Top 100 Films

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LE film qui a déclenché ma passion du cinéma, lors des vacances d'été de mes 15 ou 16 ans. Un film à la fois très sérieux et ironique, esthétiquement fascinant dans les manières qu'il a d'employer tous les procédés cinématographiques pour mener son histoire, le film parfait à découvrir ado et redécouvrir adulte avec toute sa richesse.

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Un film-monde proche de la perfection (et j'aurais dit parfait si Kelly lui-même n'était pas hésitant sur les différentes versions possibles du film), d'une richesse thémathique et émotionnelle complètement folle, mêlant les genres cinématographiques pour un résultat cher à mon coeur.

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Mon feel good movie par excellente et la consécration de mon amour pour Tom Cruise, combinant film de sport, amitié sincère, histoire d'amour suffisamment idyllique pour plaire à l'idéaliste que je suis et suffisamment réaliste pour illustrer certaines désillusions de la vie, et film-motivation individuelle sur la manière de rester en accord avec soi-même. Un film à revoir tous les ans.

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Un de mes rares chocs issus de ma licence cinéma, quasi-découverte du cinéma expérimental dans ce qu'il a de plus proche de moi, non pas dans son sujet pour le moins dramatique et particulier, mais davantage dans sa manière d'explorer et analyser son passé et son quotidien, de se livrer et de poser cela en images et en sons.

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Le chef d'oeuvre ultime. Le film parfait, ample et intime, qui m'a procuré une sorte de fascination pour le New York du début du XXe siècle. Pas mon premier De Niro (cela dit, lequel est-ce, en fait ?), mais mon préféré.

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Gros choc au ciné et grande frustration d'avoir dû partir de la salle au 1/3 du film avec ma soeur traumatisée et mon père peu enclin à découvrir un film aussi déprimant. Revu plus tard, et confirmation d'avoir découvert un film aussi techniquement impressionnant qu'il est éprouvant, un des meilleurs films d'anticipation jamais fait, peut-être le meilleur.

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Relativement apprécié lors de mon premier visionnage, beaucoup plus lors du second, et complètement effondré lors du troisième. Un film multiple, presque malade mais pourtant tellement maîtrisé, mêlant inquiétude existentielle et quête intime bouleversante. La fin me détruit à chaque fois dans son instantané de vie pour l'éternité.

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Redécouverte totale il y a quelques années, de son caractère intime plein d'humanité, du talent de content hors pair de Zemeckis, des questionnements intelligents mêlant SF et spiritualité, de l'injustice du fanatisme religieux, du talent attachant de Jodie Foster, des expérimentations visuelles fabuleuses et de la puissance folle du passage dans l'autre dimension.

J'aime le considérer ex-aequo avec A.I., ou alors presque.

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Puf kiff 90s bis, cette fois-ci ambiance californienne à l'appui : surf, rock n roll, acteurs cool et bien sûr réalisation hyper efficace de Bigelow. Un immense plaisir de visionnage.

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Un film qui avait tout compris avant tout le monde, film-concept qui s'étale à toute l'humanité, porté par un incroyable Jim Carrey et un Ed Harris toujours aussi humain derrière sa carapace détachée. Drôle, émouvant, méta et ludique.

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Le film n'est plus dans la période de perfection styliste de Ridley Scott, en revanche la dramaturgie est tellement forte, il émane tellement un sentiment de grandeur du métrage, par ses décors, son ampleur, ses acteurs, sa musique, que j'ai toujours la sensation de voir un chef d'oeuvre. Nostalgiquement il évoque également quelque chose de particulier à mes yeux.

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Le film qui sent bon la naphtaline de ma jeune vie de cinéphile, le souvenir d'un aspect pulp sur la jaquette du dvd d'amies à mes parents qui me faisait rêver, de la BO d'enfer, des acteurs d'enfer, et d'un kiff 90s quasiment jamais égalé.

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Un de mes premiers gros choc cinéphile au lycée, pris d'une fascination pour la banlieue aisée américaine et probablement découverte de mes premiers personnages marginaux cinématographiques. Un film que j'ai assez peu revu, mais dont les images sont tellement partout dans la tête comme ailleurs que je n'en ressens presque pas le besoin. Aussi, découverte sans le savoir du scénariste qui créera ma future série préférée.

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Mon mélodrame préféré, mêlant parfaitement l'amour et la mort dans une superbe esthétique éthérée, des personnages profondément humains, une musique sublime et un Brad Pitt angélique. La fin met les potards à fond mais je marche à chaque fois.

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Etrangement ce fut ma porte d'entrée vers Gregg Araki, que j'aime aujourd'hui beaucoup pour quasiment tous ses films. Mysterious Skin garde la place de numéro 1 par ses thématiques très fortes, son aspect torturé et l'interprétation incroyable des acteurs.

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Film de guerre sans en être un, je crois bien avoir découvert Coppola avec Le Parrain mais cette apocalypse reste ma préférée de l'auteur, une véritable explosion de mise en scène hallucinante.

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Un film génial, mon premier contact avec Oliver Stone que j'aime beaucoup, bouillonnant d'idées de mise en scène (sitcom glauque, film de zombie, et évidemment mélange entre docu et fiction en prenant un Bonnie and Clyde moderne déjanté), avec une esthétique psychédélique etun propos sur l'Amérique et sa fascination pour la violence.

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Film d'une efficacité redoutable, au concept pleinement exploité et doté d'une grande profondeur même si pas particulièrement originale en elle-même. Un grand plaisir de cinéma intelligent et un peu dérangeant, multiculturel et avec des moments d'actions épiques : il y a comme une odeur d'idéal.

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Cela peut paraître étonnant de mettre un film pareil aussi haut, mais le visionnage fut tellement un choc, viscéral, émotionnel et métaphysique, que des images et même des phrases resteront gravées à jamais dans mon esprit.

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Film labyrinthique, fascinant et obsédant, sans doute le plus grand mystère laissé par Kubrick, porté par un propos multiple et pas évident à saisir sans pour autant perdre le spectateur. Un grand film à revoir encore et encore.