Kevin Costner : Ex Gendre Idéal

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Caméo en jeune universitaire.

C'est dans une folle aventure que Ron Howard nous embarque, au côté d'un Henry Winkler et un déchaîné Michael Keaton, pour une oeuvre drôle, efficace et captivante, où l'on suit avec grand plaisir les mésaventures de deux croques-morts se rapprochant de prostitués.

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Kevin Reynolds bénéficie de l'appui de Steven Spielberg pour mettre en scène une version améliorée de son film d'étude, proposant ainsi un road movie d'étudiant à travers le fin fond des Etats-Unis où ils vont tout simplement vivre, avec les désenchantements qui vont avec. L'oeuvre est authentique, tout sonne vrai et on s'attache à eux, alors que les touches mélancoliques voire dramatiques marchent aussi très bien.

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John Badham propose avec Le Prix de L'Exploit une oeuvre plutôt intéressante sur, à la fois, le cyclisme et la fraternité, mêlant assez bien les deux, et ce grâce à des personnages forts voire passionnants, de quoi faire oublier un ton un peu académique et un ensemble jamais vraiment transcendant ,et ce malgré de bons acteurs dont un Costner arrivant à être crédible malgré une improbable moustache (ainsi qu'une apparition d'Eddy Merckx).

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Du grand et beau spectacle où Kasdan minimise ses quelques failles pour livrer un western plutôt léger et vraiment sympa, où l'on suit des personnages attachants à travers une aventure qui propose action, humour et morceaux de bravoure.

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Brian De Palma adapte merveilleusement bien la série Les Incorruptibles où, dans le Chicago de la prohibition, quelqu'un doit nettoyer la ville de tous ses gangsters, et cet homme est Eliot Ness, envoyé par le ministère et qui formera une unité spéciale pour s'en occuper et plus particulièrement Al Capone.

Le scénario est vraiment bien écrit, nous offrant des rebondissements bien pensés, des personnages réussis et attachants et de très bon dialogues. Le Chicago rongé par le crime de De Palma est sanglant et fascinant. Sa mise en scène est efficace et nous offre quelques séquences d'anthologie, à l'image de la scène de la gare ou la réunion s'achevant à coup de batte de base-ball.

Tension et suspense sont à leurs combles ! Les interprétations sont géniales, De Niro qui a grossi est impeccable et jouissif en Al Capone, le jeune Kevin Costner et le vieillard Sean Connery sont parfaits en incorruptibles, il est aussi impossible d'oublier la superbe bande-originale composée par Ennio Morricone.

Un très bon film de gangster qui nous offre une version sanglante d'une période fascinante de l'histoire Américaine.

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Emmené par une excellente galerie d’acteur, à commencer par Kevin Costner et Gene Hackman, Roger Donaldson propose avec No Way Out un thriller captivant, efficace et avec un suspense tenant de bout en bout.

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Kevin Costner donne la réplique à Susan Sarandon ainsi que le jeune Tim Robbins pour Duo à Trois, sympathique comédie tournant autour du baseball. Quelques moments drôles et tendres permettent à l'oeuvre d'être vraiment sympathique et d'oublier ses quelques errements, à commencer par certains passages un peu plats, ainsi qu'un ensemble finalement guère transcendant. Si le baseball est au cœur du film, Ron Shelton préfère tout de même se concentrer sur les dialogues et les personnages, qui sont bien interprétés par des acteurs qui portent Duo à Trois sur leurs épaules.

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Dans la lignée des fables de Capra mais évidemment en moins maîtrisée, moins talentueuse ou encore moins touchante, Jusqu'au bout du rêve arrive tout de même à en devenir parfois charmant et attachant, grâce à son personnage principal et son acharnement pour atteindre ses rêves et combattre ses démons passés.

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Enfin, Revenge nous permet de visionner une époque révolue, Tony s'éclate et finalement nous aussi, on passera sur quelques coups de mou en milieu de parcours et on appréciera cette vendetta sanglante articulé autour d'un trio où chacun parvient à tirer son épingle du jeu, le beau Kevin, le mafioso Anthony et ses méthodes peu farouches et la belle Madeleine.

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En signant Danse avec les Loups, Kevin Costner propose un grand western, à la fois magnifique, humaniste, intense ou poétique, avec une jolie histoire, de superbes interprétations ainsi qu'une mise en scène riche et émouvante, sublimant des paysages à couper le souffle ainsi que des relations humaines passionnantes.

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Alors qu'il a connu un sacré succès en son temps, Robin Hood : Prince of Thieves a bien traversé les années et Kevin Reynolds propose du grand spectacle et une belle aventure captivante qui ne manque pas de morceaux de bravoure, d'humour, d'émotion et de charme.

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En plus d'être un film important, JFK est une œuvre brillante, passionnante, intense et effrayante où, à travers l'assassinat du président américain, Oliver Stone met en scène toutes les défaillance du système, de son pays ainsi que ses mensonges et horreurs, le tout étant porté par de formidables comédiens.

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Kevin Costner donne la réplique à Whitney Houston pour une oeuvre guère mémorable mais tout de même remarquable, où l'on peut oublier les moments un peu trop mièvre pour apprécier un certain savoir-faire derrière la caméra, avec en plus de bons comédiens.

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Un joyau dans l'immense filmographie de Clint, surement l'un de mes préférés avec le brillant "Sur la route de Madison" et le sombre "Mystic River". Il dresse un portrait aussi ambigu qu'attachant d'un couple de fugitifs et surtout il nous prend aux tripes comme peu savent le faire.

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Sans pour autant être réellement transcendante, cette version de la vie de Wyatt Earp reste vraiment plaisante à suivre, nous plongeant dans l'ouest américain suivre un homme dépassé par sa légende et bénéficiant de solides interprétations et d'une belle reconstitution.

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Connaissant la réputation de l'oeuvre, je ne savais guère à quoi m'attendre si ce n'était un naufrage mais finalement les vagues m'ont emporté et c'est un bon récit d'aventure post-apocalyptique avec un univers aussi beau que fascinant et des protagonistes que l'on prend plaisir à suivre, malgré quelques petits défauts par-ci par-là.

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En signant Tin Cup, Ron Shelton mêle golf et amour pour une histoire plutôt sympathique, à défaut d'être transcendante. La dernière partie remonte un peu le niveau, tant l'oeuvre se montre parfois maladroite avant (quelques moments ridicules, des personnages pas toujours bien écrits ... ). Hormis ça, le couple principale est clairement la réussite du film et ce pourquoi ce dernier reste un minimum potable, tandis que le côté golf apporte aussi un peu côté sympathique, Ron Shelton arrivant, au moins, à ne jamais trop insister sur un ton et bien tous les alterner.

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Malheureusement, ce film porta un coup fatal à la carrière du talentueux Kevin Costner (que ce soit comme metteur en scène ou acteur), ce qui est, en plus d'être vraiment dommage, assez injuste tant à mes yeux, ce film ne mérite pas les critiques assassines qu'il s'est pris et se prend encore. Parfois assez maladroit et loin d'être au niveau des deux autres films de Costner comme réalisateur, ça n'en est pas moins un beau western humaniste où tout l'ouest américain est à reconstruire.

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Un mélo trop excessif et la bouteille est trop vite noyée par des vagues de violons, de dialogues conventionnels et niais et de divers effets larmoyants mais sans non plus tomber dans le film désagréable et lourdingue et qui se laisse gentiment (mais longuement, trop...) regarder.

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Malgré quelques maladresses, Roger Donaldson livre une oeuvre passionnante sur treize jours qui ont marqué le monde, bénéficiant d'une justesse d'écriture, d'excellentes interprétations et d'une réalisation efficace.

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Un film qui, sur le papier, contient pas mal d'idées mais dont le rendu à l'écran est catastrophique, aucune émotion, aucune angoisse, écriture et mise en scène bâclée et divers effets risibles et mal utilisés.

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Un western qui prend son temps pour mettre en valeur l'ouest américain et ses personnages, un film riche, mélancolique et crépusculaire. Toujours dans un ton réaliste, Costner fait preuve de justesse et de sobriété pour dégager l'émotion des personnages et enjeux, le tout pour un western magnifique et inoubliable. Dernière réalisation de Costner à ce jour et il démontre à nouveau toute sa maestria derrière (et devant) la caméra, en espérant qu'ils nous reviennent vite

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Rob Reiner réunit un jolie casting pour une oeuvre très décevante, calibrée et jamais drôle ou émouvante, avec juste quelques moments sympathiques venant sortir le spectateur de l'ennui. Du coup, on se demande quand même que sont venu foutre-là Kevin Costner et Shirley MacLaine, qui méritent bien mieux que ça.

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En jouant dans Instinct de Survie, Kevin Costner se retrouve dans une production un peu low-cost d'angoisse et d'horreur, où les stéréotypes ne manquent pas, et on peut clairement regretter que ça ne soit jamais transcendant dans les sensations véhiculées, même si l'ensemble demeure plutôt efficace et pas désagréable à suivre, en partie grâce à Costner qui ne montre aucune faille dans ce rôle de père de famille subissant les événements.

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John Wells propose avec The Company Men une oeuvre sociale plutôt bien foutue et efficace, s'appuyant avant tout sur de bons comédiens et sachant faire oublier l'excès de bons sentiments planant sur l'oeuvre.

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(caméo)

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Je n'avais plus vu Man Of Steel depuis une amère vision au cinéma, et il a fallu un nouveau jugement de son combat face à un Batman pour me donner envie de lui redonner une chance, et je dois d'abord constater que je ne suis pas déçu.

La liste des potentiels reproches que l'on peut faire au film de Snyder est assez grande, que ce soit ses maladresses scénaristiques ou même certains personnages assez mal étudiés, mais il y a une force dans Man of Steel, un souffle et un aspect fascinant autour de ce Superman christique assez captivant. Il parvient à capter l'essence de ce personnage, à mon sens le plus passionnant des super-héros, et d'en tirer une certaine atmosphère, limite iconique, plutôt prenante.

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Kenneth Branagh se perd dans un film d'espionnage lourd, ennuyant et raté sur toute la ligne, où chaque dialogue en devient énervant et il en est de même pour les comédiens qui sont incapables de sortir une prestation convenable, notamment Branagh en personne.

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En étant tête d'affiche de 3 Days to Kill, Kevin Costner s'offre un rôle de tueur devant gérer des dilemmes professionnels, familiaux et liés à sa santé. A défaut d'être brillante, l'oeuvre est efficace, avec une mise en scène adéquate bien qu'un peu trop dans l'excès, et un scénario offrant des aller-retour parfois inutiles entre vies de familles et missions sanglantes. Heureusement que les comédiens (Costner dans un rôle qu'il recycle, celui du vieux loup fatigué, mais aussi Amber Heard, Richard Sammel ou Connie Nielsen sont là, sauvant une écriture un peu lourde et caricaturale, mais il n'est pas non plus difficile d'apprécier le film de McG à sa juste valeur, un polar efficace sans être brillant et dans l'ère du temps.

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Bien qu'imparfait, Ivan Reitman réussit tout de même à nous faire entrer dans le monde NFL, tout en remettant quelques anciens grands noms déclinants sur le devant de la scène, pour un film sympathique mais qui ne prétend pas vraiment à plus.