Diego Maradona en 50 citations

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"J'ai deux rêves, jouer la Coupe du Monde, et la gagner."

(Première apparition de Diego Maradona, enfant, dans l'émission Sabados Circulares, 1971)

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"Ma mère pense que je suis le meilleur, et j'ai été élevé en croyant toujours en ce que ma mère me disait."

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"Je suis né dans un quartier privé de Buenos Aires...Privé d'eau, d'électricité et de téléphone !"

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"On m'en a donné des surnoms, mais Pelusa est celui que je préfère parce qu'il me transporte dans mon enfance à Fiorito."

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"Jusqu'à aujourd'hui, j'ai vécu 40 ans qui en valent au moins 70. Ma vie a été bien remplie, je suis sorti de Fiorito pour atteindre le toit du monde, là haut, tout en haut de la célébrité. Mais une fois arrivé là, j'ai dû me démerder tout seul."

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"Si je pouvais, je demanderais au père Noël d'avoir toujours vingt-cinq ans, comme ça je pourrais toujours jouer au football."

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"Beaucoup disent de moi, «tu es dieu», et moi, je leur réponds «vous dites n'importe quoi». Dieu est Dieu et moi, je suis un simple footballeur."

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"Arriver dans la surface et ne pas pouvoir tirer au but, c’est comme danser avec sa sœur."

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"Jouer à huis clos, c’est comme jouer dans un cimetière."

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"Je n'ai rien contre les homosexuels. C'est bien qu'ils existent parce que ça laisse plus de femmes disponibles à ceux qui sont des hommes pour de vrais."

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"Pelé s'est dépucelé avec un garçon. Oui, oui, avec un garçon."

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"J'aurais pu être moins bon que Pelé."

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"Pelé est un esclave. Il a vendu son cœur à la FIFA. Et quand la FIFA n'a plus eu besoin de lui, il est venu gratter l'amitié des joueurs. Tous les noirs finissent par déteindre un peu..."

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"Neymar plus fort que Messi ? Je crois que Pelé n'a pas dû prendre les bons cachets."

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"Si j'avais voulu baiser, je serais allé en Jamaïque ou à Ibiza, pas à Cuba."

(En réponse à ceux qui l'accusaient de ne pas suivre correctement sa cure de désintoxication à Cuba, en 2000)

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"Je ne sais pas ce que je vais faire dans 15 minutes, alors comment voulez-vous que je sache ce que je vais faire demain ?"

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"Si je devais appartenir à la famille de la FIFA... Je préfèrerais encore être orphelin."

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"Blatter m'aime comme un fils... Comme un fils de pute."

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"Havelange vend des balles à l'un, et des fusils à l'autre."

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"Havelange à joué au waterpolo, ça ne lui donne aucune légitimité pour parler de football."

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"Les dirigeants de la FIFA sont des vieux messieurs cramponnés à leurs fauteuils. Ils n'aiment ni le football ni les joueurs. Tout ce qui les intéresse, c'est l'argent."

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"Je me suis fâché avec le pape. Je suis allé au Vatican, le plafond était recouvert d'or. Et après, on nous dit que l'église se préoccupe des plus pauvres. Mais, putain, mec, vends le toit ! Fais quelque chose !"

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"Il est évident que je suis en connexion directe avec le grand barbu."

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"Dans la clinique, il y en a un qui se prend pour Robinson Crusoé, et tout le monde le croit, et moi, on ne me croit pas lorsque je dis que je suis Diego Maradona."

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"La folie, c’est terrifiant. Dans la clinique j’avais l’impression d’être Jack Nicholson dans Vol au dessus d’un nid de coucou."

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"Dites-moi pourquoi je ne vais pas pouvoir vivre sans une partie de mon cœur, alors que d'autres arrivent à vivre sans âme ?"

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"«Esquiusmi, esquiusmi...» La prochaine fois, je te mets un coup de pied dans les couilles."

(En 86, contre l'Angleterre)

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"C'est un beau but, mais ce n'est pas une merveille. Raquel Welch est une merveille, mais pas un but."

(Aux journalistes argentins, après son slalom contre les Anglais)

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"Je demande mille fois pardon aux Anglais, mais la vérité, c'est que je le referais mille fois (la main de Dieu). Je vous ai volé le portefeuille et vous n'avez pas cligné des yeux."

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"Je le jure sur la tête de tout ce que j'aime, je suis allé au duel avec Shilton et j'ai frappé la balle avec ma tête. Ce qui se passe, c'est que Shilton est sorti le poing en avant, mais je n'ai aucun doute que j'ai frappé le ballon de la tête, j'ai même un bleu sur le front qui peut en attester... Ce geste, je l'ai fait avec la tête de Maradona et la main de Dieu."

(Son explication de la main de Dieu en 1986)