynamique *schizophrénique* ;

- Les entités sont capables de prendre le dessus, notamment lorsqu'il faut en venir aux poings (cela n'est pas sans rappeler le personnage de James McAvoy dans la trilogie Incassable). ;

- Les entités sont capables de *transcender* les corps de leur *hôte* ;

- Chacune des entités a choisi son hôte et sont amenées à les quitter pour ensuite les retrouver dans la deuxième moitié des métrages ;

- Les protagonistes principaux affrontent des *bad guys* améliorés/*hôtes* ;

- Bonus : les deux protagonistes principaux prennent les traits de deux acteurs qui ne peuvent pas plus se ressembler

Différences :

- Eddie est amené à interagir avec Venom à l'issue de la première heure du métrage alors que Grey rencontre Slem, l'intelligence artificielle, au bout de trente minutes ;

- L'évolution des deux films peut être représentée par la lettre X : dans un premier temps, Venom se montre hostile et désintéressé d'Eddie tandis que Slem va prêter main forte à Grey dans le cadre de son enquête mais un basculement va être effectué puisque, dans un dernier temps, Venom va s'attacher à son *hôte* et décider de rester avec lui alors que Slem va réussir à écarter complètement Grey de l'équation et prendre le contrôle total.

En termes de ressenti, j'avoue avoir préféré Upgrade à Venom car si le film de Leigh Whannell manque parfois de subtilité (particulièrement au début en nous présentant un personnage qui ne cache pas ses réserves quant aux avancées technologiques), l'adaptation de Ruben Fleischer s'avère être trop classique, prévisible (donc peu intéressante) et manichéenne. Après, l'écriture d'Upgrade n'est pas non plus transcendantes mais je lui reconnais certaines qualités tels que la réalisation des scènes d'actions, le travail au niveau de la chorégraphie des combats rapprochés ou même le manque de subtilité qui vient d'être évoqué puisqu'il permet d'accentuer l'ironie de la résolution et a donc une utilité.

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Dinner Time - Rapprochement (un peu évident) avec Next Floor (mais ça permet au court-métrage de Denis Villeneuve de se faire connaître)

Points communs :

- L'idée de la plateforme et la tour (ou plutôt le puits qui semble être sans fond) se retrouvait déjà dans Next Floor ;

- Le caractère bestial des *invités* de Next Floor est quasi identique à ceux que l'on est amené à voir dans Platform : ils s’empiffrent littéralement lorsqu'il y a de la nourriture en abondance, se montrent hostiles quand ils craignent que la nourriture va leur manquer et le fait que les mets soit recouverts de poussière ne les empêchent pas de les manger = Ce groupe de personnes, qui semblent pourtant aisées et représenter une seule catégorie sociale (costume, bijoux, coiffures...), est exposé à la manière d'un éventail ouvert dans Platform (ceux qui sont placés aux premiers niveaux mangent sans aucun scrupule et ceux qui sont dans les niveaux inférieurs doivent manger les restes, voire même les os), en accentuant la satire sociale ;

- Les mets sont dignes d'un grand restaurant et le personnel de cuisine l'est tout autant.

Différences :

- Les *invités* de Next Floor sont servis de manière continue alors que tout l'*enjeu* de Platform consiste à voir évoluer au fil des étages la plateforme ;

- Les mets de Next Floor sont exclusivement composés de viande (un message de défense de la cause animale semble pouvoir être décelée à côté de la satire sociale du capitalisme) ;

- Une fois que la plateforme de Platform a atteint le dernier niveau, celle-ci remonte en cuisine pour *refaire le plein* alors que, dans Next Floor, la chute de la table des *invités* semble être sans fin ;

- Dans Platform, les personnages sont de véritables prisonniers et aucune échappatoire ne semble envisageable alors que, dans Next Floor, les *invités* sont les responsables de leur propre chute et aurait pu l'éviter en prenant la décision d'arrêter ce cercle vicieux en arrêtant de manger (l'avidité et la cupidité des hommes les mènent à leur chute) ;

- La diversité des profils des personnages de Platform.

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Quand l'Elève veut épater le Maître - Rapprochement avec La Vague (Die Welle)

Points communs :

- Les deux films ont pour sujet la relation élève-professeur qui est susceptible de dégénérer lorsque les propos tenus ou les idées avancées par le professeur sont pris au pied de la lettre par l'élève ;

- Aucun des professeurs n'a cherché à susciter un tel comportement en exposant leurs idées et se voient dépasser par les événements.

Différences :

- Le discours tenu par Cadell est assez particulier (voire même dérangeant) alors que Wengeir cherchait simplement à donner un cours sur le sujet de la dictature afin de faire comprendre à ses élèves à quel point il est simple d'en instaurer une et de fédérer ;

- Alors que Tim Stoltefuss est complètement désemparé lorsqu'il constate que Wengeir n'avait pas la moindre intention de lancer un tel mouvement et voulait, au contraire, y mettre un terme, Brandon semble satisfait de lui, comme si avoir l'approbation de son professeur n'avait plus d'importance et qu'il avait tout simplement aimé commettre un meurtre.

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Au tour de la Sorcière - Rapprochement avec Maléfique

Points communs :

- Les deux films sont des relectures de contes des frères Grimm ;

- Les deux films accordent une place de choix aux sorcières en en faisant un personnage principal dans l'un ou un personnage secondaire qui a droit à pas mal de développement dans l'autre ;

- Les deux sorcières s'attachent aux héroïnes et vont mêmes jusqu'à se comporter comme des mères à leur égard.

Différence :

- Maléfique a tendance à assagir la sorcière aux cornes en modifiant frontalement la résolution de l'histoire alors que dans Gretel & Hansel, la sorcière demeure l'antagoniste.

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L'Expérience Cinématographique Interactive (l'E.C.I. pour les intimes) - Rapprochement avec Last Action Hero

Points communs :

- Les deux films imaginent des séances de cinéma pas comme les autres ;

- La dernière partie de Last Action Hero se passe dans notre monde.

Différence :

- Danny rentre littéralement dans le film.

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Big Troubles in Little Mind - Rapprochement avec le Prince Oublié

Points commun :

- Les deux films nous plongent dans le subconscient de deux jeunes filles ;

- Le Prince Oublié explore davantage le Dream Land de Vice-Versa ;

- On retrouve le concept d'oubliettes où terminent les personnages/souvenirs qui sont oubliés ou qui ne comptent plus aux yeux des deux jeunes protagonistes.


It's ok to be sad - Rapprochement avec Wendy

Points communs :

- On retrouve une sorte de *no man's land* peuplé d'étranges fantômes qui semblent voués à disparaître car oubliés ;

- Les personnages qui incarnent la tristesse (Sadness et les enfants perdus devenus adultes) sont vu par ceux qui incarnent la joie et l’insouciance (Joy et Peter Pan) comme de véritables *boulets* qui ne servent à rien, voire même comme des pestiférés ;

- Les deux films se terminent avec les personnages qui incarnent la joie qui acceptent/comprennent l'importance de ceux qui incarnent la tristesse.

Annotation :

Partager l'Imaginaire - Rapprochement avec Koma

Points communs :

- Les deux films reposent sur des concepts similaires puisque les protagonistes ont la faculté de rejoindre, à travers le rêve ou en état de coma, un monde plus ou moins *modulable* ;

- On retrouve le concept de *partage*, qu'il s'agisse de rêve ou de coma ;

- Les architectes occupent une place importante dans les deux films ;

- Les menaces auxquelles doivent faire face les protagonistes une fois dans le monde rêve/coma proviennent des protagonistes eux-mêmes (de leur subconscient/leurs souvenirs/leur cerveau inactif).

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Rapprochement avec les Crimes de Grindelwald

Points communs :

- Deuxièmes volets de saga de cinq films qui n’augurent rien de bon pour la suite… ;

- Suites qui ramènent des personnages qui meurent dans le film précédent ;

- Suites dans lesquelles des liens de parenté des plus improbables sont révélés.. ;

- Suites qui nous font comprendre que le nom de la saga aurait pu être mieux choisi..

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Des vacances passées - Rapprochement avec Westworld

Points communs :

- L'action a pour scène des parcs d'attraction qui permettent aux visiteurs d'avoir un *aperçu* de ce à quoi ressemblait la vie sur Terre jadis ;

- Pour mettre sur pied de tels parcs, des avancées considérables ont dû être réalisées (en génétique et en robotique) ;

- Les deux films sortent tout droit de l'esprit de Michael Crichton, auteur de Jurassic Park et réalisateur de Westworld.

Annotation :

Authentique Illusion - Rapprochement avec 1917

Points communs :

- Les deux films ont été vendus sur la base d'un concept (film-plan séquence pour l'un, film found footage, pour l'autre) ;

- Les deux films réussissent techniquement à *fausser* notre perception en nous convaincant qu'ils remplissent leur cahier des charges.

Annotation :

Rapprochement avec les Indestructibles 2

Points communs :

- Outre le fait qu'ils s'agissent de deux Pixar, le Monde de Dory et les Indestructibles 2 sont deux suites qui ont mis un certain temps avant de se faire (13 ans pour l'un, 14 pour l'autre) et qui reprennent la balle au rebond comme si les années séparant les deux films n'étaient pas passées en reprenant l'action là (ou quasiment là pour le Monde de Dory) où nous avions laissé les personnages au début des années 2000's ;

- Ces deux suites donnent une place de choix aux protagonistes principaux féminins.

Annotation :

A Place of Transformation - Rapprochement avec La Reine des Neiges II

Points communs :

- Les deux forêts sont, comme le dit Olaf dans le film d'animation Disney (et ce à deux reprises), des lieux de mutation et de transformation ;

- Les deux forêt sont entourées d'une barrière *naturelles* qu'il faut traverser pour pouvoir y entrer.

Annotation :

Un grand pouvoir de destruction implique qu'on se pose de grandes questions - Rapprochement avec Batman v Superman

Points communs :

- Les deux films reprennent leur action dans les ruines laissées par les affrontements du volet précédent ;

- Le monde extérieur remet en question la place qu'occupent et que doivent occuper Superman et Godzilla.

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Quand DC fait du Marvel - Rapprochement avec Deadpool

Points communs :

- La narration des deux films repose sur un jeu de va-et-vient pour le moins chaotique ;

- Les protagonistes principaux sont barrés et s'entourent de personnages qui le sont tout autant.

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Rapprochement avec The Congress

Points communs :

- Il est proposé à deux célébrités d'être scannées pour figurer dans des films sans avoir besoin de les tourner ;

- Les deux films sont, en grande partie, animé.

Annotation :

Rapprochement avec Spider-Man 2

Points communs :

- Les deux héros, dotés de super pouvoirs ou de pouvoirs magiques, perdent pendant un temps leur capacité à exercer lesdits pouvoirs ;

- Les deux héros peuvent être vus comme des "super héros" car ils sont prêts à sauver à la rescousse de ceux qui sont en danger.

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Rapprochement avec Pirates des Caraïbes : la Malédiction du Black Pearl

Points communs :

- Le triangle amoureux des deux films sont très similaires ;

- Elizabeth Swann fait beaucoup penser à Cora.

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La Mort reporte l'échéance - Rapprochement le Chat Potté 2 : la Dernière Quête

Point commun :

- La Mort est (ou semble être) personnifiée dans les deux films, lesquels se terminent avec la Mort qui ne souhaite plus le trépas des protagonistes principaux car ils ne la craignent plus (ce qui leur est arrivé dans leur film respectif les à changer).

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Watch Your Head! - Rapprochement avec A Cure For Life

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No turning back - Rapprochement avec le Chant du Loup