Comme quoi je ne vous ai pas menti

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Plus aucun doute, Roman Polanski mérite bien la taule... pour meurtre avec préméditation du septième art...

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On ne va pas se mentir, c'est juste une énorme bouse. (Statut qui ne sert à rien mais qui soulage après 88 minutes de souffrance)

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La Graine et le fumier

Cette chose pourrait être sous-titrée la Foire à la truffe tant c'est un festival d'interprétations lunaires, la palme revenant à Ash Stymest. Ce jeune inconnu, souhaitons pour le bien du cinéma qu'il le restera, a le charisme d'une huître et le le regard du veau dans la luzerne. Ses apparitions devraient donc, à l'avenir, être plus nombreuses dans "30 millions d'amis" que dans le septième art.

Les filles ne sont pas en reste, et le maillot jaune est remporté par Karole Rocher. Mais la réelle coupable de ce naufrage pourrait bien se trouver derrière la caméra. Sylvie Verheyde réussit l'exploit de faire jouer tout le monde à l'unisson, et même la formidable Hafsia Herzi semble ici littéralement en roue libre.

Le temps étant un bien précieux en ce bas monde, j'ai décidé de vous faire un résumé de ce film. Pour économiser 103 minutes, cliquez ci-après : https://youtu.be/WkV6GtWV0JY

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Un vrai gros nanar devant lequel j'ai quand même tenu presque 1 heure. C'est moche, c'est complètement c.., une tranche de jambon jouerait mieux que Sam Worthington, bref du grand art.

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Malheureusement cette daube ricaine devrait arriver sur nos écrans en avril. C'est du ré-ré-réchauffé, les acteurs sont en roue libre, la réalisation inexistante. Bref ça peut plaire à un paquet de monde.

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Fais un film et on verra...

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Tout est raté : la plupart des acteurs sont mauvais comme des cochons avec une mention spéciale pour celui qui incarne Mesrine et qui a à peu près le charisme d'une huitre. La réalisation est d'une platitude sans nom. Quant au traîtement de l'histoire, on a simplement mis bout à bout tous les principaux méfaits du bonhomme en ne laissant pas la place à une once de psychologie. Petit détail qui m'a amusé : ici, tout le monde l'appelle "Mesrine" et non "Mérine" sans que celui-ci ne trouve rien à en redire.

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"Mémoires d'une geisha" ou "l'Asie pour les nuls"... Voilà le film parfait pour me rendre fou de rage, une sorte d'insulte au cinéma asiatique. C'est ce qu'on pourrait appeler du cinéma Canada Dry. Hollywood ne recule devant rien pour faire du pognon mais s'ils pouvaient au moins laisser les geishas en paix...

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Tais-toi Francis, je t'en conjure, tais-toi !

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Il ne s'agit en rien de cinéma mais d'un consommable hollywoodien destiné aux ados bouffeurs de pop-corn.

Désolé, c'est sans moi et cette jolie m.... aurait mérité une sortie directe en DVD (mais je sais, Zac Efron, patati patata...).

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Comme souvent, un film d'action sans scénario, une mise en scène archi-calibrée (pas étonnant avec Renny Harlin), des acteurs en roue libre, bref rien à sauver.

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Faites des gosses...

Il y a des jours où je déteste ma fille. Des heures perdues à essayer de lui faire aimer le cinéma et au moment de choisir un film à regarder ce soir avec son adorable papa, elle me plante un couteau dans le dos. Demain je vends ses organes.

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L'impossibilité d'un non-cinéaste...

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Lelouch est définitivement devenu le plus grand réalisateur français...de comédies. Et un chef-d'oeuvre de plus, un...

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Branagh victime du "syndrome Lelouch"...