La salle de cinéma, c'est magique.

Annotation :

Parce que j'étais amoureuse de Taram et c'était le temps de l'innocence et de l'émerveillement.

Annotation :

Je voulais un Gizmo (j'en veux toujours un.) Un Gizmo qui danse et se prend pour Rambo. Madame Gremlins est une créature merveilleuse. Et Christopher Lee forever.

Annotation :

Le T. Rex. Mon premier blockbuster vu au ciné et je suis tombée amoureuse des films de monstres. La scène dans la cuisine. Le verre d'eau. Le T. Rex. Mourir sur le trône. Jeff Goldblum. La pauvre chèvre. Les gros cacas du tricératops. Le T. Rex !

Annotation :

Une fête du cinéma : une journée au cinéma non-stop. Mes copines veulent aller voir un navet avec Wesley Snipes. Je vais voir Le Tombeau des Lucioles, seule. J'en ressors, bouleversée, avec un amour désormais immortel pour le monde de Ghibli.
Et les yeux de Guy Bedos (#larmespower)

Annotation :

La claque esthétique, les combats au ralenti, Néo, Trinity, Morpheus, l'agent Smith (mais c'est un des drag queens de Priscilla folle du désert ou rêvé-je ?). Ce dernier plan.

Annotation :

Pas pour le film, chiant au possible.
Non, pour toi, petite fille du rang derrière moi qui demande à maman au milieu du film : "Elle arrive quand Céline Dion ?"
Merci.

Annotation :

La violence. Le récit éclaté. Le "gimp". La scène de danse. John Travolta meurt. L'histoire de la montre dans le cul de Christopher Walken. La mini-crise cardiaque lors du coup de feu surprise dans la voiture et les bouts de cervelle dans la coiffure afro de Samuel L. Jackson.

Annotation :

Ces p*tains de 20 dernières minutes !
Ma sœur qui me demande si je veux sortir alors que je suis terrorisée et recroquevillée dans le siège. (Non, je suis restée jusqu'à la toute fin.)
L'un des rares films que je serais bien incapable de revoir.

Annotation :

Parce que c'est la première fois que je sors de la salle avant la fin du film. Ça m'apprendra à aller voir une comédie française.

Annotation :

Russell Crowe.
J'aime les films de gladiateurs.
Parce que les gentils meurent aussi à la fin (cœur brisé et larmes par milliers. Donc le retour du regard à la Guy Bedos, oui.)
Cette musique.
"At my signal, unleash hell."

Annotation :

Mon film.
Je détestais Brad Pitt à l'époque. Plus après (je voulais le prendre dans mes bras à la fin).
David Fincher et Kevin Spacey, je vous surkiffe d'amour et je veux porter vos enfants.
Le générique de folie. Ces morts (ou agonisants), avec une préférence pour la luxure. La poursuite Brad Pitt-John Doe. Le méchant qui vient se dénoncer, la boîte. Les gentils qui ne gagnent pas toujours à la fin.
Et une citation d'Hemingway pour conclure, par-fait.

Annotation :

Vu dans une petite salle parisienne, en VOST.
Pour la beauté formelle du film.
Parce que Ethan Hawke, ancien poète disparu et la découverte de Jude Law (coup de foudre direct.)
Pour la fin, sublime et bouleversante.

Annotation :

Boo.
La poursuite à travers les portes.
"Minou !"

Annotation :

David.
Brad.
Edward.
Le générique, le twist final, la musique.

Annotation :

Sous mes lunettes de vue et les lunettes 3D, tornade de larmes. Guy is back, more than ever.

Annotation :

Parce que voir un de ses films chéris pour la première fois sur grand écran :
- c'est l'aimer encore plus après coup ;
- ça protège de la canicule ;
- ça permet de trouver la vie moins pénible (ou plus jolie, selon l'état d'esprit) ;
- c'est se prendre la traduction de la chanson finale en pleine tronche, et la comprendre, enfin.