La nuit porte conseil (ou pas)

Annotation :

3h du mat. Je savais pas quoi mater avant de dormir. J'aurais du aller me coucher direct.

Annotation :

2h du mat. Poussé par une soudaine envie de savoir si ce film est aussi mauvais qu'on le dit. Spoiler alert : il l'est.

Annotation :

2h du mat. Ahahahahahahah tuez-moi.

Annotation :

1h du mat. Je m'attendais à pire.

Annotation :

1h30/2h du mat. Quoi de mieux qu'un film lourdement basé sur l'interprétation des rêves avant d'aller se pieuter. Et ça change de la merde que je m'envoie d'habitude.

Annotation :

1h et quelques. Parfois, t'as juste envie de voir une muette casser des gueules à coups de marteaux.

Annotation :

2h30 du mat. Je cherchais quelque chose sans prise de tête. Je suis bien tombé, mon encéphalogramme est resté en ligne droite.

Annotation :

J'ai du le voir trois ou quatre fois avec différentes personnes, et à chaque fois c'était en pleine nuit. Histoire de coller au thème sûrement.

Annotation :

2h du mat. Direct après le dernier épisode de Firefly, pour prolonger un peu l'expérience.

Annotation :

3h du mat. Fatigué mais impossible de dormir, autant mater un Dupieux.

Annotation :

1h du mat, d'humeur à voir quelque chose de gentillet.

Annotation :

2h40/3h du mat, à la suite du précédent parce qu'il était sympa.

Annotation :

Un exemple parfait du film à voir en pleine nuit. Je ne l'ai jamais lancé en journée.

Annotation :

2h du mat. Je m’attendais à mieux.

Annotation :

4h du mat, avec des bières et des potes. C'était franchement poilant.

Annotation :

Quelque part au milieu de la nuit. J'avais l'esprit un peu embrumé, et le besoin de voir des choses bouger à l'écran. Et même dans cet état où je suis d'habitude excellent public, j'ai trouvé ce film à chier.

Annotation :

2h du mat. Une petite envie de folk et de mélancolie.

Annotation :

2h du mat, avec des potes et malheureusement beaucoup moins de bière que la coutume n'en veut.

Annotation :

4h du mat, rentrée de soirée, un peu bourré et sous anti-douleurs. J'ai rarement autant ri devant un film, et rarement autant remué ce que je pouvais remuer devant une comédie musicale.

Annotation :

4h du mat. Chips, bière et potos, nuit navets.

Annotation :

00h30. Je me sentais d'humeur à voir un truc sans couleurs.

Annotation :

1h du mat. Chips, bières, potos, nuit navets.

Annotation :

2h du mat. C'était déplaisant.

Annotation :

Pause entre deux films à chier pendant une nuit navets.

Annotation :

2h du mat. On était pas assez torchés pour apprécier ça.

Annotation :

5h du mat. Fin d'une nuit navets, ou comment finir en beauté.

Annotation :

22h - Je l'ai commencé tôt celui-là, mais j'ai eu l'impression de passer la nuit entière à mater cette merde, du coup ça compte.

Annotation :

00h10 - 1h40. Je m'attendais à mieux sérieux, en l'état je me suis pas trop fait chier, mais je me suis pas fendu la poire non plus, du coup mitigé le bordel. Y a juste le final qui est vraiment cool en fait.

Annotation :

1h40-3h40 : J'ai cru que ça n'en finirait jamais.

Le scénario est prévisible et incohérent, les rares scènes d'actions sont filmées avec les pieds du stagiaire caméra (et sans dec c'est quoi cette musique de merde pendant l'affrontement à la fête foraine, qui a cru que c'était une bonne idée sérieux vous m'avez fait vomir des oreilles en plus des yeux), l'exposition est ultra poussive en plus d'être totalement inutile et, cerise sur le gâteau à la merde, TOUS LES PUTAINS D'ENJEUX SONT ANNULES PAR CET HAPPY ENDING DE MERDE.
J'ai l'impression de m'être fait enculer deux heures, ce film c'est la time loop du désespoir.

J'aurai mieux fait de me refaire la saison 1 de The Magicians.
C'est assez similaire, mais en beaucoup mieux. Avec des acteurs dans la vingtaine. Un scénario qui se tient. Une écriture de personnages moins chiante.
Et surtout, SURTOUT, un traitement adéquat et très fin des thèmes que Peregrine ne fait que balancer de manière random, et notamment celui du deuil (des proches ou de l'enfance), qui est, dans The Magicians, un véritable moteur du récit.
Ah, et y a aussi une time loop, beaucoup plus cohérente. Et un méchant qui arrache également les yeux. Sauf que c'est pas un méchant Lidl celui-là, et que le réalisme cru et sec de la série en fait un réel antagoniste, bien plus menaçant que Morgan Freeman qui fait le clown.

Parce que dans la série, ceux qui meurent restent morts.

Nique toi, film de merde.

Annotation :

22h30/00h30 - C'est kitsch, y a tellement de faux sang qu'on pourrait changer la couleur de l'océan Pacifique, et quand tu bois un shot à chaque membre tranché tu finis bourré (Merci la scène des Crazy 88).
En résumé, c'est bonheur.