L'Horreur à l'écran

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Je persiste à dire que le premier est encore agréable et pertinent aujourd'hui. Une montée en tension progressive, quelques scènes efficaces et (toutes) les fins me régalent. C'est pas Blair Witch 1 non plus mais ça passe carrément !

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Bien en deça du premier pour ma part. Contrairement à la politique de suites dans le ciné, PA2 c'est 2 fois moins de scènes choc, 2 fois moins de terreur, 2 fois moins de surprise... On garde quand même en tête un final bien sympa (mais qui éclate bien trop tard!) et un twist intéressant.

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On relève un peu le niveau et ce que je retiens avant tout, c'est cette volonté d'enrichir le lore. Les ramifications commencent à se développer et j'ai envie de connaître la suite.

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J'ai l'impression de regarder un [REC] avec ce côté "investigation" au coeur de l'action, mixée aux super pouvoirs du film Chronicle. Plus de caméra fixes pendant les nuits, on est sur un vrai found footage cette fois. Toujours plus de lien avec les autres épisodes de la saga, ce qui nourrit le lore puissance mille. Un final Chicano bien jouissif. Quelques séquences de frousse bien amenées. Pas dégeu !

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On prend grosso modo le même principe et on le transpose au Japon. Bouaif. Rien d'exceptionnel. Peut être le pire segment de la série avec le 2.

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Excellente surprise !
Un bel effort de réalisation où les sensations, les points de vue et les temporalités s'entremêlent. Typiquement le genre de film qui nécessite un second visionnage pour en capter toutes les séquences. Une histoire simple, peu de décors, mais typiquement le film d'horreur moderne 2.0 qui apporte un petit quelque chose au genre. J'étais déjà assez fan de Mike Flanagan pour ses séries (The Haunting Of Hill House, Sermons De Minuits), la je deviens fan.
Une excellente façon de fêter Halloween !!!

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Mais bordel, tout est bleu dans ce putain de film ou quoi ? Les néons, les peignoirs, la peinture des couloirs, le mobilier, les matelas, les murs de la cour.... A part ça, c'est un peu le film scolaire vite vu et vite oublié : belle musique, belles images (combien de fois je me suis cru dans un Batman live), des stars, un twist à la fin et hop ! Empaqueté, c'est pesé. Ni trop violent ni trop psychologique. Ni trop sombre ni trop terrifiant. Pose ton cerveau et hop, on passe au film d'après...

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Ca fait bizarre de revoir ce film, quelques 20 ans après.
Pour la petite histoire, MOSQUITO est le tout premier DVD que j'ai acheté de ma vie, en 2001 si je dis pas de conneries, sur ma rutilante ps2 d'époque. J'y connaissais rien en horreur (et je suis encore loin d'être un caïd maintenant) mais j'avais été choqué par quelques mises à morts violentes et surréalistes, presque "cartoonesques".
Avec toute la bonne volonté du monde, revoir ce truc m'a gentiment fait chier. Qu'il y ait un ancien guitariste des Stooges (wtf!?) ou même carrément le tout premier Leatherface dans le casting n'y change rien. 1h30 en mode "ZZZzzzzzz". Bon elle était facile.

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Même si j'adore l'idée, je reproche souvent aux films à "sketches" leur manque de cohérence. C'est pas avec 666 Road que je vais revoir mon jugement. Pourtant il y a de l'idée, avec cette route dans le désert qui pourrait presque être le méchant principal de cette histoire, quelque part. S'ensuit un méli mélo de fragments où les personnages n'auraient pas dépareillé dans les romans du King.
Big up pour certaines mises à mort, pour les spectres dont j'aime beaucoup le design, certaines pistes électro qui tirent vers la synthwave etc.
Beaucoup de questions en suspens quand arrive le générique de fin. On a l'impression d'avoir été balloté à droite à gauche, d'avoir voyagé avec eux et d'avoir regardé au carreau sans avoir le temps de tout comprendre au décor.

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J'avais déjà maté ce film à l'époque et j'avais pas trouvé ça ouf. C'est rebelote en 2023...
Souvent muet, toujours voyeur.
Un hacking de l'enfer qui vient remuer le passé trouble de chacun et va progressivement faire éclater le groupe.
Des petites idées marrantes surement piquées à Paranormal Activity (le bruissement assourdissant lors le mal avec un grand M arrive!)
J'apprécie aussi la réflexion de fond sur la nocivité des réseaux, le cyberharcèlement et le conformisme abrutissant du monde virtuel, mais ça sauve pas le film, loin de là... Je me suis fait chier comme un rat mort.

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Bah merde alors. J'ai bien mis une vingtaine d'années à me lancer dans cette saga pour au final... être gentiment et poliment déçu. Une histoire ultra classique de maison hantée qui sent bon les divines 80's mais merde, c'est non pour moi. Ca fait pas "peur", c'est pas drôle (on parle de "comédie horrifique"). Sans renier l'impact qu'a pu avoir le taff de Steve Miner (qui réalisera 10 ans plus tard une comédie avec...Gérard Depardieu!), je passe mon tour. Vivement la suite ! Ou pas...

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Nul à chier de bout en bout. N'attendez rien de Bruce Campbell ici : dans cette comédie horrifique, rien n'est drôle et rien n'arrive ! Rajoutez à cela des vannes post-covid -et surtout ultra wokes- qui ne peuvent que laisser l'être humain standard (homme de 34 ans par exemple) complètement sur le carreau. Poussif, lourd, naze, salut !

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C'est parti pour 1h30 de fond bleu dégueulasse pour ce teen movie horrifique US qui reprend, comme c'était un peu la mode à l'époque, un classique horrifique JAP, Kairo en l'occurence. Celui la, je me le garde pour la fin.
Malheureusement, personne ni rien ne convainc, et on se désolidarise rapidement de cette intrigue à laquelle on ne comprend pas tout. Après comme dirait l'Embrouille dans un de ses sketches, je suis "peut être con".
Je m'emballe peut être, mais je me dis que le film à au moins le mérite de cristalliser les peurs de son époque, avec ces mid-2000 qui correspondent aux années où cet Internet un peu flou à commencé à se populariser et se répandre un peu partout, à grands coups de LAN, de forfaits WAP. Souvenez vous, les cd AOL dans les magazines de GEN4 ....
A noter un fin aux frontières du post-apo qui peut surprendre. Pas vraiment envie de voir la suite mais c'est pourtant ce que je vais faire.