Science-fiction : déceptions et gâchis

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De la part d'un réalisateur comme Spielberg, on se demande comment on a pu arriver à un tel produit. Un film qui commençait vraiment bien, avec de bonnes idées à développer mais qui ensuite tourne en chasse à l'homme ennuyeuse dans un univers vu, vu, vu et revu. Non mais quel gâchis...

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Je sais à quel point c'est un classique et je suis respectueux envers tout le travail accompli par Ridley Scott... mais je l'ai vu deux fois, et j'ai beau faire, je m'endors toujours devant tout ce symbolisme ronflant... Mais je m'endors vraiment, c'est pas juste de l'ennui.

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Tout aussi peu pertinent que le premier volet, et l'univers n'est pas plus développé, tout comme la critique contemporaine qui reste au ras des pâquerettes.

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Exactement pareil que sa suite.

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Peut être bien l'une des pires abominations sortie ces dernières années.

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Comme Tron Legacy, c'est très beau, très bien réalisé mais Kosinski ne sait pas raconter son histoire sans la faire ressembler à une berceuse. Et puis le scénario hein, on repassera...

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Une sorte de remake qui s'assume pas, ronflant, abrutissant. Une sorte d'épisode de série qui en fout plein la gueule mais ne peut pas s'empêcher de mettre des cliffhangers toutes les 15 minutes.

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Que dire ? C'est bien beau d'en faire des caisses sur le maquillage et même si l'idée était vraiment bien troussée au départ, l'univers est mal construit. Le film est plat et ce n'est pas rajouter tout plein d'éléments genre télékinésie et scénario à la Inception qui remonte le niveau.

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J'adore l'original, mais là c'est juste une honte.

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J'ai le souvenir d'un film assez limité, très basique et pas franchement intéressant. Surtout très voire trop grand public, en démontre d'abord la présence de Will Smith toujours là quand il s'agit d'attirer du monde (va savoir pourquoi).

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Y a t-il besoin d'en dire plus ? Rien que de prononcer le nom de cette chose suffit à se souvenir de cette indéfinissable merde remplie d'effets spéciaux et au manichéisme si présent qu'il déborde par tous les pores de la pellicule.

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On sait à quel point le projet de Kassovitz à été calamiteux, c'est donc à la fois un gâchis et une déception. Dommage parce que ça sentait le projet vraiment ambitieux. Malgré tout les idées sont bien là alors j'ai pas été trop méchant.

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Heureusement, Quentin Dupieux à subitement eu un coup de génie avec Rubber ensuite.

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HAHAHAHAHAHAHA. Allez, je suis gentil, j'aime bien la séquence FPS même si elle est à l'exact opposé de ce que film devrait proposer.

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Non non non non non et re-non. C'est pas possible d'être aussi incompétent.

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On en oublierait presque que McTierman à réalisé des classiques du cinéma moderne.

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Vouloir faire un film profondément philosophique est une riche idée. Eviter de citer Descartes, Kant et Nietzche à tout va de manière aride dans un scénario à plusieurs niveaux de lecture est aussi une idée à développer.

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C'est un peu comme 2012. Comment ça c'est le même réal ?

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Roland Emmerich...

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Un film qui aurait pu être l'héritier spirituel de Matrix, poussant encore plus loin les limites de notre perception du cinéma... Mais non.

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L'un des plus gros pétard mouillé des années 2010. Indigeste, une sorte de fast-food de la science-fiction qui se croit intelligent en nous sortant sa science.

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Une suite pauvre. Si elle est correcte visuellement et propose quelques passages virtuoses, c'est d'un ennui sans nom.

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Film conventionnel, dans la veine d'une production Marvel. Le problème étant qu'on est dans la série Terminator. Alors quand ce qui représentait une exception devient quelque chose d'aussi policé... Forcément, ça fait mal.

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Quand une production américaine s'approprie un univers japonais, et mélange ça à tout ce que les américains préfèrent : des guns, des grosses armures, du voyage dans le temps et des références aux jeux vidéo. Un divertissement qui n'en finit jamais, pour finir par se mordre la queue.