Dis-moi ce que tu lis... Cru 2014

Annotation :

Où est l'humour tant vanté sur la 4ème de couverture ? Dans les situations ? Parce que dans le style... je suis loin d'avoir retrouvé le plaisir d'un Jorn Riel ou autres auteurs nordiques. On ne sait pas où ça va et les pérégrinations de cet homme qui se laisse porter par l'inspiration finissent par ennuyer.

Annotation :

Teulé a du style, mais ça ne suffit pas... Comme dans le magasin des suicidés, j'ai fini par limite m'ennuyer à force d'enchainer les empoisonnements... Et je ne parle pas des 2 Normands qui reviennent au fil des pages pour un effet "comique de répétition" tellement absurde que ça en devient agaçant.

Annotation :

Un style très agréable et bourré d'humour. Le père hypocondriaque est fantastique dans son genre, c'est un peu l'élément incontrôlable de l'histoire, ce qui permet au lecteur de se demander jusqu'au bout s'il y aura bien happy end ou pas.

Annotation :

Beaucoup de ressemblances avec L'Histoire Sans Fin, une traduction sans réel charme, cette histoire m'a quelque peu irritée (est-ce également dû à la pointe de sexisme que j'ai ressentie au fil des pages ?) mais suffisamment accrochée pour que je la lise très rapidement. Le côté contes dévoyés n'étant pas pour me déplaire.

Annotation :

Une mise en place plutôt lente, l'antihéros classique n'empêchant pas ce polar d'être bien ficelé et de se laisser dévorer jusqu'au bout.

Annotation :

Bien sûr, ces nouvelles ne sont pas toutes égales mais je suis toujours admirative de ces écrivains qui arrivent à vous brosser un univers en une ou deux pages seulement. Coup de cœur pour la nouvelle "Recommandé"

Annotation :

Quand on a vu le film, le livre n'apporte pas grande surprise. Je pensais que la psychologie des personnages serait un peu plus approfondie, mais j'ai été déçue. Le style est d'un tel détachement que peut-être cela m'aura échappé.

Annotation :

J'ai préféré ce second opus au premier, qui s'il avait l'originalité de montrer une trame dans laquelle il s'agissait non pas de comprendre la logique d'un meurtrier mais celle d'un flic, était vraiment lent à démarrer. Ici on plonge tout de suite dans l'intrigue, avec un bon gros rebondissement de fin, pas vraiment une surprise tant on dirait que Jo Nesbo apprécie de surexposer dès le début ses "méchants"

Annotation :

Pas aussi punchy que Room sur le même sujet de la séquestration, Twist semble un peu de bric et de broc, comme si l'auteure n'avait pas su se contenter de l'histoire de Madison. Que vient faire l'histoire d'amour de Stanislas et Louison au plein milieu ? C'est un curieux mélange.

Annotation :

Humour au vitriol, le héro le plus exaspérant que j'aie jamais rencontré ! Tous les personnages prennent cher, très cher, mais au final il y a beaucoup de tendresse de l'auteur qui assemble doucement les pièces du puzzle pour leur offrir un happy end auquel leur vie médiocre ne semblait pas les destiner. On a envie de mettre des baffes à cet Ignatus pédant, -le con avec un grand C- et d'un autre côté on se dit que ces gens "normaux" ne sont guère plus séduisants. C'est décapant, c'est dérangeant, c'est bien écrit, c'est à lire absolument !

Annotation :

Une pièce sur le triangle amoureux où la messe est dite des le début ce qui permet une grande profondeur dans le traitement. La mise en scène doit y faire beaucoup.

Annotation :

Cela faisait longtemps qu'un Nothomb n'avait pas retenu mon attention. Mais pour une fois, le narcissisme de l'auteure m'a vraiment intéressée. On ne retrouve pas dans ce roman (nouvelle ?) le style parfois délicieux de la miss, mais sans doute cela donne un côté plus sincère aux passages où elle livre son expérience épistolaire.

Annotation :

La quatrième de couverture gâche absolument tout le suspens et c'est bien dommage. L'équipe d'enquête est franchement sympathique et on espère qu'il y a une suite à cette maison en pain d'épice, dont l'alternance de l'enquête avec des extraits du journal de l'assassin (pour le coup assez dérangeant) est plutôt réussie.

Annotation :

Une belle plume et une histoire d'amour à la Carmen fort bien ficelée font de cette nouvelle un classique incontournable.

Annotation :

Autant je n'avais pas accroché à "Effroyables Jardins", autant Cake-Walk est un petit bijou. Tranches de vies comme autant de tranches de cake servies chaudes et odorantes, avec une gouaille, une plume colorée comme je les aime.

Annotation :

ça y est ! Je suis enfin arrivée au bout d'un Balzac ! Bon, petit format certes, mais je confirme que ses intros continuent de me rebuter. Intéressant choix de traitement de l'histoire : foin de rebondissements rocambolesques alors que le sujet aurait pu s'y prêter mais rien que des "sentiments ordinaires" ce qui n'en donne que plus d'impact.

Annotation :

Superbe policier dont le mode d'enquête est pour le moins original et pour cause : son meneur n'est autre qu'un sourd muet à la retraite. Belles tranches de vie,ce qui ne gâte rien.

Annotation :

On sent que Pierre Lemaitre est un auteur de policier : il a la maitrise des cliffangers et le style fluide.
Un roman agréable à lire (mais de là à lui donner le Goncourt...). Comme dirait Charybde2, c'est bon comme du Tardi mais les images en moins.

Annotation :

Beaucoup de bon dans ce roman noir : d'abord le style délicieusement imagé de Michel Quint et une structure plutôt originale puisque mêlant histoire présente et "fiction biographique". Dans cette réécriture du passé, les personnages se réinventent et se dévoilent, magnifiquement terribles.

Annotation :

Je ne vais pas bouder mon plaisir : Jonas Jonasson a toujours un style plein d'humour et des histoires délicieusement abracadabrantes même s'il est vrai que j'ai retrouvé la même lassitude aux 2/3 du roman que pour le Vieux... C'est léger, c'est distrayant, c'était parfait pour un dimanche pluvieux !

Annotation :

Un style assez froid et une histoire qui commence comme une sorte de "success story" faussement guimauve qui dévoile sa véritable nature lorsque la géo-politique s'en mêle, donnant un aperçu bien noir de l'Italie pré-Berlusconienne.

Annotation :

Un récit haut en couleurs, j'ai particulièrement aimé la description des œuvres de l'auteur dont il parsème son "testament".

Annotation :

A lire si on estime avoir "trop de bonheur" car ces nouvelles sont loin d'être gaies (pas misérabilistes non plus ceci dit).

Annotation :

Un style pas exceptionnel (lu en français, donc c'est une traduction) mais une histoire qui m'a malgré tout tenue en haleine jusqu'au bout. Et dire que c'était il n'y a pas si longtemps que ça...

Annotation :

Pas une révolution mais il est bon de se rappeler que l'égalité hommes/femmes dans nos sociétés modernes est encore loin d'être un acquis et le poids des préjugés dans tout cela.

Annotation :

Théâtre. Aucune ponctuation dans ce texte pour laisser la part belle à la mise en scène. Pas évident pour une première lecture mais histoire et personnages assez intéressants.

Annotation :

Cette saga familiale qui s'étend sur 100 ans est écrite avec beaucoup d'humour et des aller-retours dans le temps qui rythment le récit. A lire avec pour marque page l'arbre généalogique de la famille pour ne pas se perdre entre les Aureliano et autres prénoms qui se transmettent de père en fils.

Annotation :

Un style assez particulier qui a failli me rebuter. Mais finalement on se laisse porter par l'histoire et on en oublie ses premières impressions.
Edit : plusieurs mois après j'ai tout oublié de l'histoire... ah si, c'est une histoire d'amour entre une actrice et un acteur qui veut se lancer dans la réalisation.

Annotation :

C'est fouillis, difficilement compréhensible. Le narrateur est-il un anti-héro ou un habile agent double ? Il se laisse balloter par les événements, telle une poupée parlante. J'ai dû m'accrocher pour terminer ce livre.

Annotation :

Divagations d'une conductrice, pensées pièces de puzzle qui finissent par donner une consistance à la narratrice. Un roman exploratoire, dont la postface (que j'avoue n'avoir pas eu le courage de lire) explique la démarche. On peut passer à côté de ces explications et néanmoins profiter pleinement de l'histoire.