deux-mil-vingt

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☆ visionné le 1 janvier au majestic à lille

quelle belle manière de commencer l'année... que dire à part crier à la perfection ? je serais sûrement à tout jamais marquée par cette lumière, ces bruits, ces dialogues dignes des plus grands chefs d'oeuvre de la littérature, ce jeu d'acteur phénoménal, ces multiples citations, ce thème marin si cher à mon cœur, cette scène de fin [https://www.youtube.com/watch?v=Id5CiJZ3Y8k] et, overall, cette innovation spectaculaire.

[+ vraiment une de mes meilleures expériences cinéma... sitting in the cold in the tiniest room ever, the screen literally two meters above eye-level, with Cameron half asleep under his coat and Charline annoying a grandpa with her popcorn when we're not hysterically laughing like four year-olds whenever there's ... you-know-what ... happening/being mentioned]

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☆ visionné le 4 janvier

bon... super mimi... mais je veux crier “wake! up! tim! wake up!” et je suis trop énervée par le fait qu'Eva Green ne se double pas (d'autant que je regarde tous les Burton en version française pour faire plaisir à ma maman...)

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☆ visionné le 5 janvier

ça y est : I am knee-deep into the Star Wars cinematic universe and, therefore, will keep my comments to Charline for I know they are far too detailed for them to sound like they belong to a sane mind not corrupted by escapism and maladaptive daydreaming at all

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☆ revisionné le 5 janvier

mon classique parmi les classiques ♡

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☆ visionné le 6 janvier

poétique et mélancolique — même si je préfère encore la fin du conte originel (mon introduction au lyrisme ♡) à celle-ci. je retiens cette si belle chanson russe [https://www.youtube.com/watch?v=flbn3-IfrJY], et je me demande maintenant si ce duo ~ demoiselle en bleu et prince en rouge (tunique à manches bouffantes et legging royal) ~ a inspiré Demy pour Peau d'Âne ?

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☆ visionné le 6 janvier

j'ai l'impression d'être passée à côté, rien ne m'a touché hormis peut-être les plans de la licorne dans le brouillard et le petit mot de la fin.

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☆ visionné le 6 janvier

j'adore ces enfantines notes de folklore russe + le lièvre et le coq are my favourite anime gay couple

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☆ revisionné le 8 janvier

Carol est toujours aussi parfait(e mdr) à mes yeux. même si je sais que mon attachement à ce film est tout personnel, je ne peux m'empêcher de le trouver si /right/ dans tout (et de beaucoup trop me reconnaître en Therese).

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☆ visionné le 9 janvier

watched for Hari Nef, stayed for her acting, the teen movie to horror transition, the genius Levinson is at characterization, the critic of american puritanism, the accurate depiction of gen z, the constant referencing (without plagiarizing, take notes @ damien chazelle), etc.

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☆ visionné le 11 janvier

David Lynch est un génie, point à ligne. pas envie de bien formuler mes propos alors je vais simplement c/c ci-dessous mes élucubrations conclusives envoyées à quatre heures du matin à ma meilleure amie dont c'est le film préféré, brace yourselves :

- https://www.youtube.com/watch?v=jvAijRKZdjA
- [emoji cœur brisé x5]
- mon plus grand date goal en fait .
- j'pense qu'il (= david lynch) veut m'atteindre
- une des premières fois que je sens que je perds bcp en ne découvrant pas un film sur grand écran :(
- et pour le coup CA c'est de la scène de rêve, je relate!!! you're warned an insane amount of times about something (which seems absurd but you don't realize it at first because t'es happée, t'as pas de recul -- grâce dans le film au moment où la scène est "posée") and you unconsciously ignore those warnings car plongée dans ce qui se déroule ensuite, ce que tu attendais vraiment (là encore, he built anticipation for this act imo), et tu as une avalanche de sentiments différents quand tu vois la chanteuse s'évanouir et te souviens des warnings (thoughts on being played as if you're betty/rita, then thoughts on lynch playing you, then thoughts on the genius of it all, then thoughts on rita and betty's thoughts, then thoughts on the singer's well-being etc -> tu passes progressivement d'une sorte de pdv interne à une réflexion sur la réal avant de te replonger dans le film), c'est comme si tu voyais soudainement la scène non plus sur un plan mais sur plusieurs...
- par contre vraiment je voudrais déjà le revoir sur grand écran, en bonne qualité etc, j'ai l'impression de pas être totalement plongée dedans alors que je sens que c'est ce que lynch veut faire pour justement nous provoquer de telles réactions...
- d'ailleurs là j'ai fait pause pour te dire ça et j'ai l'impression de beaucoup trop intellectualiser mon visionnage, je crois qu'il ne faut rien connaître de mulholland drive pour l'apprécier pleinement, je sais même pas si j'aime la scène parce qu'elle m'a touchée ou pcq je réfléchis trop aaaa je me déteste :(

- https://letterboxd.com/screeningnotes/film/mulholland-drive/
oki bah si cette review dit vrai (et je pense que c'est le cas puisque c'est littéralement la plus populaire) c'est du génie purée...
- "Everything about the first half of the movie is self-consciously theatrical. The performances are obvious, the lighting is overdone, and the story is filled with overused tropes and cliches (e.g. police detectives, a case o

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☆ visionné le 12 janvier

mh... d'accord bg, je viens de voir Mulholland Drive donc je dis amen à tout ce que tu crées en fait.

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☆ visionné le 13 janvier

le début du film est excellent, mais je trouve que le dernier ¿ quart ? perd un peu en momentum — je me fais d'ailleurs la réflexion que je ne suis pas certaine d'avoir un jour totalement apprécié/pas été le moins du monde dérangée par une fin de Wes Anderson, et c'est dommage parce que ça compte beaucoup pour moi... j'aurais aussi préféré des couleurs plus arc-en-cielesques, mais je reconnais que cette attente est toute subjective. enfin, merci de bien vouloir ne pas former de couple hétéro dont le mec fait trois fois l'âge de la meuf et d'intégrer beaucoup plus de poc (sans les essentialiser) stp Wes.

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☆ visionné le 14 janvier

trop doux, trop beau, trop bleu, ♡. j'ai même lâché une larme. je crois avoir peut-être pu me délecter ici de la meilleure peinture de La Famille™ (au sens étendu du terme) au cinéma. overall (and I feel like the worst feminist saying this because I knew that Lulu Wang is in a relationship with Barry Jenkins), je l'ai trouvé très comparable à Moonlight dans sa représentation des émotions telles qu'elles sont exprimées par une certaine communauté en contraste avec une autre façon de les exprimer (à travers l'avis de Billi, qui perd de son américanisme tout au long du film, dans The Farewell ; et à travers le regard de moi, femme blanche française, devant Moonlight) et dans sa si belle cinématographie (même si elle est presque impersonnelle ici, face aux citations de Matisse ou au fort symbolisme des scènes de l'océan de Jenkins) toute en nuances de bleu.

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☆ visionné le 15 janvier

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☆ visionné le 19 janvier

pourquoi montrer la violence parentale et conjugale avec tant de désinvolture ?

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☆ visionné le 20 janvier

le plus beau documentaire sur la mode qu'il m'ait été donné de voir, un « le jour d'avant » par Loïc Prigent amélioré, enrichi par ces si belles réflexions de Christian Dior et la monstration de l'intime du directeur artistique... Raf, je t'aime ♡.

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☆ visionné le 21 janvier

une histoire d'amitié-amour entre deux prostitué·e·s, dont l'un est un artiste en panne d'inspiration prolongée et l'autre une glamour girl totalement delusional ? sign! me! the! fuck! up!
j'ai décidé de regarder Breakfast at Tiffany's après avoir failli pleurer devant le défilé Givenchy haute couture printemps-été 2020 et ai été ravie de pouvoir admirer les merveilleux costumes d'Hubert de Givenchy.
les seuls points noirs du film sont le racisme décomplexé avec lequel est dépeint le personnage de M. Yunioshi, très malheureusement utilisé comme ressort comique du film, et le fait que Paul devienne un petit con voulant à tout prix "posséder" Holly (et obtienne raison).
ceci dit, je retiendrais à jamais la scène finale, parce que la seule manière de filmer un baiser sous la pluie est de faire que les protagonistes enserrent leur chat bien aimé durant leur étreinte.

« [the film's] romanticism is saved from sentimentality by its zaniness and, conversely, its zaniness is saved from obscurity by its romanticism. »

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☆ visionné le 22 janvier

je continue d'accompagner ma semaine des défilés haute couture printemps-été 2020 de films et documentaires liés de près ou de loin aux défilés du jour. aujourd'hui, j'ai donc choisi de me plonger dans l'oeuvre de Martin Margiela après avoir vu le dernier défilé de la Maison en date. si j'ai souri en étant ramenée à quelques détails du travail de celui-ci, je trouve que le documentaire (même pour un court) n'expose que très partiellement son génie et ses spécificités. je m'en vais donc dès à présent continuer de dévorer les analyses, défilé par défilé, des collections Maison Martin Margiela par Bliss Foster qui sont d'une qualité de contenu nettement supérieure. je tiens, en outre, à souligner le bonheur que m'ont provoquée les visions de Jean-Paul Gaultier et de Raf Simons à qui je pense beaucoup aujourd'hui après avoir admiré (avec pincement au cœur) le génial dernier défilé du premier et espéré que les rumeurs selon lesquelles le dernier rejoindrait Prada serait vrai — à défaut de le voir revenir à Dior pour la sauver des griffes de son actuelle directrice artistique.

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☆ visionné le 2 février

je mets 8/10 juste pour l'italie et Gina... jamais été autant amoureuse d'un personnage animé.

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☆ visionné le 2 février

i guess it wasn't that bad? je n'en garde pas une trace indélébile et suis très sceptique face à une telle éloge de la papauté...

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☆ revisionné le 4 février

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☆ visionné le 7 février

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☆ visionné le 10 février

j'ai regardé ce film juste pour entendre Jacques Weber dire "ta gueule con!" à Cauet... ma pire honte ! also, vive la totale banalisation du viol qui n'est d'ailleurs même pas considéré comme tel ?

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☆ visionné le 10 février

j'en attendais plus

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☆ visionné le 27 février

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☆ revisionné le 27 février

j'ai encore pleuré

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☆ visionné le 1 mars

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☆ visionné le 1 mars

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☆ visionné le 4 mars

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☆ visionné le 4 mars