Découverts en 2025

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5h25 de démesure à l'italienne, tant dans les sentiments que la politique, la violence et la libido. La dernière partie marque le pas, et le film alors se fait lourdement propagandiste, mais c'est un maigre prix à payer pour un tel film.

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Soigné, sympa, mais trop "Shrek" pour moi. Le personnage du père, par contre, est génial, presque dérangeant dans une prod Pixar.

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Statique mais drôle et visuellement beau, en plus de vertus pédagogiques pas lourdes du tout - j'ignorais à peu près tout de ce pays, en fait.

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Un chef-d'oeuvre d'efficacité narrative. Une photo moins passe-partout, et c'était 8.

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Du "early" Oliver Stone qui sent la sueur, la colère et la folie. Prenant du début à la fin.

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Bien meilleur que sa réputation, mais le film commet l'impardonnable : un personnage secondaire qui analyse et critique le comportement de Hubert. Les deux premiers films faisaient pleinement confiance au public pour faire ça lui-même.

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Narc meets Sin City (la BD). Première fois que j'accroche à un Soi Cheang.

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Apaisant, mais c'est à peu près tout.

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Inégal, généreux, radical, trop long. Sans concessions. Précieux, envers et contre toute standardisation.

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Néo western réjouissant de solidité, dont le sujet même anéantit la vision idéalisée des années 1980 qu'on nous sert en continu. Comédiens brillants et superbe photo.

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Sinistre fin de carrière pour Melville. Mou et désincarné, Un Flic vire au nanar le temps d'un braquage ferroviaire d'un cheap délirant.

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Luxueux mais vain. Kim Jee-woon se noie dans un sujet trop grand pour lui.

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Quitte à lui laisser une seconde chance, autant le faire avec le dernier montage - il y en a 4 au total, Oliver Stone ayant sans cesse retravaillé son œuvre entre 2004 et 2014. Une fresque colérique, pathétique et constamment habitée, d'une ampleur psychologique explosive. Que de passion.

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Une première moitié fascinante, une seconde soporifique. Impossible à noter.

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Comme si un film de la Nouvelle Vague était soudain réalisé par Tony Scott, période Domino. Orgasmique si on aime cette frénésie visualo-spatiale mais, comme Jonas Mekas le répète durant ces 4h30, "Il ne se passe rien dans ce film". À la fois colossal et anecdotique, mais remarquable dans sa sincérité.

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Dépourvu de rythme et prisonnier d'une mise en scène démonstrative. Reste d'excellents comédiens, une photo étonnante et un sujet passionnant, à la violence rare mais douloureuse. Embryon de grand film, qui ne décolle presque jamais.

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Le labo expérimental de Zemeckis n'a jamais autant turbiné. Parfois affreux, parfois splendide, constamment honnête vis à vis de son propre concept. C'est passé en un clin d'oeil, comme la vie des protagonistes. La musique, écoutée à part, semble tout droit sortie d'un film d'aventures.

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Renier l'opus précédent et se reposer sur ses acquis, pas la meilleure manière de conclure cette excellente saga. Déception de luxe.

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Trop de comédie, pas assez d'action. Mais bon sang, quelle action !

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Wes lorgne vers OSS 117 et soudain, son cinéma retrouve un peu de coeur. Inattendu.

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Kurosawa trouve ses limites de metteur en scène à mi-métrage. Mais la première heure est captivante et l'étrangeté du film maintient en éveil.

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Ari Aster aborde le réel pour la première fois de sa carrière, sans renier son sens de l'humour si atypique. Très bonne surprise.

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La colère ne sied pas à tous les cinéastes. Celle d’Oliver Stone sert à merveille ce récit qui ne fait aucune concession vis-à-vis de son douloureux sujet. Puissant.

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Le petit film humble, soigné, sans prétention, et qui régale de bout en bout. Quel bonheur.

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Troisième et meilleur documentaire du journaliste ciné Julien Dupuy, à la fois agréable rappel pour les connaisseurs de la saga et parfaite porte d'entrée pour le grand public curieux. Très beau travail sur la forme et les raccords.

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Le jeu figé de la comédienne reflète l'aspect répétitif et étriqué du récit. Hermétique ou fascinant, c'est selon.

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Un portrait d'adolescente à la fois subtil et amer, dont la seconde moitié désarçonne autant qu'elle inquiète. En une petite heure dix, bel accomplissement.

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En apparence, une pure B. Dans les faits, le portrait d'une profession, de son syndicat et de ses magouilles, ouvert et clôturé par deux puissantes scènes d'action. La violence, bien que rare, et très brutale.