Films: Vu en 2016

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On va pas se mentir, c'est du gros gros fan-service, avec un scénar qui a souvent plus des allures de remake que de suite.
Mais on y retrouve ce fin mélange entre épique (quoique...) et humour qui a fait la gloire de la trilogie originelle, et exit les personnages tête à claque et leur histoire d'amour neu-neu de la seconde.
Si ce n'est pas un grand Star Wars, c'est une bonne intro pour une nouvelle trilogie prometteuse, qui m'a, à plusieurs reprises, embué les yeux. J.J. maitrise son sujet.
Mark Hamill a la tronche et la dégaine parfaite (dommage que ce soit si succinct) , Harrison Ford a toujours autant la classe (ok, il est vieux, ET ALORS?!), et Daisy "Rey" Ridley est tout simplement craquante.
La suite définira l'ensemble, l'attente va être longue.

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Inarritu s'impose une nouvelle fois comme l'un des réalisateurs les plus talentueux de cette décénie. The Revenant c'est une photographie magnifique, une camera dirigée magistralement, un scénar épuré, une ambiance brute et un casting aux petits oignons.
DiCaprio, je ne sais même plus quel qualificatif utiliser pour ce type tellement il est parfait dans chacun de ses rôles... Mais Tom Hardy et Domhnall Gleeson ne sont pas en reste.

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y'a bien 2 points qui reviennent uniquement à la présence d'emma stone dans cette note.

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j'aurais mis la moyenne si on voyait plus d'emma stone que de steve carell...

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c'est difficile d'apprécier une comédie romantique après avoir maté l'année du zapping 2015...
mais ne serais-ce que pour le sourire de Keira Knightley , ça vaut le coup <3

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j'ai trouvé ça très bon !
Mark Ruffalo est très convainquant, Keira Knightley j'en chiale tellement elle est belle, et ça fait toujours plaisir de voir mos def ^^'

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Une tension constante, malheureusement desservie par de nombreux défauts. Déjà c'est du pur USA avec ses gros clichés qui tachent, la réal est sans une once d'inspiration, avec des ralentis inutiles plein de violons qui plombent souvent l'action, une action d’ailleurs difficilement lisible, la faute avec un caméraman parkinsonien. Pas mal de truc irréaliste, avec une mention spéciale pour le "jeté d'enfant", prouesse digne d'un record olympique...
Bref, un peu dommage, y'avait de quoi faire un truc correct, une bonne course de survie familiale, si seulement ça avait été autre chose qu'une production américaine de base...
Totalement dispensable.

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un scénario... anecdotique...
mais une Keira Knightley , un Colin Farell, et une bonne BO, ça me suffit pour passer un agréable moment.

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hum hum...
Il faut reconnaitre que Terrence Malick est audacieux, car il nous offre là quelque chose de très particulier, et clairement très personnel.
Il faut aussi lui reconnaitre un sacré talent, cette manière qu'a cette caméra de sans cesse bouger, plonger et ou se relever, pour capter ces corps magnifiques et ces décors aux perspectives sublimes, c'est visuellement fort.
Talent aussi pour découper et monter ces plans, un montage qui, presque à lui seul, rythme cette errance (y'a aussi la BO et la voix-off, évidemment, mais c'est bien le montage qui fait les 3/4 du boulot) .

Après, on adhère ou non.
Perso, j'adhère pas, ça m'aurait plus si c'était fait en guise d'intro, ou pour une interlude, mais non, c'est ça, et que ça, pendant 2heures !
2h ou je me suis fais chier comme un rat mort, car ce monde qu'il filme, ce n'est pas le mien, et ces pensées qui habillent l'image, elle ne me parlent pas, mais alors pas du tout !

Bref, Terrence Malick fait son cinéma, et le fait avec talent, mais ce n'est pas un cinéma qui m’intéresse... j'ai besoin de personnages, j'ai besoin d'enjeux, et Knight of Cups n'a ni l'un ni l'autre.

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Un scénario et une petite palette d'acteur qui auraient pu (qui auraient du !) donner quelque chose de bon, mais non...
Personnages, dialogues, BO, et mise en scène sans consistance et sans intérêt, un récit sans surprise, des acteurs sous exploités et qui font le minimum syndical...
J'en attendais rien, mais j'en suis quand même déçu, parce que c'est du foutage de gueule de nous mettre un duel Hopkins Vs Farrell pour finalement nous pondre ces 1h40 là...

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Je ne suis déjà pas fan des James Bond à la base, et encore moins de Daniel Craig, alors quand on me sort un james bond tout pourri qui dure 2 putain d'heure et 30 putain de minutes, ça passe mal...
Je met 3 parce que tout de même, j'étais content de voir Andrew "Moriarty" Scott

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raaaah... quelle déception...
Il y avait de quoi faire un sacré bon film de gangsters, avec l'excellent Tom Hardy qui n'en finit pas d'enchainer de grand rôles et l'histoire de ces gangster londoniens de légende!
Et pourtant, si Tom Hardy démontre une fois de plus son talent, le film, lui, nous laisse un goût amère dans la bouche.
La réalisation, la BO et les second rôles sont à la hauteur, mais c'est au niveau du scénar, et de l'écriture des personnages que le bât blesse.
Du film de gangster on n'aura pas grand chose, deux trois liasses de billet, deux trois pains dans la tronche, sur plus de deux heures de film, c'est léger, et l'historie du couple regi/frances ne suffit pas à nous tenir en haleine.
Puis il y a les personnages aussi, les frères Kray et la jolie Frances sont bien joué mais mal construit, et on peine à croire certaines de leur réactions...
Une grosse déception donc car tout les ingrédients étaient là, à portée de main...

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Oui bon alors évidemment, c'est très bien filmé, mis en scène, monté etc... c'est Spielberg quoi, le type il sait ce qu'il fait. L'ambiance est bien rendue, les personnages crédibles et très bien interprété (au cas ou Tom Hanks avait encore quelque chose à prouver ?) mais...
Niveau scénario, c'est sans surprise, prévisible d'un bout à l'autre, c'est à se demander ce que les frères Coen foutaient là dedans... Notons aussi une vision très américaine des évènements, spielberg oblige... On aurait aimé voir autre chose de ce qui se passait de l'autre côté qu'une simple scène de torture...
bref, 7 pour la qualité cinématographique du produit, mais 6 pour le film.

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Un drame social qui dépeint une réalité dure et crue. Une réalisation sobre (voir simple) dans sa forme (mention spéciale au plan très bien trouvé ou l'on voit le reflet d'Andrew Garfield sous l'eau) qui laisse au propos la place nécessaire pour nous prendre aux tripes. Michael Shannon et Andrew Garfield campent avec talent des personnages dont on ne sait au final que peu de chose mais dont le regard intense suffit à nous dire tout ce que l'on doit savoir.

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Un sujet évidemment important, une réalité atroce sur laquelle il est indispensable d'ouvrir le yeux.
Mustang a donc des intentions plus que louables. Ajoutons à cela une réalisation propre, de belles images, des actrices convaincante et un rythme narratif doux et agréable (qui compense ainsi la dureté du propos) et on obtient un joli film.
Hors moi, quand je regarde un film qui traite de sujet aussi important que celui ci, j’attends quelque chose de plus qu'un "joli film"...
Cela manque d'intensité, de prise de risque, d'authenticité et de cœur.

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Voilà 2h bien particulières. Visuellement c'est fort intéressant, la mise en scène, les plans, l'image, le montage, tout est d'une maitrise assez impressionnante et aurait pu (aurait du !) servir un sujet fort et creusé comme il faut.
Mais Paolo Sorrentino semble vouloir trop en faire, ou trop en dire, et en résulte un film qui part d'un peu n'importe ou et n'arrive nulle part sans avoir dit grand chose en cours de route.
2heures donc, d'un film par moment trop mou, par moment prétentieux, avec des dialogues qui sonnent un peu faux un peu trop souvent.
Mais les acteurs et la maitrise du réalisateur suffisent à rendre le tout agréable et intéressant.

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En voilà une belle déception, je ne me faisais pas trop d'illusion au vu des critiques, mais Amenabar tout d'même, on est en droit de s'attendre à quelque chose d'un peu plus travaillé.
Niveau réalisation, c'est soigné , mais guère plus. Les acteurs sont tout juste correct. Et niveau scénar, c'est le drame (non mais c'est pas un drame, c'est un thriller) !
On a un sujet de fond (pas le satanisme, l'autre sujet hein) qui, traité différemment aurait pu être intéressant, mais amenabar nous pond 1h40 d'un thriller mou, ou seule la musique et une image froide créent de la tension, un film paresseux, aussi passionnant qu'un DTV M6 des années 90, et comme on voit venir le twist final dès le début (j'veux dire, le nom du film est un spoil, faut oser quand même!) on passe ces 1h40 à se dire qu'amenabar film tout sauf ce qu'il aurait du filmer...

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Sans grand intérêt si ce n'est son casting...

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Toujours plus loin dans ma session Kiera Knightley...
Un film ultra prévisible, bourré de stéréotypes.

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Du Tarantino qui maitrise toujours autant, un sans faute niveau casting, réal, dialogue, situation, B.O., et si l'intrigue manque un peu d'épaisseur on reste tout de même captivé par ce délire sur 2h45 de film. ça ne plaira pas à tous c'est sur, mais pour les amateurs de tarantino et d'huis clos, c'est un régal !

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"If it takes a village to raise a child, then it takes a village to abuse one"

J'aime les films sur le journalisme, sur ces chercheurs de vérité qui, aujourd'hui, sembleraient presque d'un autre temps!
On est ici loin d'un JFK d'Oliver Stone, passionné et plein de fougue, car Thomas McCarthy réalise un film lisse et clair, une enquête propre et méthodiquement rythmée, presque neutre. Et c'est ce qui fait la puissance de ce film, car vu le sujet, il aurait été facile de tabler sur un registre bien différent.
McCarthy nous offre donc quelques personnages sur lesquels il refuse de s'étendre (et la qualité du casting compense), laissant la quasi entièreté de ces 2heures à son sujet, un sujet fort (surtout pour les USA, un pays encore très lié à sa religion) qui suffit à les remplir.

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Il y a des scénaristes/réalisateurs qui traitent la peine et la vengeance d'un façon forte et viscérale, des faiseurs de film qui ont quelque chose à dire, une pierre à ajouter à l'édifice qu'est la compréhension de l'âme humaine... et puis il y a Billy Ray, qui n'a pas grand chose à dire, qui prend un trio d'acteur pas dégueux et nous pond un film du dimanche soir qui se laisse regarder mais s'oubliera le lendemain.

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En voilà un bien joli petit film d'une heure trente !
"joli" n'est pas forcément un terme très adapté, car les thématiques abordées sont plutôt sombre.
C'est esthétiquement très réussit, même si j'aurais adoré voir un chouilla plus de prise de risque et d'audace dans la réalisation (ça s'y prêtait bien !) mais Shawn Christensen reste très bon dans ce qu'il fait (devant et derrière la camera!).
C'est à la fois dur, touchant, comique, et ça sonne vrai. C'est bien joué, et agréablement porté par une B.O. efficace et juste.

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hum... un film qui n'est pas sans intérêt. Qui traite d'un sujet mine de rien assez sérieux, sur un ton plutôt léger (voir comique).
Mais bon, y'a pas de réelle réflexion au final, et puis ça sonne pas très juste. Le casting est pourtant pas trop mal, mais ça ne fonctionne pas vraiment.
Le générique arrive (assez rapidement d’ailleurs) et on sort du film sans qu'il ne nous ait apporté quoi que ce soit. C'est bien dommage.

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Assez mitigé pour ce film, et un 7 peut être un peu trop indulgent...
D'un côté on a un super casting, pas de performances hors du commun mais ils font bien leur taf les gonzes. On a une réalisation efficace avec un montage dynamique, avec quelques effets que j'ai trouvé assez dispensable , mais passons. On a un sujet important, qui est vulgarisé pour être compréhensible de tous, mais qui n'apprendra rien à une personne qui se serait déjà intéressé à tout ça.
D'un autre côté, on a une historie dont on connait déjà la fin, et sans réel rebondissement, ce qui forcément crée un certain ennuis pour celui qui n'a pas besoin qu'on lui ré-explique grossièrement tout ce "beau" bordel économique. Mais ce qui m'a le plus dérangé au final c'est cette palette de personnage, qui sont posés là, et dont le cynisme et l'inaction n'est quasiment pas critiqué. Il sont presque montré comme "normaux" face aux idiots et aux crapules d'en face, alors qu'ils jouent le même jeu que tout le monde, voir un jeu encore plus nauséabond: celui du silence conscient face à la catastrophe imminente. C'est cette façon de dépeindre comme normal la poursuite de la richesse (et vouloir être riche outre mesure, ça n'a rien de normal ou de naturel) qui m'a déplu, j'aurais apprécié un peu plus, si ce n'est de critique, au moins d'analyse de ce comportement qui est au final la source première de tout ce bordel.
Loin d'un Wolf of Wall Street, qui s'attarde sur la perversion de ce milieu, cette perversion tristement humaine, The Big Short se satisfait de montrer du doigt une grosse machine et de vaguement nous l'expliquer, en nous laissant croire que le plus gros problème c'est la malhonnêteté ou la bêtise de certains, sans réellement se pencher sur la cupidité et ses causes. Alors je ne sais pas si le bouquin est écrit avec ce même esprit, mais moi, j'trouve que ça passe à côté de l'essentiel...
ça reste néanmoins un film nécessaire, pour son côté explicatif, et tout simplement pour ses qualités cinématographique, un film efficace sur la forme avec 2h de vulgarisation du monde de la finance bien rythmées, mais pas non plus sans défaut sur le fond.

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alalala... la NFL... les USA et le sport, c'est tout de même quelque chose ... https://www.youtube.com/watch?v=xcwJt4bcnXs

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Sorgoi est arrivé près de chez vous

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mwoué... L'histoire est plus ou moins conté à travers le regard de l'enfant, ce qui au final donne quelque chose d'un peu (trop) "mignon" (sensation appuyée par le thème musical).
J'aurais aimé plus de noirceur, car le scénar, c'est pas la moitié d'un drame tout d'même ! Et puis plus d'approfondissement de certains thèmes (l'enfermement, et comment la mère l'expose à l'enfant, la découverte de l’extérieur, et particulièrement des gens, par le môme etc...). Ces thèmes ne sont que survolés, et la psychologie des personnages reste relativement énigmatique.
Y'avait tellement de bonnes choses qui pouvaient être faites avec ce scénar, que c'est un peu décevant.
Mais bon, pour une fois qu'un gosse n'est pas insupportable à l'écran, on va être sympa sur la note ^^

Annotation :

Toujours les même défauts, une Katnis vraiment pas convaincante, trop fragile avec son ch'tit cœur tendre qu'a besoin d'être rassuré toutes les 3 scènes... Un aspect épique sacrément loupé, beaucoup de longueurs inutiles pour 2 heures de film qui n'arrive pas à capter ce qu'il y a d’intéressant dans cette histoire. Et puis cet assaut sur la capitale totalement vide wtf ?...

Annotation :

Une voix off qui n'a rien a dire, une B.O. hors sujet les 3/4 du temps, des personnages sans intérêt et sans évolution, une réal sans inspiration... bref, on se fait chier pendant 1h40... Le casting vaut quelques points mais c'est tout.
Owen Harris et John Niven feraient mieux de mater 2 ou 3 épisodes de Vinyl ...