Défi 2025 - 50 livres pour gagner

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Premier livre de l'année : une romance.
J'en ai au moins 10 autres en cours mais il faut admettre que le soir avant de dormir, j'ai envie d'un petit truc léger et ça faisait parfaitement le taff. Le nom de l'autrice me disait quelque chose mais sans que je puisse mettre le doigt dessus. Je testerai un autre truc d'elle mais même si son écriture est simple et efficace, je soupçonne que ses livres font partie de la catégorie "vite lu, vite oublié". En attendant, on passe un bon moment.

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Ca faisait longtemps un moment que le livre était dans ma PAL mais sans que ça soit une réelle priorité. Je l'ai lu en anglais et je pense que c'était la bonne option. Il y a de l'humour et je ne suis pas sûre que la traduction rende correctement le ton. C'est une bit-lit assez sympa qui se lit facilement par contre c'est dommage qu'on soit toujours obligé de retomber dans le trope du mâle alpha et de la scène de sexe un peu longuette.

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Une chouette entrée en la matière. L'autrice a un style agréable et qui se lit sans difficulté. On apprécie particulièrement l'univers un peu oppressant et le système de magie sortant des canons habituels.

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Un second tome à la hauteur du premier et qui ne déçoit pas. Des personnages plus secondaires dans le premier tome qui se mettent sur le devant de la scène. On ne peut que regretter la traduction à la truelle de De Saxus qui se concentre trop sur l'apparence de ses livres, oubliant l'importance de la traduction. L'utilisation totalement aléatoire du "vous" et du "tu" dans des conversations entre deux personnages où le changement de pronom ne se justifie pas démontre une traduction faite avec un traducteur automatique qui ne comprend pas les nuances du français et que l'on a pas relu avec assez d'attention.
Dommage, ça gâche un peu le plaisir de lecture.

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Le soucis de Robert Jordan, c'est que ses tomes mettent un certain temps à démarrer. Enfin je dis "ses" mais tout dépend de si vous lisez les intégrales ou les éditions de poche où chaque tomes à été scindé en deux, ce qui vous donnera une impression vraiment différentes. Toujours est-il que je lis les intégrales et que ce sont de bons pavés ! Le début met un moment à démarrer mais comme pour le tome 1, je dirais que le premier tiers sert vraiment à mettre en place le contexte pour démarrer en force la suite. Honnêtement, c'était un tome 2 passionnant que je n'ai pas réussi à lâcher une fois que je suis rentrée dedans. Je trouve que Jordan offre un très beau panel de personnage et un contexte géo politique passionnant. C'est d'ailleurs très féminin comme livre, en particulier pour un livre écrit dans les années 90. Si je devais souligner un point négatif ça serait peut-être Rand, Perrin et Nynaeve qui sont vraiment têtu comme des mules et qu'on aurait un peu envie de secouer de temps à autre. Cela dit, c'est un récit qui prend son temps dans un monde où on a l'habitude des choses qui vont vite, parfois trop et c'est finalement cohérent que des personnages prennent le temps (ou non) de lâcher leur à priori.

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"Dire que le développement serait personnel, c'est nier les problèmes structurels réels qui causent les inégalités, les marginaliser, les passer sous silence au profit de la responsabilité individuelle. Le phénomène consistant à blâmer les individus plutôt que les structures se détourne des enjeux politiques, économiques et sociaux plus large et encourage les individus à se replier sur eux-mêmes et à travailler sur leur "mindsets" comme moyen d'atteindre la meilleure version d'eux-mêmes. Ca renforce l'idée que le travail acharné est synonyme de succès, ignorant par la même occasion les obstacles qui déterminent où vous vous situez sur la ligne de départ vers le succès."

Je crois que tout est dit.

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Une relecture parce que je cherchais une romcom à lire avant de dormir et j'ai vu que l'autrice avait fait (10 ans après) une suite. Je ne me souvenais pas bien du livre, donc je l'ai relancé pour pouvoir lire la suite et j'ai remonté sa note au passage. Je dois dire que j'ai bien aimé que ça se termine sur une absence de Happy Ending, je crois que j'ai apprécié un peu plus ma lecture parce que je l'ai lu en VO cette fois-ci et il y a un humour qui se perd un peu à la traduction et on ne va pas se mentir, c'est toujours un plus dans une romcom. Du coup, je suis un peu dubitative sur la suite. Ca ne me semble pas indispensable mais on verra bien ce que ça donnera.

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On m'en a beaucoup parlé et parce que je n'ai pas le temps de me plonger dans l'anime, ni la place pour investir dans le manga, j'ai choisi d'aller vers la light novel. J'ai hésité à le lire en anglais ou en français et j'ai finalement choisi l'anglais en pensant que la traduction serait meilleure. Ce n'était pas le cas où en tout cas je n'ai pas trouvé la traduction convainquante et j'en testerai une autre pour le second tome. L'histoire, par contre, est vraiment agréable à lire, j'ai beaucoup le personnage de MaoMao et le duo qu'elle forme (contre son gré) avec Shinji. Cela dit, on a plutôt l'impression de lire un ensemble de nouvelle plutôt qu'une nouvelle et la transition entre les chapitres est parfois abrupte. On met du temps à voir le fil rouge mais il est bien présent. Je suis curieuse de lire le tome 2 mais je pense que ça fait partie de ces rares cas où il est probablement plus intéressant de lire l'adaption en manga ou regarder l'anime, le format s'y prête mieux.

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J'avais beaucoup aimé son premier livre "Le talent n'existe pas" que j'avais trouvé particulièrement pertinent et à propos. Elle ne déçoit pas avec ce second livre qui est une approche très intéressante sur pourquoi notre empathie ne peut pas et ne doit pas être une boussole morale.

"L'empathie est un phénomène sélectif, capricieux et biaisé, qui nous conduit à réserver notre potentiel d'identification et d'altruisme à ce qui nous est familier, à ce qui est beau, bon, dominant et rendu présent à nos sens. L'empathie n'est donc pas simplement une faculté naturelle, elle dépend de la politique, de l'économie de l'attention et des cadrages qui façonnent nos affects. Elle catégorise et hiérarchise les individus et leurs souffrances, reflétant les discriminations et les perceptions fantasmées que nous avons des autres. L'appel à l'empathie comme boussole morale est exactement en phase avec l'individualisation néolibérale de la responsabilité : plutôt que de plaider en faveur de réponses politiques et sociales à la souffrance et à l'injustice, l'appel à l'empathie est une réponse individualisée et émotive."

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Un second tome plus intéressant que le premier. On commence à voir un fil rouge se dessiner un peu plus fortement, néanmoins ça reste assez lent et on a parfois l'impression de lire différentes nouvelles plutôt qu'une histoire bien construite. Je pense que je vais lui donner sa chance en français, la traduction anglaise était toujours aussi hasardeuse. On verra laquelle est la meilleure.

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J'avais besoin d'un livre léger pour me remonter le moral. Une histoire dans laquelle on se laisse emporter sans prise de tête. Je n'attendais pas grand chose de "Fourth Wing", je dirais même que je m'attendais à ne pas aimer du tout et ce premier tome m'a plus qu'agréablement surprise. Je ne sais pas si on peut parler d'un bon livre mais c'est en tout cas un livre qu'on lâche difficilement. Je l'ai avalé en deux ou trois jours, impatiente de connaître la suite. On retrouve certains trope assez classique mais les personnages secondaires sont attachants, l'histoire assez intéressant pour ne pas avoir l'impression de lire juste une romantasy et Merlin merci, il n'y a pas de Fae, juste des dragons qu'on découvre avec beaucoup de plaisir. J'ai apprécié cette héroïne un peu cassée de partout mais qui essaie de surmonter ses propres faiblesses et ne les prend jamais comme excuses mais cherche plutôt à se dépasser. Le lead masculin est beaucoup plus classique, il m'a beaucoup fait rouler des yeux mais sans que ça soit insupportable pour autant.

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Un second tome vraiment en dessous du premier. C'est dommage, il se passe des choses d'un point de vue politique mais honnêtement, le "Je t'aime moi non plus" pendant 600 pages devient rapidement lassant et on a envie de leur dire qu'à ce stade, une vraie discussion ferait du bien à tout le monde. Cela dit, le cliffhanger de fin était assez inattendu et ça donne réellement envie de se lancer dans la suite. C'est vraiment parce que j'ai appris que le tome 3 n'était pas la fin comme initialement annoncé mais bien le troisième tome d'une pantalogie qui n'est pas encore finie que je me suis retenue de me lancer dedans.

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J'ai lu les deux premiers tomes de "The Empyrean Trilogy" de Rebecca Yarros et sans être le livre de l'année, il faut avouer qu'on s'y amuse bien. Agacée de constater que ce n'est pas une trilogie (comme ce qui était prévu) mais bien pantalogie, j'ai décidé de laisser le troisième tome de côté et de regarder ce que l'autrice avait écrit d'autres. Il s'avère que "Fourth Wing" est loin d'être son premier roman et qu'elle a écrit pas mal de chose avant mais rien dans le registre de l'imaginaire. On est plutôt, de ce que j'ai pu constater, sur des romances courtes qui met souvent en scène un militaire américain ou quelque chose associé. Pas vraiment ma came, mais j'étais curieuse donc j'ai pris une duologie au hasard dans sa bibliographie. Honnêtement, ce n'était pas bon. La trame est hyper classique, ce qui ne serait pas encore trop grave si c'était raconté avec un minimum d'originalité. Or, c'est loin d'être le cas, c'est même assez mal écrit. Je me dispenserais de la suite de la duologie et je vais me contenter de sa saga "The Empyrean".

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J'ai lu ce livre pour la première fois il y a presque 6 ans. Je crois que j'avais profité d'une promotion Kindle pour le prendre un peu au hasard et j'avais eu un coup de cœur pour l'histoire ; certes très masculine dans ce premier tome mais ne manquant pas de personnages féminins intéressants pour autant. A la relecture, j'aime toujours autant et je continue de trouver ça bien écrit. Si bien que je vais enchaîner sur le tome 2 pour, cette fois-ci, finir la saga en une seule fois.

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Comme je le disais, j'ai lu le tome 1 il y a presque 6 ans et je me rappelle avoir enchaîné le second dans la foulée tant j'avais aimé. Un point du récit m'ayant contrarié, j'ai abandonné vers la fin du récit mais je ne me souvenais pas que c'était moins de 50 pages avant la fin du livre. A la relecture, je comprends ce qui m'a agacé mais ça a moins d'importance et j'ai achevé ce tome 2 avec le même plaisir pour le tome 1. A noter d'ailleurs qu'on revient dans le passé dans ce tome et que l'on apprend à mieux connaître Jardir mais aussi d'autres personnages qui évoluent autour de lui. Le tome 1 étant, à l'exception de Leesha, un tome assez masculin on apprécie l'importance ou l'arrivée d'autres personnages féminins de taille qui n'ont rien à envier à leur homologue masculin. J'enchaîne donc sur le 3, en espérant retrouver le plaisir de lecture que j'ai éprouvé jusqu'à maintenant.

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Un livre qui ne tient pas totalement ses promesses. Agréable à lire, il reste entre le livre d'histoire et parfois le roman. On passe beaucoup de temps ici à lire l'opinion de l'auteur sur Catherine et ses actions. Evidemment, aucun livre n'est neutre, un livre d'histoire encore moins qu'un autre mais je trouve ici l'auteur trop présent et si la plume est agréable, j'ai été agacée, au début de chaque chapitre de trouver une scène imaginaire contée par lui.

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Cf. Critique

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Le 1, c'est vraiment parce qu'on ne peut pas mettre 0 !
Que ce livre fasse 528 pages continue de me laisser pantoise.
J'ai toujours dis qu'on ne pouvait pas critiquer sans avoir lu, je retire ce que j'ai dis, si on peut.

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Un excellent premier tome qui rappelle à quel point Gabriel Katz est un plaisir à lire. Encore une fois, il ne déçoit pas avec un récit intéressant, bien écrit et concis. Il a ce talent des auteurs qui savent aller droit au but sans pour autant sacrifier ni le récit ou ses personnages. Certes, on est encore sur une relecture du mythe arthurien mais avec une réelle plus value puisqu'il prend le parti de donner une lecture très contemporaine au récit en expliquant finalement la création d'une figure politique.

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J'avais déjà relu le tome 1 en 2022 pour essayer de lire la série en entier, on va retenter le coup cette année maintenant que j'ai l'ensemble des tomes.

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Efficace et plutôt agréable à lire. J'avais déjà entendu parler de l'autrice et c'était l'occasion de tester un de ces livres. Cela dit, même si c'était plutôt chouette, je me rends vraiment compte que j'ai déjà oublié une bonne partie du bouquin, moins d'un mois après l'avoir lu.

Annotation :

Une nouvelle au concept plutôt original. Le soucis, c'est que comme c'est très court on a pas vraiment des masses le temps d'approfondir les relations mais ça reste agréable à lire.