Je ne suis pas un grand lecteur, mais j'aime les grands bouquins.

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Mon introduction à Bukowski...
J'ai de suite adhéré à son style.

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Je suis tombé un jour dessus en vide grenier, je connaissais de nom, je l'ai ouvert et j'ai pas réussi à m'arrêter... C'est avec ça, qu'on aurait du nous éduquer dès notre plus jeune âge.

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Quelle expérience !
Lu et relu, admiratif de la réflexion de ce bouquin, dans la lignée de l'art de la Guerre de Sun Tzu, l'art de la guerre verbale, du débat.

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j'aime beaucoup la poésie, on m'a forcement orienté vers celui ci...
Mention pour "le mort Joyeux" de loin mon poème préféré.

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Introduction à Buzzati, que j'ai découvert en sachant que c'était de ce nom que s'était inspiré Fuzati (klub des loosers) dans le choix de son Blaze (pseudonyme).

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Le roman que j'ai le plus lu et relu... il me touche terriblement, me fait rire beaucoup rire aussi.

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J'aime avoir ce livre sur moi et l'ouvrir aléatoirement, puis me marrer 5 minutes.

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Exceptionnel recueil de nouvelles, un format qui est très adapté à mon niveau de lecture.

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Parce qu'il est d'utilité publique d'enseigner les vertus de ce livre à chaque futur adulte de ce monde...

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Véritable Ovni, je connaissais l'auteur de BD, mais pas le romancier... Fab Caro m'a impressionné avec ce bouquin. L'absurde qui fait rire et rire jaune, qui touche souvent...

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j'étais tombé sur cet extrait dans un article en ligne...

"J’aime les grands contempteurs, puisqu’ils sont les grands adorateurs, les flèches du désir vers l’autre rive.

J’aime ceux qui ne cherchent pas derrière les étoiles une raison pour périr et pour s’offrir en sacrifice ; mais ceux qui se sacrifient à la terre, pour qu’un jour la terre appartienne au Surhumain.

J’aime celui qui vit pour connaître, et qui veut connaître afin qu’un jour vive le Surhumain. Car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.

J’aime celui qui travaille et invente, pour bâtir une demeure au Surhumain, pour préparer à sa venue la terre, les bêtes et les plantes : car c’est ainsi qu’il veut son propre déclin.

J’aime celui qui aime sa vertu : car la vertu est une volonté de déclin, et une flèche de désir.

J’aime celui qui ne réserve pour lui-même aucune goutte de son esprit, mais qui veut être tout entier l’esprit de sa vertu : car c’est ainsi qu’en esprit il traverse le pont.

J’aime celui qui fait de sa vertu son penchant et sa destinée : car c’est ainsi qu’à cause de sa vertu il voudra vivre encore et ne plus vivre.

J’aime celui qui ne veut pas avoir trop de vertus. Il y a plus de vertus en une vertu qu’en deux vertus, c’est un nœud où s’accroche la destinée.

J’aime celui dont l’âme se dépense, celui qui ne veut pas qu’on lui dise merci et qui ne restitue point : car il donne toujours et ne veut point se conserver.

J’aime celui qui a honte de voir le dé tomber en sa faveur et qui demande alors : suis-je donc un faux joueur ? — car il veut périr. "

J'ai de suite voulu lire ce livre ensuite, que j'ai du relire une fois pour bien l'assimiler, et que je lirais surement une fois de plus, pour l'assimiler encore un peu mieux.

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Un classique, certes, mais terriblement efficace...

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Un véritable hommage à "l'entraide", une étude complète et ultra approfondie de son utilité dans la société d'hier et d'aujourd'hui par l'un des fondateurs de l'anarchie.

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Obligé de lire ce livre, je connaissais le mythe et j'étais fasciné par celui ci, puis j'ai vu la géniale série Anglaise "Jekyll", il fallait donc absolument que je lise le bouquin.

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format facile à lire, de courts chapitres, et des zombies... (il y avait tellement de quoi faire un bon film..)

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quelle merveille, je suis dingue de cette histoire.

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Delerm c'est mon petit auteur fétiche... on devrait toujours avoir un petit bouquin de Delerm avec nous...

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Une connaissance m'a recommandé cet auteur à la suite d'une discussion ou je lui faisais part de mon "ras le cul" de cette dictature du bonheur, du sourire, de l'air heureux, joyeux tout le temps.
Je me suis vraiment pris d'affection pour cet auteur et ce livre en particulier, me reconnaissant peut être souvent dans ce qu'il écrit.

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Difficile à aborder... J'ai accroché immédiatement, puis j'ai connu un gros moment de lutte pour continuer à le lire pour au final rester bouche bée devant le monstre que je venais de lire... je n'ai rien lu d'autre de Céline, mais celui ci, je le lirais à nouveau, c'est certain.

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bah pareil, là encore, c'est un grand classique qu'on a abordé au collège et que j'ai aimé relire des années plus tard.

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il faisait partie de ces livres dont javais entendu parlé et qu'il fallait que je lise, et ça se lis tout seul, puis l’œuvre est ce qu'elle est, terrible par le propos qu'elle rapporte.

Annotation :

j'aime le post apo, et ma femme m'a recommandé celui ci... je l'ai dévoré.

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un des livres faisant partie de la catégorie "d'utilité publique".

Annotation :

Plusieurs histoire très drôles et touchantes à la fois, j'ai eu un véritable coup de foudre pour l'univers de l'auteur.

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je l'avais dans mon sac à dos qui trainait depuis quelques mois, je l'avais presque oublié, puis au détour d'un long trajet en train, je le trouve dans mon sac et me souvient qu'il était là... J'ai pas décroché une minute du livre, j'ai été impressionné par son style qui m'a fait oublier le côté banale du récit.

Annotation :

Une merveille terminée aujourd'hui (le 23/10/2021).
Je n'ai jamais lu une telle œuvre, tout style confondu, je ne pensais pas un jour prendre autant de plaisir et ressentir autant de choses à travers un bouquin...
Un récit unique, qui devrait être lu partout et par tous...

Annotation :

A mourir de rire.

Annotation :

Une lecture surprenante, je ne m'attendais pas à ça, je ne suis pas familier à ce genre de roman habituellement... Mais là, j'aurais sans doute prolonger ma lecture sans problème une bonne centaine de page supplémentaire.
Et pourtant le propos est dur, certains passages font froids dans le dos et peuvent même avoir un effet assez piquant selon notre vécu.
Une plume terriblement efficace, j'étais prisonnier de ce récit, mais un prisonnier heureux d'être là, comme souffrant d'un étrange Syndrome de Stockholm ...