Ces losers magnifiques...

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Le Dude, semi-clodo de Californie, avec ses potes glandeurs, est une vaste blague humaine qui incarne pourtant une espèce de « coolitude ».

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Parfait théorème de classes, parfaite architecture d'une société de losers. Le purin odorant de la marée des pauvres.

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Regard clinique et voyeuriste sur la vie de Martin (Mads Mikkelsen) : à la lisière de la dépression et las de persister à vivre, il boit pour réenchanter sa vie.

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Œuvre profonde et humaine entre quête de paternité et soif de reconnaissance. La dérive borderline d’un loser perdu.

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Découverte des sens, corps changeant, responsabilité. Quand le loser devient un héros.

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Loser perdu, livré à une nuit sans fin, épouse sa misère jusqu'à enfanter la violence.

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L'infini à la portée des moins que rien par l’obéissance au chaos.

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Cocktail d'illusions pour deux losers. La réalité détruit les rêves de grandeur dans cette balade aussi magnifique que tortueuse sur les boulevards d'Hollywood.

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La misère d'un loser, qui fait rire et pleurer.

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L'anonymat est une caractéristique du loser, il reste dans l'ombre tel un perdant de la vie alors que les gagnants restent sous la lumière. Le Joker forcera les projecteurs à se braquer sur lui en assumant sa mue vers le seigneur du crime que l'on connait tous.

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On se reconnait tous en Luke Skywalker car la connexion que l'on a avec lui est très forte. Le jeune « loser » coincé dans sa vie de jeune adulte et qui n’espère que prendre son envol pour définir qui il est vraiment.

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Le loser des temps modernes dont l'ascension provoquera sa chute.

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Dérive aveuglante d'un loser en quête de popularité, de respect, et de reconnaissance.

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Même un sauveur du monde multirécidiviste peut devenir un loser.

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Tendre, mais loser tout de même, la passion est parfois plus forte que le talent.

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Gravir les marches de la vie c'est pas bien facile, ce loser a toujours refusé le KO jusqu'à devenir le meilleur de lui-même.

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Ford grave la vie d'un loser dans la légende.

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La gentillesse d'un loser malchanceux, les regards posés sur lui ne sont que mépris, ils nous font fondre en larmes,

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Avec un art de l’absurde sublimé, récit des losers du grand froid polaire.

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A l'ombre d'un chapiteau, les losers font le show. Une comédie inhumaine qui révèle qui sont les véritables monstres.

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Histoire des badauds de Séoul face à un monstre à l'image de cette société crétine.

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Le loser qui rencontra d'autres losers pour devenir le seigneur des étoiles.

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Jim décroche le rôle d'un loser vedette de télé-réalité.

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les Wachowski enseigne le dépassement de soi à travers un loser coincé entre deux mondes : Neo. Œuvre phare du cinéma.

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Peacemaker

Les losers magnifiques, les solitaires, les traumatisés ont toujours eu la côte. Et ce n’est pas Peacemaker, véritable parodie absurde de Captain America, qui dérogera à cette règle. Interprété par le catcheur John Cena, le personnage est un véritable môme piégé dans le corps musclé d’un adulte : blagues carambars, manque de sérieux...C'est aussi un enfoiré prêt à tuer n'importe qui pour offrir sa fameuse "paix".

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Le rat-volant qui se prenait pour un phénix.

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Le loser héroïque au royaume des ripoux.

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Loser piégé dans une affaire de meurtre.

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Hudson

Clairement pas fait pour être soldat, un peu trop trouillard pour ça. Mais c'est un bon personnage qu'on apprécie facilement.

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Sean en loser poilu et en slip rouge.