Liste de

25 films

créée il y a presque 6 ans · modifiée il y a environ 2 ans
James Bond 007 contre Dr. No
6.8
1.

James Bond 007 contre Dr. No (1962)

Dr. No

1 h 50 min. Sortie : 27 janvier 1963 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Terence Young

Corentin Galinier a mis 8/10.

Annotation :

L'original. Le premier à arriver sur grand écran. Celui qui rapportera 60 fois son budget. Celui qui initiera une saga encore à ce jour vivante.

Bons Baisers de Russie
6.8
2.

Bons Baisers de Russie (1963)

From Russia with Love

1 h 55 min. Sortie : 30 juillet 1964 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Terence Young

Corentin Galinier a mis 8/10.

Annotation :

Excellente suite au premier film. Très hitchcockien. Plus d'intrigue, plus d'action.

Goldfinger
7.1
3.

Goldfinger (1964)

1 h 50 min. Sortie : 18 février 1965 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Guy Hamilton

Corentin Galinier a mis 8/10.

Annotation :

L'épisode qui ancre à jamais l'image mondiale de l'espion britannique au service secret de sa Majesté. Méchant charismatique, plan intelligent, Sean Connery au top de sa forme, Aston Martin DB5, gadgets, Q.

Je tire mon chapeau au second couteau du méchant.

Opération Tonnerre
6.6
4.

Opération Tonnerre (1965)

Thunderball

2 h 10 min. Sortie : 17 décembre 1965 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Terence Young

Corentin Galinier a mis 7/10.

Annotation :

Encore plus grand. Et pour cause. Le film est tourné en Panavision, ce qui sublime les paysages idylliques des Bahamas, ainsi que les interminables (?) mais néanmoins spectaculaires scènes de combat sous-marines. Mission encore plus importante que la précédente puisqu'il s'agit là de la disparition de missiles nucléaires, détournés par l'organisation SPECTRE.

On ne vit que deux fois
6.4
5.

On ne vit que deux fois (1967)

You Only Live Twice

1 h 57 min. Sortie : 20 septembre 1967 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Lewis Gilbert

Corentin Galinier a mis 7/10.

Annotation :

Épisode des plus cultes, tant par le repaire du grand méchant Blofeld (joué par Donald Pleasence) bâti dans le cratère d'un volcan que par la cicatrice de celui-ci (spécificités moqués 30 ans plus tard par la saga Austin Powers, qui fâchera sans doute EON Productions). Mais pour un film se déroulant en 1967, on appréciera l'intrigue à base de conquête spatiale, novatrice pour l'époque (soit 2 ans avant Apollo 11), et écrite par Roald Dahl. Bien que l'histoire s'éloigne des travaux de Ian Fleming, on retrouve l'esprit 007 : l'urbanisation caractéristique du Japon, ces paysages magnifiques, des gadgets mémorables, notamment la cigarette piégée, inspirée par le film Fantômas se déchaîne (sisi). On regrettera un Sean Connery lassé par le rôle et par les paparazzi lors du tournage. Mais James Bond reviendra.

Au service secret de Sa Majesté
6.4
6.

Au service secret de Sa Majesté (1969)

On Her Majesty's Secret Service

2 h 22 min. Sortie : 18 décembre 1969 (France). Action

Film de Peter R. Hunt

Corentin Galinier a mis 9/10.

Annotation :

James Bond est revenu certes, mais pas Sean Connery. Épisode boudé par de nombreux fans (surtout à l'époque) à ce propos. L'australien Georges Lazenby a là lourde tâche de succéder à celui qui a fait vivre le personnage sur grand écran depuis déjà 5 films. Il réussit ce pari en marchant dans les pas de Sean, allant jusqu'à aller chez son coiffeur et son tailleur.

Grâce à une intrigue mêlant l'unique véritable histoire d'amour pour Bond, avec Tracy di Vincenzo, et un virus rendant l'humanité stérile à cause de Blofeld (joué par Telly Savalas) , le film permet à Georges d'insuffler de la sensibilité au personnage de Bond. Le Bond de Connery nous était présenté comme plus froid et distant depuis le début, c'est pourquoi ce film aurait sans doute été moins crédible si l'acteur écossais avait rembauché. Aujoud'hui le film est considéré comme l'un des meilleurs.

Cependant, les critiques concernant Lazenby sont assez mauvaises à la sortie du film, ce dernier ne reviendra donc pas dans un futur film.

Les diamants sont éternels
6.1
7.

Les diamants sont éternels (1971)

Diamonds Are Forever

1 h 59 min. Sortie : 20 décembre 1971 (France). Action

Film de Guy Hamilton

Corentin Galinier a mis 6/10.

Annotation :

Georges Lazenby ayant refusé de rejouer Bond une seconde fois, suite aux conseils de son agent, celui-ci laisse les producteurs sans acteur principal pour incarner Bond dans leur prochain film.

Ainsi, ils vont faire revenir non sans mal, mais surtout à gros coup de chèques, l'acteur écossais Sean Connery qui s'était promis de ne plus jamais jouer l'espion britannique. Jamais plus jamais.

Le film se déroule après la fin l'épisode précédent. Bond traque Blofeld.
Bond sous les traits de Sean Connery donc, et un Blofeld campé cette fois-ci par Charles Gray (Ce dernier a déjà donné la réplique à Connery dans On ne vit que deux fois, à travers son personnage de Henderson).

Le film est kitsch, Connery a pris quelques kilos, le budget effets spéciaux est sans doute très réduit, le reste passant en partie dans le salaire de l'acteur principal (il reversa une grande partie de ce qu'il toucha dans des œuvres de charité).

Les diamants sont éternels est un film assez mauvais, transpirant les 70's, mais les 70's dans les décors de Las Vegas, choix de lieu assez peu exotique il faut le noter.

Il faut donc rajeunir la saga à tout prix. Et les producteurs l'ont compris.

Vivre et laisser mourir
6
8.

Vivre et laisser mourir (1973)

Live and Let Die

2 h 01 min. Sortie : 21 décembre 1973 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Guy Hamilton

Corentin Galinier a mis 7/10.

Annotation :

Rajeunir la franchise, en changeant de visage une nouvelle fois.
Le choix est porté sur l'acteur d'Amicalement Vôtre, Roger Moore.

Le film surfe sur la vague de la blacksploitation. l'intrigue se déroule donc à Harlem, à la Nouvelle-Orléans, ainsi qu'en Jamaïque, clin d’œil oblige à Dr No, histoire d'ancrer l'acteur britannique dans l'univers bondien. Les acteurs secondaires récurrents restent aussi les même, bien qu'on note l'absence de Q, et surtout de Desmond Llewelyn au casting. Les gadgets sont cependant bien présents, notamment la Rolex faisant office d'aimant et de scie circulaire, assez habilement utilisée dans le film.

Cet épisode est réussi, coche toutes les cases dans la charte de la saga.
On pourra noter par exemple la scène du serpent dans la salle de bain de Bond, faisant écho à la tarentule dans Dr No.
Cependant, on remarque l'utilisation d'un Magnum, inspiré sans doute par le succès de L'inspecteur Harry ou de Bullitt (Moore porte d'ailleurs le même col roulé noir et l'étui de son arme comme McQueen dans Bullitt justement).

Concernant le jeu de Moore, celui-ci n'est pas encore tout à fait à l'aise avec le rôle, encore hésitant, dans les traces de Connery. Son jeu de séducteur et son levé de sourcil caractéristique seront bien plus présents dans les opus suivants.

L'Homme au pistolet d'or
6.2
9.

L'Homme au pistolet d'or (1974)

The Man with the Golden Gun

2 h 05 min. Sortie : 20 décembre 1974 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Guy Hamilton

Corentin Galinier a mis 6/10.

Annotation :

Moore rempile donc. Les tournages s'enchaînent comme durant la période Connery. Bond renoue avec le succès.
Les films d'arts martiaux tels que ceux avec Bruce Lee sont à la mode à cette période. Ainsi le film se déroule principalement en Chine et en Thaïlande.

Le film n'est pas exceptionnel, cependant, il est suffisamment marquant par la présence remarquée de Christopher Lee en Scaramanga, l'homme au pistolet d'or. Le jeu de Roger Moore reste dans la continuité de LALD.

Pas exceptionnel donc, d'autant que le retour de John Barry aurait pu donner du relief à cet épisode. Malheureusement son travail reste assez fade sur celui-ci.
La chanson-titre interprétée par Lulu est assez "générique" et plutôt agaçante. Personnellement, je trouve la version instrumentale dispersée sous différentes variations plus agréable.

Reste donc de ce film un avis mitigé, avec un humour assez mal dosé, et surtout une cascade en Ford Mustang ruinée par un ajout de flûte à coulisse par John Barry himself.

Dommage donc pour ce film.

Heureusement, le prochain film sera meilleur.

L'Espion qui m'aimait
6.4
10.

L'Espion qui m'aimait (1977)

The Spy Who Loved Me

2 h 05 min. Sortie : 12 octobre 1977 (France). Aventure, Action

Film de Lewis Gilbert

Corentin Galinier a mis 7/10.

Annotation :

Ce film est meilleure comparativement au dernier.
Tout est plus calibré, l'intrigue, les scènes d'actions bien chorégraphiées, des destinations variées, magnifiées par une photographie remarquable.
Bien que le scénario soit très grandement inspiré par celui de On ne vit que deux fois, Lewis Gilbert réussi à divertir avec ce film.

On peut noter l'apparition de l'homme de main Jaws (surfant sur la vague du succès du film du même nom d'un certain Spielberg), homme de main bien plus intéressant que le méchant Stromberg de ce film.

La bande-son est signée cette fois-ci par Marvin Hamlisch, remarquable par ses sonorités 70's (à noter, la très cool piste nommée "Bond 77").

Un Bond réussi, par un mélange dosé cette fois-ci, de tout ce qui l'essence même du succès du personnage sur grand écran.

Moonraker
5.7
11.

Moonraker (1979)

Moonraker

2 h 06 min. Sortie : 11 septembre 1979 (France). Action, Aventure, Policier

Film de Lewis Gilbert

Corentin Galinier a mis 5/10.

Annotation :

Hélas, pour pérenniser la franchise, les producteurs et scénaristes s'inspirent sans cesse des succès de l'époque. Le succès de Star Wars les décident alors d'adapter le roman Moonraker en film (il était envisagé de faire revenir Bond dans Rien que pour vos yeux, comme cela est visible à la fin de TSWLM).

Bien que ce film soit sans doute l'épisode le plus clivant de l'histoire de la saga, il s'agit à l'époque du plus grand succès de la franchise (seulement détrôné en 2012 avec Skyfall).

Le film démarre assez bien (jusqu'à arriver à Rio globalement). La scène de pré-générique est l'une des plus réussies de la saga. En effet, Bond est en chute libre d'un avion, poursuivi par une second couteau familier (Jaws contre-attaque). Il aura fallu aux cascadeurs 88 prises pour obtenir cette scène d'action impressionnante.
Malheureusement, la fin est ruinée par un gag basé sur le personnage de Jaws, ce qui résume assez le film en entier. A savoir de bonnes scènes bien exécutées qui fonctionnent, avec un ton sérieux, mais quasiment toujours sabotées par des scènes humoristiques voire cartoon qui nous font sortir du film.

Concernant les scènes qui fonctionnent, on peut noter celle de la partie de chasse, rappelant celle du ball-trap dans Opération Tonnerre, ou bien celle de la centrifugeuse, faisant penser à celle de la "machine kinésithérapeutique" du même Opération Tonnerre.
Une scène très réussie à noter est celle de la ruelle à Rio, avec Jaws sous un costume, s'approchant de Manuela.

Globalement la film est très bien accueilli à l'époque puisqu'il sera le plus grand succès de la saga, jusqu'à la sortie de Skyfall en 2012.

Mais la production se rend tout de même compte qu'il sont allés un peu trop loin dans la démarche.
Le prochain film sera donc plus terre-à-terre.

Rien que pour vos yeux
6
12.

Rien que pour vos yeux (1981)

For Your Eyes Only

2 h 07 min. Sortie : 22 août 1981 (France). Policier

Film de John Glen

Corentin Galinier a mis 6/10.

Annotation :

Bien moins édulcoré que le film précédent, Rien que pour vos yeux présente une histoire plus classique et plus terne.
Dans ce film, Roger Moore livre sans doute sa performance la plus proche du personnage original, jouant la carte de l'assassin froid, là où jusqu'à présent il était plutôt cantonné au rôle du charmeur au lever de sourcil caractéristique.

Malgré une apparition reconnue de Blofeld (sans toutefois que son nom ne soit prononcé, à cause d'une longue bataille judiciaire entre EON et Kevin McClory) lors du pré-générique, l'antagoniste de Bond est balayé d'un revers de main, de manière assez ridicule.

Cette scène rappelle tout d'abord les événements tragiques survenus dans le film Au service secret de Sa Majesté, anéantissant d'ailleurs la théorie des Bond multiples, (James Bond étant selon cette dite théorie, un nom de code).

On retrouve Bill Conti à la bande originale, qui est très réussie et n'est pas sans rappeller la saga Rocky, dans ses sonorités à base de cuivres et son rythme.

Rien que pour vos yeux n'est pas un James Bond très mémorable, bien qu'il soit divertissant, faute peut-être à un manque de prises de risques au niveau du scénario ou des scènes d'action, n'étant que des déclinaisons de ce qui faisait le sel de la saga jusqu'alors.

Mais ce retour aux basiques était nécessaire après le over the top Moonraker.
Et puis la saga commence à vieillir, tout comme son interprète principal d'ailleurs.

Octopussy
5.9
13.

Octopussy (1983)

2 h 11 min. Sortie : 5 octobre 1983 (France). Action, Policier

Film de John Glen

Corentin Galinier a mis 6/10.

Annotation :

1983, année doublement intéressante pour l'agent double zéro.
En effet, on retrouve au cinéma Roger Moore, ainsi que Sean Connery dans la peau de l'agent secret.
Dans deux films différents bien entendu. L'un officiel, estampillé par la EON Productions. L'autre, produit par Kevin McClory, gagnant de la bataille judiciaire pour les droits de Opération Tonnerre.


Dangereusement vôtre
5.9
14.

Dangereusement vôtre (1985)

A View to a Kill

2 h 11 min. Sortie : 11 septembre 1985 (France). Action

Film de John Glen

Corentin Galinier a mis 6/10.

Annotation :

Titre français faisant écho à la série culte Amicalement vôtre (The Persuaders), dans laquelle Roger Moore joue Lord Brett Sinclair, alors dans la fleur de l'âge.
En effet, depuis déjà 3 films, ce bon vieux Roger faisait sans cesse savoir à la production qu'il voulait lâcher le Walther PKK, se sentant trop vieux pour le rôle. Habile entourloupe lui permettant de mieux négocier son cachet sur le tournage.
Cependant cette fois, c'est la dernière fois. Ce film aurait pu être l'occasion parfaite pour l'acteur Timothy Dalton d'endosser le costume de 007.

Car le film n'est pas spécialement mauvais, malgré quelques longueurs.
On peine surtout à rentrer dedans, majoritairement à cause d'un protagoniste vieillissant (56 ans lors du tournage), peu crédible donc, dans les scènes d'action et dans la séduction.
A noter, les doublures cascades de Roger Moore plus que visibles, notamment le cascadeur Rémy Julienne, lors de la course-poursuite au pied de la Tour Eiffel.

Cependant John Barry signe une excellente bande originale, avec notamment un réarrangement de OHMSS, piste nommée "Snow Job".
La chanson-titre par Duran Duran est aussi l'une des meilleures, et Barry en disperse des variations tout au long du film, pour notre plus grand plaisir.

Ce film n'est malheureusement pas l'un des meilleurs, mais reste mémorable malgré tout. D'une part grâce aux antagonistes joués par Christopher Walken (Zorin) et Grace Jones (May Day), et d'autre part, grâce à cette délicieuse bande originale très réussie.

Tuer n'est pas jouer
6.2
15.

Tuer n'est pas jouer (1987)

The Living Daylights

2 h 10 min. Sortie : 16 septembre 1987 (France). Action, Aventure

Film de John Glen

Corentin Galinier a mis 8/10.

Annotation :

Roger Moore cède le smoking à Timothy Dalton.
Ce dernier s'approprie le personnage en lisant l'œuvre de Ian Fleming. Et c'est notable. Place à un James Bond plus froid, plus sensible, plus humain.
Fini "l'humoore" potache.

John Barry signe sa dernière composition pour la saga, et il part sur une excellente note ! Il fait d'ailleurs une apparition dans un rôle de chef d'orchestre à la fin du film, belle hommage.
Le groupe A-ha interprète la chanson-titre "The Living Daylights", excellente, dans la continuité de "A View to a Kill".
Bien que John Barry ne se soit pas très bien entendu avec le groupe A-ha, sa composition est l'une des plus réussie, mêlant orchestre symphonique et sonorités électro, mettant ainsi en valeur le Bond de Timothy Dalton. Un Bond plus moderne, mais qui ne renie pas ses origines.

Permis de tuer
6.3
16.

Permis de tuer (1989)

Licence to Kill

2 h 13 min. Sortie : 16 août 1989 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de John Glen

Corentin Galinier a mis 8/10.

GoldenEye
6.6
17.

GoldenEye (1995)

2 h 10 min. Sortie : 20 décembre 1995 (France). Action, Policier, Thriller

Film de Martin Campbell

Corentin Galinier a mis 7/10.

Demain ne meurt jamais
5.9
18.

Demain ne meurt jamais (1997)

Tomorrow Never Dies

1 h 59 min. Sortie : 17 décembre 1997 (France). Action, Aventure, Policier

Film de Roger Spottiswoode

Corentin Galinier a mis 7/10.

Le monde ne suffit pas
5.5
19.

Le monde ne suffit pas (1999)

The World Is Not Enough

2 h 08 min. Sortie : 1 décembre 1999 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Michael Apted

Corentin Galinier a mis 6/10.

Meurs un autre jour
5.3
20.

Meurs un autre jour (2002)

Die Another Day

2 h 13 min. Sortie : 20 novembre 2002. Action, Aventure, Policier

Film de Lee Tamahori

Corentin Galinier a mis 4/10.

Annotation :

À côté, les Mission Impossible passent pour des films d'auteurs.

Casino Royale
7
21.

Casino Royale (2006)

2 h 24 min. Sortie : 22 novembre 2006 (France). Action, Thriller, Aventure

Film de Martin Campbell

Corentin Galinier a mis 9/10.

Quantum of Solace
5.4
22.

Quantum of Solace (2008)

1 h 46 min. Sortie : 31 octobre 2008. Action, Aventure, Policier

Film de Marc Forster

Corentin Galinier a mis 7/10.

Skyfall
7.1
23.

Skyfall (2012)

2 h 23 min. Sortie : 26 octobre 2012. Action, Aventure, Thriller

Film de Sam Mendes

Corentin Galinier a mis 9/10.

007 Spectre
5.9
24.

007 Spectre (2015)

Spectre

2 h 28 min. Sortie : 11 novembre 2015 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Sam Mendes

Corentin Galinier a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Mourir peut attendre
6.2
25.

Mourir peut attendre (2021)

No Time to Die

2 h 43 min. Sortie : 6 octobre 2021 (France). Action, Aventure, Thriller

Film de Cary Joji Fukunaga

Corentin Galinier a mis 7/10.

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