(Au moins) Un film par semaine - 2024

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Semaine 1.
Film très perturbant, pas sûr de quoi en penser. C'est poétique et très beau, mais la morale est très ambigüe. Je conseille toutefois pour la mise en scène, très bien pensée.

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Semaine 2.
Marrant, assez noir sur le cinéma français, mais la double mise en abîme est bien pensée, et le casting très bien choisi. Sympa pour se détendre

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Semaine 2.
C'est cool, une réf à la seconde, mais pas trop mon type d'humour.

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Semaine 3.
Gros banger. Mon film préféré de l'année pour l'instant (elle ne fait que commencer). Ca faisait longtemps qu'on avait pas vu un réal proposer un univers aussi riche (costumes, décors).

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Semaine 3.
Certains se plaindront des facilités scénaristiques du film, je soulignerais la chance que ce type de film voit le jour.

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Semaine 5 (Oups, j'ai raté la semaine 4)
Très cool l'hommage aux films des 60's et James Bond, Dujardin est beaucoup trop classe et charismatique, pas trop mon type d'humour mais j'aime bien le rythme des blagues et la surenchère permanente. Très cool, juste pour un public type

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Semaine 5
Wooooo la patate que je viens de me prendre ! Je l'avais déjà vu mais je m'en rappelais plus très bien. J'ai bien fait de me le refaire, la photographie c'est une leçon de cinéma, je dis peut être des bêtises mais pour les années 80 j'ai l'impression qu'en photo on est en avance sur les autres films. Ca fait très moderne comme approche, on sent quasiment pas les sources, on a l'impression que tout est dans le décor. C'est très organique, et puis il ya souvent des ombres qui viennent sculpter l'espace, les visages, c'est très contrasté, c'est vraiment génial comme photographie.
Le travail du son est également incroyable, avec des grosses montées et des cuts secs. Encore une fois ça fait très moderne. Les costumes et décors sont géniaux, il y a un travail sur l'ambiance qui est fou, c'est crasseux, noir, c'est génial.
Et aussi j'ai pas vu d'autres films où Paris est filmé comme ça, c'est un vrai polar quoi, par moment on a l'impression d'être à New York dans Taxi Driver. Et le casting ben RAS, du solide.
Je recommande pour ceux qui ne l'auraient pas encore vu

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Semaine 6
Zac Efron refait de la tête aux pieds c'est effrayant et stylé en même temps, c'est bizarre comme sensation. Le film est pas mal, ça donne envie de faire de la muscu avec ses copains et boire des bières, c'est sympa. Je suis tout de même un peu déçu par les prises de positions artistiques pour rendre le film plus dramatique au détriment de la véritable histoire. À quel point un auteur peut se permettre de changer la réalité ? Mais ça reste quand même un bon moment de cinéma, la photographie est sublime (bel hommage à Raging Bull dans l'intro), et les corps sont sublimés. Ca reste quand même très cool de voir de l'action testostéroné, mais on aurait aimé que les persos soient encore plus creusés ! Et sinon un très bel hommage à l'esthétique 80's, entre les costumes, les zoom, le grain, on est servi !

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Semaine 7
Merci Michel pour toutes ces inventions ! Très sympa et très mignon, on peut facilement imaginer qu'il a dû y mettre beaucoup de lui avec tous ces bricolages à droite, à gauche. Le casting est très réussi, Gael Garcia Bernal est très touchant et drôle, Alain Chabat le goat. Ce mélange de langue, ce mélange entre rêve et réalité (cf Eternal Sunshine). Ça manque tout de même d'une fin un peu plus concluante. Ca reste un beau film fait pour les rêveurs et ceux qui veulent s'échapper !

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Semaine 7
Ben c'est bien traité, mais la frontière est hyper trouble entre le point de vue du perso principal et celui du réalisateur. Ils ont quand même sexualisé une gamine de 14 piges, mmmmmh pas sûr que ça passerait bien aujourd'hui. Le film reste maîtrisé, le casting au poil, et la lumière est très intéressante sur certains plans (notamment la séquence de nuit à l'hôpital).

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Semaine 8
Daaaaaali ! Je suis pas le plus grand fan de Dupieux, ça me fait pas tout le temps rire, mais je dois avouer que celui là est très bien ficelé. C'est de l'absurde en permanence, une sorte de mise en abîme dans la réal entre le sujet et la forme du film. C'est vraiment bien pensé, bien écrit et réalisé. On est dans le surréalisme en permanence, c'est top. Le casting est super bien, et du coup le concept du multi acteur pour le rôle principal marche hyper bien au vu de la forme du film. Dédicace à Mr Coen que je trouve excellent, ainsi que Mr Baer.

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Semaine 8
Une belle petite leçon de mise en scène qu'on a là. Le choix du point de vue, de la caméra extérieure aux personnages et à l'action. Comment filmer le mondain de l'immoral ? Et bien c'est très bien fait. Ce film m'a fait partir de la salle hyper vite à la fin, tellement la musique est perturbante. C'est très fort de la part du metteur en scène. Ca m'a perturbé, en fait c'est un film sur un mec qui va au taff, et voilà quoi. En plus de ça ils sont tous psychorigides. Mais c'est un peu le truc perturbant du film. Comment on en arrive à une telle déshumanisation ?

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Semaine 9
C'est beauuuuu ! Le désert sublimé, la photographie elle fait du bien à la rétine tellement c'est sucré. Petit couac je trouve dans la progression du héros, on passe d'un extrême à l'autre, on aurait aimé encore plus de lenteur dans la progression. Excellent Javier Bardem, un running gag bien hollywoodien.
On passe un bon moment, et on espère voir le 3 dans quelques années !

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Semaine 10
Je connaissais pas le réal, mais c'est impressionnant ! Comment s'intéresser à un problème de société sous différents angles, différents points de vue, on part d'un homme pour en rejoindre un autre. C'est complet, c'est le genre de film qui a étudié tout un système pour essayer de le présenter de la manière la plus juste possible. La manière dont sont filmées les prisons, étouffantes, suffocantes. On croirait des camps. C'est impressionnant. La séquence du bidonville de crackhead, le père et le fils, la mère qui cache sous la djellaba. L'introduction sur le chantier... Que de belles trouvailles. J'espère revoir des films de ce monsieur !

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Semaine 11
Très très sympa, on passe un bon moment de vie avec ces deux personnages. On a du mal à comprendre leur dynamique, mais elle est si belle et intéressante. La photographie est sublime (je savais pas qu'Anderson était DOP???), les acteurs sont incroyables. Très sympa, à regarder avec sa moitié !

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Semaine 13 (semaine 12 ratée)
Très sympa ! Assez intéressant sur le parallèle entre une société, la police, la présomption d'innocence, le profilage. C'est super simple mais ça marche très bien. Un beau casting, à tous les étages. On voit rarement autant de tension dans une école et une salle de classe. Mention spéciale à la scène du générique de fin, très drôle.

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Semaine 14
Popopopopopo !
Je ne l'avais encore jamais vu, il était temps. Quelle photographie sublime, mon dieu. Le travail sur les silhouettes, la fumée, c'est d'une beauté sans nom. C'est impressionnant un tel film pour un premier essai et à 25 ans. C'est fou. Les idées de mise en scènes sont géniales, ça a super bien vieilli. Et puis encore une fois, avoir un cinéaste multi tâche, à l'écriture, réal et rôle principal ça force l'admiration. Beaucoup de plaisir devant ce film, et une belle leçon de mise en scène.

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Semaine 14

Je pense préférer le remake américain, mais c'est quand même du sacré niveau ce qui est proposé dans celui-ci. On retrouve bien l'atmosphère 2000's, qui aujourd'hui peut paraître kitch, mais qui a beaucoup de charme dans ce film. Un très beau casting porte l'oeuvre. Des superbes idées de mise en scène, d'idées d'intrigues, de plot twist et autres recours scénaristiques qui fonctionnent à merveille. À découvrir vite !

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Semaine 14

Troisième film que je découvre de Wong Kar Wai. J'avoue avoir du mal à suivre bien l'intrigue et rentrer totalement dans ses films. C'est probablement volontaire que le film soit décousu et semble en permanence comme un rêve. Il n'empêche que ce film, comme In the Mood et Fallen Angels, a un super travail sur l'ambiance. On a l'impression d'être entre une publicité 2000's et un clip, mais sur un film avec une fausse intrigue. Car on sent que l'intérêt réside peu dans l'histoire mais l'univers et la vibe traversée par les personnages. Mention spéciale à l'utilisation du slow shutter pour les scènes de combat, qui ajoute une patte visuelle particulière.

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Semaine 14

Spéééééééécial
Très sympa, très beau travail d'animation, de dessin. On se perd visuellement dans ce monde riche d'idées en terme de mise en scène : les frontières floues entre réalité et rêve. C'est un bijou de cauchemar et fantasmes refoulés. On reconnaît ce qu'a pris Nolan pour Inception dedans, même si je trouve que ce dernier a su s'extraire de ce matériel pour créer le sien. Des fois on a du mal à suivre, mais c'est probablement voulu, pour briser encore plus la compréhension de l'univers et ses règles. Je me demande si Mars Express a pris de l'inspiration dedans, en terme de visuels technologiques. Je déconseille sous LSD.

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Semaine 14
On m'en a beaucoup parlé, j'ai beaucoup lu et entendu au sujet de Mr Kurosawa. C'est le premier film de son oeuvre que je découvre. Agréablement surpris. Je comprends ce qui plaît autant aux cinéastes et cinéphiles chez l'oeuvre de ce monsieur. Tout d'abord le concept du film, très habile. Ensuite sa forme, très proche du théâtre par moment, tout en ayant une couleur cinématographique. La photographie est sublime, le NB est majestueux, les jeux de lumière créé par les miroirs donnent un rendu magnifique sur les visages. Vient ensuite la distribution, portée par le grand Toshiro Mifune. Quel jeu, quelle classe. C'est du grand art, ça a super bien vieilli. C'est une leçon de cinéma. Merci Mr Kurosawa.

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Semaine 14
Quel marathon cette semaine là !
Je découvre ici le cinéma de Mr Gozlan, que je connaissais pas. On sent une forte influence de Fincher (par la photographie clinique, la froideur des personnages, la caméra en perpétuelle mouvement) et probablement d'Hitchcock. Je salue les très bonnes idées de découpage qui arrivent à plusieurs moment dans le film. On a un vrai bon thriller français. Mention spéciale à l'accroche caméra dans la voiture sur la scène de poursuite finale. C'est simple mais ça marche hyper bien. Le travail du son est excellent également, c'est des fois des simples détails (le casque sur les oreilles accompagné d'un son) qui font le charme du boulot. Le seul bémol de cette partition réside (à mon humble avis) dans le scénario, qui s'essouffle un peu vite. Mais j'ai mis du temps à voir ce film, je suis content de l'avoir fait car ça reste une belle pépite de genre ! Et vive le genre en France, donnez nous en plus !

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Semaine 15
Et behhhhh dis donc !
Je découvre enfin ce masterpièce qui m'a été chaudement recommandé par mon entourage. Que dire ? Je crois que ce film me donne envie de découvrir plus de films d'horreurs. Je connais très peu ce genre, et ai très peu d'affect pour lui. Toutefois, la manière dont les codes sont utilisés ici pour nous amener dans une direction différente rend le plaisir particulier. On s'attend à ce qu'il se passe mais pas la manière dont ça se passe. Tout est très lent, pesant. Le début beaucoup trop hollywoodien s'efface ensuite pour nous donner un vrai plaisir de visionnage. C'est fou de savoir que ce n'est qu'un second film pour le réalisateur, tant il y a déjà de maîtrise. Je vais donc regarder le reste de son oeuvre, pour tenter de mieux comprendre le bonhomme.

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Semaine 15

Bon ben voilà, quand on parle des cinéastes incroyables de notre époque on est obligé de cité Saeed Roustayi. Il est beaucoup trop fort, c'est le deuxième film que je découvre de lui après La Loi de Téhéran, et c'est seulement son troisième long métrage. Mais il y a déjà tout d'un grand cinéaste, les enjeux nous tiennent tout le film, les personnages sont remplis de nuances, on a du mal à savoir où l'intrigue va nous emmener. C'est un super parti pris de dépeindre la société iranienne par le prisme familial, la misère de l'emploi, les enjeux internationaux qui impactent les habitants. C'est cru et simple. C'est du cinéma social puissant. Le casting est royal, merci à tous les interprètes pour cette partition sans faute.

Merci Monsieur Roustayi, le combat mené est beau. Ici, on attend de pied ferme votre prochaine oeuvre !

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Semaine 16

J'étais bien emballé par la proposition mais je suis sorti du film un peu déçu. J'aurais aimé plus de moment onirique et de parallèle espace/quotidien. Même si ils sont ponctués, j'aurais aimé comme un Gondry, un film où on perd la notion de réel et de rêve. On sent l'expérience du clip par les propositions photographiques du film. Toutefois je trouve dommage que le personnage principal soit si vide, le comédien casté a des limites dans son interprétation. Même Lyna Khoudri qui est une comédienne incroyable est ici un peu dans la retenue, et pas très juste. Tout comme Finnegan Oldfield, absolument pas crédible en mec de quartier. C'est dommage, on dirait qu'on a voulu faire un film de quartier sans en saisir totalement les codes, et ça sonne très maladroit, très faux. Toutefois on salut l'originalité du film.

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Semaine 16

DAMN. SHIIIIIIIT.
J'ai adoré ce film du début à la fin. L'ambiance, les silences, la classe du héros, sa voiture, la conductrice a des années lumières de lui, les répétitions, les costumes, les décors. C'est un film fabuleux. Pour les réalisateurs en herbe ils devraient être étudiés pour travailler la question de la mise en abîme. Comment représente-t-on une oeuvre et un metteur en scène dans une oeuvre elle même ? La frontière entre le héros et l'auteur est probablement éloignée tout en étant proche. Ce film est d'une douceur. Tout est très calme, très doux, même la douleur. J'ai trouvé ce film sublime et d'une justesse rare. Ca fait rêver de la campagne japonaise, de découvrir cette politesse si particulière, qui pose problème dans leurs rapports sociaux. Merci pour ce chef d'oeuvre monsieur Hamaguchi.

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Semaine 16

Bon, c'est difficile de passer après Drive My Car. Je dirais que la forme du film est intéressante premièrement, on oscille entre un film totalement onirique, presque documentaire filmé comme du cinéma du réel, avant de tomber dans une fiction et un drame. Il est intéressant de voir comment le cinéaste décide de passer le film entier à nuancer tous les personnages, les remplir de contraste. Le choix du point de vue est également intéressant, passer d'un groupe à l'autre, comprendre les enjeux et les limites de chacun, la posture qu'ils doivent aborder face à un groupe. C'est un film social, qui permet d'examiner la dynamique d'un groupe, une communauté. Le casting est très bien servi. La fin en perturbera plus d'un, et pourra probablement susciter un débat.

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Semaine 16

Waaaa comment c'était nul.
En fait c'est Black Mirror mais en version nulle. On sent où le film veut nous emmener en permanence, il n'y a aucune surprise. Les plot twist sont mal amenés, ils ne surprennent pas. Les comédiens sont dirigés de manière tellement frontale et peu subtiles qu'on comprend ce qu'il va arriver, ce qu'ils pensent, ce qu'ils veulent. Il y a zéro subitilité. C'est le film qui se veut intelligent, à retournement, à énigme. Mais en réalité, un peu comme l'oeuf vide que l'héroïne casse dans sa cuisine, on y trouve pas grand chose. C'est dommage car avec de meilleurs scénaristes, et une meilleure réalisation on aurait pu avoir quelque chose d'un peu plus intéressant. Là on sent qu'ils ont voulu faire le coup de l'année sur quelque chose de fragile. Dommage.

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Semaine 16

J'ai trouvé ça ok. Je suis pas sûr d'avoir compris ce qui a autant plu à la sortie de ce film. J'ai cru comprendre qu'avoir une héroïne sur un film coming of age au lycée jouait pour beaucoup. Le casting est très bien desservi, la photographie est sublime. Toutefois l'histoire est assez classique. Le point intéressant est la dynamique entre la mère et la fille. Mais mis à part ça on est sur une progression assez simple dans l'évolution de l'héroïne. On a le classique des amitiés qui se perdent pour créer des nouvelles bancales, du boyfriend adoré avec qui ça ne marche pas (quoi que son traitement reste très bien amené). J'ai passé un bon moment, mais on reste dans un teenage movie. J'aurais probablement aimé plus bien plus jeune, face à ces questions.