DS : Top 23 de la déesse des portables

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Une perle de fun, avec une avalanche de minigames complètement cintrés, exploitant avec brio l'interface tactile de la console, ainsi que son micro. Un rythme d'enfer, une variété renversante, un épisode majeur dans la série novatrice des WarioWare.

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La première trilogie de Layton a réussi un pari risqué : concilier hardcore gamers et casual gamers dans un jeu à la réalisation magnifique et où l'on se prend vite à la collectionnite de tout et n'importe quoi. Difficile d'abandonner le jeu avant d'avoir effectué tous les puzzles et les quêtes annexes! Le premier épisode est une excellente mise en place, mais le second reste mon préféré pour l'instant. Notons la beauté des cinématiques, et l'intelligence de la narration.

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Qui a décrété que le FPS horrifique se devait d'être jouer sur grand écran ? La proximité extrême entre le joueur et le petit écran combinée au maniement via l'écran tactile font de ce jeu une réussite en terme d'immersion. L'ambiance est prenante et il ne fait pas bon y jouer au casque la nuit...

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Premier volet de la magistrale trilogie sur SuperFamicom, FFIV débarque sur DS dans une version magnifiquement upgradée, respectant l'âme de l'original en ajoutant une réelle plue value en terme de réalisation. Une occasion de faire ou refaire un des trois meilleurs FF.

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Devenu LA console du J-RPG, alors que le genre peinait à prendre ses marques sur les consoles next gen, la DS a abrité nombreux remakes. Mais l'équipe des gigantesques Atlus a développé un titre original dans les règles de l'art, osant une forme classique pour au final nous offrir un gameplay à la fois accessible et profond, une histoire complexe, et un jeu de voyages dans le temps géré avec intelligence. Prenant, magnifique, indispensable.

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Tout bonnement LE meilleur rhythm game!
... Si, je vous assure, des morceaux qui vous hantent, chacun étant une sorte de minigame à la WarioWare, avec son gameplay spécifique, des bonus dans tous les sens, des cadeaux cachés, une réalisation aux petits oignons, c'est juste du pur génie. Les quelques jeux du genre sont de très bonne facture sur DS, mais celui-ci a quelque chose, une richesse, je sais pas, quelque chose, quoi!

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Les trois rééditions des chef d'oeuvres de la SuperFamicom pourraient tous se retrouver ici, mais DraQue IX réussit à les détrôner, tant en terme de réalisation qu'en terme de contenu. C'est tout simplement magnifique et gigantesque. Si en plus on ajoute à tout ça une gestion du multi particulièrement réussie encourageant les instances même chez nous, en France, l'ensemble est juste immense.

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La première fois que vous lancez Trauma Center, à plus forte raison si c'est en 2006, vous ne pouvez pas ne pas halluciner. L'interface tactile est tout bonnement parfait pour ce genre de jeu et chaque opération vous fait trembler et suer à grosse gouttes. Privilégiant clairement la dimension arcade, Trauma Center est à la médecine ce que Phoenix Wright est à la justice. Génial.

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S'il s'agit d'un portage de la version GBA, la série des Phoenix Wright inclura rapidement des mécaniques exploitant les interfaces de la DS comme la prise d'empreintes digitales, et augmentera d'une dimension non négligeable les déjà géniaux opus de cette série majeure.

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Okami est un des meilleurs jeux de tous les temps. On attendait cette suite au tournant, car si le pinceau céleste ne pouvait pas ne pas fonctionner à merveille sur une console tactile, la peur d'avoir un jeu trop "petit" perdu dans l'ombre de son prédécesseur était légitime. Pourtant, au final, c'est une vraie réussite respectant la charte graphique de l'opus originel tout en osant une relecture de l'ensemble via des mécaniques et une ambiance propre à celle-ci. On regrettera un temps l'infantilisation du propos avant de réaliser que le jeu reste profond, difficile, gigantesque. Sans être Okami, Okami Den n'a pas à rougir, il surmonte le challenge.

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Arkedo, studio français, s'approprie dans un même coup un genre, le shmup, un support, la DS, et une esthétique, le pixel art, pour offrir un jeu ludique au possible, avec une grande marge de progression, des mécaniques de jeu simple à comprendre, difficile à maîtriser (adage ancestral du jeu vidéo), et réussit avec une audace folle son coup de maître.

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Tout simplement un des meilleurs jeux de la console, puzzle game à moteur physique et musique interactive. Difficilement descriptible mais enfantin à prendre en main, encore un modèle d'ergonomie et d'inventivité totalement indispensable.

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Il fallait y penser, transposer en 3D le classique Picross! Et le résultat est tout simplement génial et addictif à la façon du picross originel, mais élevé au cube! Jamais brouillon, la lisibilité exemplaire du jeu ainsi que son ergonomie font que l'on dépasse le bête bouffe-temps pour basculer vers le jeu, le vrai, celui qu'on veut finir à 100%.

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Un épisode majeur d'une série excellentissime, Covenant of the Plume est âpre, sans pitié, émouvant, difficile, et propose un glissement de la série vers le Tactical, tout en gardant l'âme de celle-ci.

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Disgaea est un jeu virtuellement infini, complètement déraisonnable, drôle, génial, magnifiquement réalisé, avec simplicité. C'est un Tactical-RPG qui avait déjà révolutionné les choses lors de sa sortie sur PS2. La version DS ne perd que peu au change et gagne beaucoup. Là où l'interface a été un peu optimisé, et où le second écran fait office de map, cette version se targue d'être la seule à proposer une VF! Disgaea est indispensable, l'a toujours été, et continuera de l'être longtemps!

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Là encore la petite DS nous met la pression en nous permettant d'incarner Samus dans un platform FPS à l'ambiance oppressante et à la réalisation soignée, parfaitement maniable.

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Jeu absolument génial à la base, Geometry Wars sur DS réussit la prouesse de détrôner les versions double joystick du XBLA, malgré le fait qu'elle n'offre qu'un mode de jeu. L'ensemble est sobre et frénétique à la fois, les planètes sont variées, les armements optionnels évoluent suivant vos performances, et en plus il y a des médailles. Bref, tout est réuni pour que vous y passiez un sacré bout de temps. Et là, au moins, l'ensemble n'est pas gaché par des musiques de mauvais goût (GWEvolved 2 sur Xbox360 propose des musiques dignes de mix dance pour fête foraine presque rédhibitoires, malgré l'excellence du jeu!)

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Lorsque le puzzle game, le point'n click, l'enquête policière, le fantastique, le tout réalisé aussi soigneusement qu'un dessin animé, ça donne Ghost Trick.

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On peut dire que c'est de la triche, que c'est juste un énième portage...etc. Rien à fiche, ce jeu est juste un des meilleurs jeux du monde, et chaque occasion de le refaire se doit d'être fêtée, et les dieux du jeu vidéo d'être remercié pour nous avoir offert un jeu de cette trempe!

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La trilogie DS de Castlevania hérite de l'apport massif de l'incomparable Symphony of the Night. Si ce dernier est tout bonnement indétrônable, les épisodes DS sont malgré tout géniaux, parfaitement maîtrisé avec leurs lots de musiques épiques, d'armes, de labyrinthes, de boss épiques.

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Bon, là, j'avoue, c'est un coup de coeur tout ce qu'il y a de subjectif, mais j'adore ce jeu de rythme, qui sait être accessible quand il faut mais au fil des niveaux nous emmène vers des sommets hardcores, propose un contenu massif, entre les défis, les trois niveaux de difficulté, l'épreuve quotidienne. Forcément, c'est mieux sur un tambour, mais faute de mieux, la version DS se débrouille comme une petite chef!