animation méconnue à (re)découvrir

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C'est d'une beauté folle tout en étant une anomalie temporelle à environ tous les niveaux possibles. Je dis ça comme un grand compliment.

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C'est beau, c'est triste, c'est puissant, c'est tragique et c'est beau.

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Probablement un de mes films préférés tout court. Mon objectivité se défenestre instantanément dès que je dois en parler, donc je n'en parlerai pas. Voilà.

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Ne montrez surtout pas ça à vos gosses. Mais voyez-le absolument, c'est un petit chef-d'œuvre de déprime post-apo.

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Une preuve de plus qu'un film n'a pas besoin d'avoir énormément à raconter pour être captivant. Et l'animation est folle. FOOOOOLLE.

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J'étais déjà un peu trop vieux pour faire partie du public visé par ce film quand je l'ai vu en salle. Pourtant, il a immédiatement pris une place très particulière dans mon petit cœur, place qu'il l'occupe toujours aujourd'hui.

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Tout ce que fait Masaaki Yuasa mérite en général d'être vu et il se trouve que ce film est l'un de ses plus amusants. Après, j'avoue que mon sens de l'humour n'est pas forcément toujours très évident.

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Un film qui défonce. Littéralement, ça défonce les yeux. Une inimaginable masterclass de stroboscope psychédélique complètement halluciné, avec des couleurs que seuls les étudiants en art adeptes d'amphétamines soviétiques peuvent identifier.

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Une sorte d'accouplement psychédélique entre Michel Gondry et Jérôme Bosch. Si vous le voyez, assurez-vous que votre écran soit immeeeeense. Evitez les ordis, smartphones, etc. Voyez-le en grand pour en prendre plein les mirettes.

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J'ai un petit gros faible pour Henry Selick et je continue de trouver que ce film est extrêmement sous-estimé.

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L'un de mes coups de cœurs absolus de 2021. L'humour y est mieux géré que dans 90% des films live qui sortent actuellement. Je ne dis pas que le cinéma humoristique est nécessairement médiocre. Je dis que ce film est très, très bien écrit de ce côté-là.

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Curieux et envoutant pour peu que vous soyez d'une humeur propice à entrer dans le délire.

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Il faut aimer le rock progressif et les délires visuels sous psychotropes. Je suis tout à fait disposé à croire que les gens qui ont réalisé ça étaient sobres. Mais je serais très surpris.

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Une patte graphique indéniable (l'animation crayonnée est toujours une denrée trop rare) et une histoire touchante qui n'a pas peur d'examiner des choses complexes. Allez-y sans crainte.

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C'est à la fois un beau film d'animation, un beau conte fantastique et un beau drame romantique pour vous faire chialer un peu. Mais si, vous aimez ça, avouez-le.

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Je m'incline devant l'ampleur de la maîtrise. Une vraie merveille obscure dans les deux sens du terme.

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Un de mes films de Noël favoris. Je ne suis pas objectif.

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L'animation 3D des années 2000 a mal vieilli mais la composition des plans de ce film est telle que ça ne change rien à sa beauté. C'est beaaauuuu.

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Quand on pense qu'elle a fait ça avec du papier et une paire de ciseaux... ça rend humble, c'est clair.

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C'est peut-être mon Takahata préféré, même si c'est un de ceux dont on parle le moins. C'est bien dommage parce que c'est une lettre d'amour au comic strip comme on en voit trop peu dans le cinéma d'animation de grands studios. Preuve que si Miyazaki reste inégalé en matière de poésie, Takahata l'est tout autant en matière de polyvalence.

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Mok est une orientation sexuelle en soi. Et pour cause, il a le torse d'Iggy Pop et la voix de Lou Reed quand il chante. Mmmmok.

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C'est bizarre, souvent maladroit et parfois malaisant, mais ça a le mérite de proposer quelque chose d'unique. Rien que pour ça, ça mérite d'être vu avec respect pour s'en faire son propre avis.

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Je défendrai ce film jusqu'à la castration punitive inclusivement. Sortez tout de suite le sécateur parce que je n'ai pas prévu de me laisser faire.

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C'est mignon tout plein et c'est du stop-motion. Il faut toujours saluer le stop-motion, ça coûte une blinde et ça prend une éternité. Saluons le stop-motion.

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La pire critique que je pourrais formuler, c'est que ça ne raconte au final pas grand-chose. La critique la plus généreuse que je pourrais formuler, c'est que c'est très joli et que si, comme moi, vous êtes sensibles de la rétine, vous accrocherez à coup sûr.

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Rob Zombie disait vouloir faire "un Scooby-Doo classé X". Mission accomplie, Robbie. J'aime vraiment beaucoup mais je comprends parfaitement que ça puisse faire lever les yeux au ciel. C'est quand même pas fin fin...

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L'animation est un peu raide par instants mais l'écriture tient la route. Ca pourrait clairement être bien pire.

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Pas un chef d'œuvre, mais une jolie curiosité susceptible de vous charmer avec poésie. Je me rappelle avoir passé la première demi-heure persuadé que la voix off était un homme. En fait, c'est juste une très, très, trèèès vieille dame.

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Mon Makoto Shinkai préféré. Oui, je crois que je l'aime plus que Your Name, les Enfants de la Pluie ou Voyage vers Agartha. Désolé, je ne peux pas aller contre mon cœur. Le personnage principal de ce film me comprendrait, lui.

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L'époque où on pouvait dire "hé, Macaulay Culkin parle à ses livres !", trouver ça trognon et décider d'en faire un film. Comme les temps changent...