Les 10 moments les plus forts de ma vie de Gamer !

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La Mort d’Aerith (Final Fantasy VII)

C’est pas original pour un centime de placer la scène la plus plébiscitée de la mirifique série Final Fantasy, encore moins quand on sait que tout a déjà été dit. Mais même en sachant cela et en rattrapant ce volet en 2019, ça a été un coup de poignard au cœur de le vivre : alors qu’Aerith s’était rendu dans la capitale du peuple Cetra afin d’adresser ses prières à la planète, et qu’on a évité le plus désastreux avec un Cloud manipulé dans le but d’abattre la dernière survivante des Cetras, Sephiroth tel l’ange exterminateur surgit du ciel et transperce Aerith en plein ventre, mettant fin à ses jours et nous privant à la fois de l’un des personnages les plus chaleureux du jeu vidéo et d’une amie de premier plan auquel on s’était tant attaché. Tout est là pour faire pleurer à chaudes larmes : le halo de lumière céleste qui semble répondre à Aerith de la manière la plus cruelle possible, le montage sonore (ces coups de cœurs battant représentant le dernier souffle de vie de la fleuriste), le thème d’Aerith par le maestria Nobuo Uematsu qui se lance lorsque la sphère attachant ses cheveux touche le sol, le fait qu’on perd à jamais à la fois une amie et un atout essentiel dans notre équipe de héros, le dernier hommage rendu par Cloud qui renvoi la jeune femme à la Terre et l’énergie Mako qui la traverse, on pourra impossiblement faire aussi bouleversant et déchirant que cette perte qui retentit encore dans la mémoire des joueurs presque 25 ans plus tard.

https://www.youtube.com/watch?v=Wx3duFYCcho&t=4s

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Le requiem de 2B (NieR: Automata)

Les bouleversements tragiques, absurdes et les remises en question ne manquent pas dans la pépite de 2017 née des mains de Yoko Taro et de PlatinumGames. Mais si il fallait citer un point d’orgue parmi tous, ça serait une autre mort retentissante au sein de son univers : celle de 2B lors de la troisième route empruntée. Alors qu’avec la mort d’Adam et Eve tout semblent indiquer un revirement définitif dans la guerre entre androïde et machine, un virus rendant tout les unités Yorha fous et sujet à des pulsions de meurtres les ravage en cours d’une opération guerrière intense. Au fil de ce coup de théâtre, 2B et 9S sont les seuls à s’en sortir indemne et la base Yorha disparait elle aussi à jamais. Alors qu’elle parvient à atteindre la terre ferme après avoir échappé à une autre unité contaminée, 2B est à son tour touchée par le virus et on erre avec elle jusqu’au centre commercial pour une mort inévitable mais seule afin de ne pas faire plus de dégâts dans les rangs. En chemin, on voit ses capacités et ses fonctions vitales s’éteindre de plus en plus, l’écran se brouille, les mots sont de moins en moins audible, les commandes se désactivent entre nos mains, et elle croise A2 qui la sauve d’une troupe Yorha également affectée par le virus logique. Dans son ultime requiem, 2B fait promettre à A2 de prendre la relève et de veiller sur 9S, et A2 libère l’androïde de ses souffrances sous le regard choqué et impuissant de son partenaire traduisant différemment la situation. Là ou la mort d’Aerith était montré de manière frontale et impactant, celle de 2B ne se fait pas forcément ressentir totalement sur l’instant mais elle prend un poids immense avec du recul et ce manque affectif intervient au fil du jeu (que ça soit les quêtes secondaires ou la conscience de 2B survivant à travers A2). Non seulement en donnant un sens total aux deux premières voies traversées, mais aussi en entamant un revirement crucial et inéluctable pour 9S et A2 et les personnages respirant encore à ce moment du jeu. Et Dieu sait qu’il y a bien des moments qui auraient mérité une place ici, mais celle-ci me paraît être la plus importante de tous à mettre en valeur tant sa signification et ses répercussions sont immenses.

https://www.youtube.com/watch?v=mWoBwzbyxc0

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La bataille de Kaer Morhen (The Witcher III)

Les moments qui laissent sans voix ou m’emportent intégralement sont plus rares dans les jeux en open-world tant la formule a été exploité en tirant sur la corde. Cela n’a heureusement pas empêché certains jeux de se distinguer de la grande masse et The Witcher III en fait partie. Après avoir retrouvé sa fille adoptive Ciri et être retourné à sa demeure, le sorceleur Géralt de Riv réunit autant d’alliés que possible afin de contrer l’attaque éminente de la Chasse Sauvage qui en a après sa fille et ses immenses pouvoirs. Comme prévu, l’attaque a lieu et c’est une série d’étape intense et exaltante qui constitue à la fois le climax du jeu mais aussi son plus grand tournant comme peu d’open-world peuvent se targuer. Non content de réunir des personnages à la prestance indéniable faisant tout pour vivre dans un univers en proie à la folie et l’intolérance (Triss, Vesemir, Yennefer, Lambert, Zoltan, Vernon Roche, Sac à souris, Eskel et j’en passe selon la progression du joueur), la bataille auquel nous sommes conviés gagne en intensité à chaque phase selon le scénario qui nous attend selon nos choix (choix qui ont une énorme influence sur le cours du jeu dans The Witcher III) et pouvoir manier les armes avec nos amis en alternant entre Géralt et Ciri, avec la musique explosive de Marcin Przybyłowicz (notamment le nerveux Hund or be Hunted) et une conclusion émotionnel aussi dure qu’amère voyant une autre perte inévitable (même si prévisible) conclure l’une des batailles les plus jubilatoire qui m’ait été donné de vivre dans un jeu.

https://www.youtube.com/watch?v=UUofR9N7Hpw&t=1310s

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L’affrontement final contre The Boss (Metal Gear Solid III)

Je vais prendre un risque en disant que je ne suis pas à 100% d’accord avec tous les éloges qui ont été faites à la licence d’Hideo Kojima et Konami (surtout le 2 qui a été pénible à jouer à partir d’un stade). Néanmoins, sur les 3 premiers opus il en est un qui justifie pleinement les louanges qu’il récolte : MGS III qui met non seulement son système de jeu à jour avec brio, rend ses phases de jeu haletant à prendre en main, propose des boss aux méthodes de combats distinctif de chacun, évite le plus souvent la surdose explicatif du côté des cinématiques malgré leur durée toujours conséquente (mais moins que dans le II… juste insupportable celui-là), et surtout une des meilleures antagonistes du jeu vidéo en la personne de The Boss. Et à qui on donne à la fois la phase de boss la plus prenante et intimiste, et la conclusion la plus bouleversante (et je prend en compte la fin du jeu qui complète à merveille ce personnage) : dans un face à face d’infiltration au cœur d’une clairière remplie de fleurs blanche sur le thème phare de ce troisième volet, après que nous avons découvert les motivations de notre ancien mentor que l’on abattra symboliquement avec son arme « The Patriot » avant que les roses ne prennent une teinture rouge écarlate symbolisant l’acte. Cinématographique, intime, beau, bien rythmé par la musique d’Harry Gregson-Williams et The Boss paisible pouvant enfin quitter un monde fou après avoir servi une nation qui lui aura tout pris et s’être battu pour un groupe qui n’aura fait que son malheur et lui a privé du droit d’avoir un enfant.

https://www.youtube.com/watch?v=2AIrugtKAx8&t=1282s&pp=ugMICgJmchABGAE%3D

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La Dépression de Djidane Tribal (Final Fantasy IX)

On n’oublie jamais sa première fois avec un Final Fantasy (n’ayant pas fini le 13 à l’époque de sa sortie, je le met à part) et Dieu que je ne risque pas d’oublier mon aventure avec le voleur et comédien de fortune Djidane Tribal : tout me parlait dans le monde d’Héra entre sa petite touche steampunk dans un monde médiéval et d’héroïc-fantasy, son héros facétieux mais intrépide et altruiste, la galerie de personnage qui l’entoure (Dagga, Bibi et Freyja en priorité en ce qui me concerne), la mythologie autour de cet univers et ses grands moments. Et j’ai voulu mettre en valeur un de ceux concernant Djidane : alors que lui et ses compagnons sont enfin parvenus dans le monde de Terra, Djidane fait enfin face à Garland et découvre le dessein auquel était voué son existence et ce qui le lie au grand méchant du jeu, Kuja, et qu’il était destiné à être tout comme Kuja un destructeur du monde dans lequel il a grandi pour la sauvegarde de son véritable monde d’origine. Alors que Garland le défait sans problème avant de l’enfermer, Djidane sombre dans une profonde mélancolie au point de ne plus savoir qui il est et de se renfermer totalement sur lui, et de rejeter l’aide de chacun de ses compagnons alors que pour la première fois, celui qui a tant aidé ses compagnons est celui qui a besoin d’être sauvé : d’abord Eiko et Bibi, ensuite Freyja et Tarask, Kweena et Steiner puis enfin Dagga (qui lui rappellera l’essentiel : c’est parce qu’ils les considéraient d’égal à égal et leur est venu en aide au moment ou ils en avaient le plus besoin, qu’elle et ses 6 autres compagnons en font de même. Tout simplement parce que selon la maxime de Djidane qu’il a si souvent démontré : y’a-t-il besoin d’une bonne raison pour sauver une vie ? Tout cela sur le fameux You’re not Alone en fond de Nobuo Uematsu, un magnifique tournant émotionnel.

https://www.youtube.com/watch?v=3xqtQwC-hwM

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Gehrman participe à la chasse (Bloodborne)

Aaaaah Fromsoftware, le studio japonais qui aura fait crisser des milliers de joueurs que ça soit avec la saga Dark Souls, Sekiro ou le Lovecraftien et tentaculaire Bloodborne qui, en prime, aura provoqué des sueurs froides et perturber les nuits de ses adeptes. Mais en retour et aussi nihiliste, ténébreux et cryptique puissent-être leurs univers : qu’est-ce qu’ils sont beau et grand une fois qu’on laisse la curiosité prendre le dessus et qu’on y accorde le temps requis pour pleinement comprendre son fonctionnement ! Ce n’est pas Bloodborne qui me fera dire l’inverse, gros survival-horror aventureux dont les épreuves pour les yeux et les nerfs ne manquent pas mais ou la persévérance finit toujours par payer comme pour chaque jeu du studio. Et selon notre dernier choix en fin de jeu, on sera amené à livrer un ultime combat contre Gehrman : le premier chasseur qui ait vu le jour à Yharnam. Avec son thème musical infiniment plus triste et désespéré que les autres morceaux du jeu, son immense champ de fleur contrastant avec tout les environnements cauchemardesque (ou on a combattu des boss comme Père Gascoigne, Micolash, celui qui renaquit, Rom l’araignée stupide ou encore les ombres de Yharnam), son faucheur qui semblait si inoffensif sur son fauteuil roulant devenir habile comme aucun autre chasseur, tout transpire le requiem ultime pour un personnage dont les morceaux d’intrigues et les dialogues évasives témoignent d’une profonde blessure et d’une lourde charge qui l’accablent depuis si longtemps (le DLC est plus que recommandé pour en apprendre davantage sur lui via les descriptifs). On souffre une ultime fois, les images et la musique nous parlent, on sent qu’on va achever une longue et horrible histoire sans pour autant savoir ce qui nous attendra après. Bref, un grand moment pour un grand jeu !

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Le sacrifice d’Emil (NieR : Replicant et NieR : Gestalt)

Retour dans le monde de Nier, encore, cette fois-ci à une époque ou les humains n’ont pas encore disparu mais semble avoir régressé à l’âge médiéval sur fond de technologie éparse ici et là. Si l’absurde était le mot maîtresse d’Automata, elle l’est également ici mais c’est surtout sa cruelle ironie et son absence de dichotomie qui en font un de ces univers désespérés ou cette fois-ci le constat final au bout des routes serait bien moins tendre-amer qu’Automata et beaucoup plus accablant. Et le sacrifice d’Emil pour permettre à notre Avatar d’arriver au bout du voyage est l’une des notes les plus déchirantes de cette longue quête parsemée d’affrontement, de tragédie, de pathétisme et de carnage mais aussi d’une réelle humanité et d’une empathie profonde pour ce que traverse ce petit monde. Alors que le combat tourne en la faveur de Nier, Kainé, Weiss et Emil contre une Popola enragée après la mort de sa sœur jumelle, Popola perd la raison et libère sa puissance magique alimenté par sa solitude et sa rage. Emil, l’enfant autrefois sujet d’expérience militaire et doté d’un physique hideux suite à sa fusion avec sa sœur Halua, utilise une barrière magique afin de protéger ses compagnons et se laissera absorber par la sphère noire sans fond de Popola, sans savoir qu’en faisant cela il accélère des événements qui n’étaient pas censé de produire. Si il est une chose qui fait la force de ce jeu, ce sont les personnages qui entourent Nier, en premier lieu Kainé et Emil. Emil qui est probablement l’âme la plus douce et tendre qui soit et un rayon de lumière bienvenu au milieu de toutes les tragédies qui pullulent dans la quête de Nier, dont l’histoire s’enrichit au fil des routes narratives et dont le thème sacrificiel de Keiichi Okabe continue de raisonner à chaque fois que sa mort est évoquée. Ce dernier se réjouissant de pouvoir enfin sauver une âme alors qu’il a à son tour été poussé à prendre des vies au cours de son aventure et à être accablé par ses malheurs et sa condition. Un énième crève-cœur signé Yoko Taro !

https://www.youtube.com/watch?v=etFgvdVclds&t=4s

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Les derniers jours de Roxas (Kingdom Hearts II)

Vous sortez de Kingdom Heart premier du nom, licence phénomène à l’époque de sa sortie bien que vivement critiqué dernièrement avec le troisième opus (si on ne parle pas des préquels, spin-off et autre récit qui rendent l’univers très décousu), vous vous apprêtez à retourner dans cet étrange croisement entre Square Enix et Disney aux côtés de Sora, Donald et Dingo (ou pas selon que vous avez joué à Chain of Memories ou non). Et au lieu de ça : surprise, vous incarnez un rouquin de la cité du Crépuscule, faites du skateboard, du jonglage de ballon, coller des affiches, chercher un voleur de mot, vous vous fritter avec Seifer de Final Fantasy 8 et Bibi de Final Fantasy 9 ET… vous apprenez à manier la Keyblade et faites la connaissance d’Axel, membre de l’Organisation XIII qui n’est ni plus ni moins qu’un ami de longue date de Roxas. Puis en revoyant le nom d’Ansem revenir, Kairi ayant grandie se remémorer soudainement de Sora qu’elle semblait avoir oublier, Axel devenir de plus en plus familier avec Roxas (ceux qui ont joué à KH : 358/2 Days comprendront), les souvenirs de Sora au premier jeu apparaître régulièrement jusqu’au château oblivion et cette Naminé expliquer la situation petit à petit à Roxas, on finit par comprendre que celui-ci n’en a plus pour longtemps et que son existence n’est que temporaire en raison de sa nature de Simili (et d’ancien membre de ladite Organisation XIII), son destin étant lié à celui de Sora. Alors qu’entre-temps on s’est entiché du jeune homme, de sa vie simple et des voies qui pouvaient s’ouvrir à lui, mais qu’il est condamné à voir son existence disparaître aux yeux de tous afin que Sora revienne parmi les vivants et reprenne son voyage. Et si vous trouvez ça anormalement déprimant pour un volet de KH, ça ne sera pas la seule histoire à la conclusion tragique faites de fatalité dans cet univers.

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L’affrontement contre la légion des morts-vivants (Dark Souls 3)

Bien des combats me sont restés à l’esprit après avoir expérimenté mon premier Dark Souls… et bien des cauchemars également : arachnide macaque cachée dans les cathédrales, Sadako empoisonné, hippopotames à tête de doigts informe, chevaliers possédés, villageois aux coutumes glauques, crabes géants, clercs et prêtres possédé, squelettes à foison, et encore je ne fais pas le tour des boss. Mais il en est un qui m’est resté en tête : le premier des seigneurs de cendre qu’il nous fait vaincre et constitué par la légion des morts-vivants de Farron. Premier énorme défi du jeu ou l’on voit des carcasses d’armures s’entretuer dans une crypte (chose qu’ils faisaient encore et encore après avoir sombré dans la folie) au milieu d’une mer de carcasses d’armures appartenant à la légion complète. La mise en scène est aux petits oignons, la musique prend une intensité toute nouvelle, le dernier combattant de la légion déjà puissant est vite rejoint par ses compères sans vie précédemment possédé par les abysses que la légion avait juré de combattre, et dés qu’on pense en avoir terminé : ce dernier se relève une seconde fois en attirant à lui le sang de ses congénères issue du pacte réalisé avec le vieux loup de la forêt empoisonné de Farron et le combat reprend avec un gros degré d’intensité et de difficulté en plus (et de larmes de rage et de colère parce que sinon ça serait pas drôle). Non vraiment, les jeux qui nous font rappeler nos combats de boss à ce point sont rare et putain, jamais on ne pourra oublier ceux d’un jeu comme DS 3.

https://www.youtube.com/watch?v=vv_qryPwmig

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Premier baiser entre Yuna et Tidus (Final Fantasy X)

Evènement dans la sphère des Final Fantasy avec ce premier volet offrant la parole à ses personnages, renouvelant à nouveau son univers avec son culte religieux et le pèlerinage de son héroïne en tant que fil rouge et la place que va occuper Tidus en tant que protecteur et bien plus via affinité avec Yuna. Encore plus en voyant la tournure que prendra ce pèlerinage lorsque sa finalité sera révélée, notamment quand les masques tombent autour des rôles (déjà suspicieux il faut dire) que joue Seymour Guado ou encore Jecht le père de Tidus dont le rapport va progressivement changer, et ce qui cache autour de la religion yevonite qui domine ce monde. Dans la deuxième moitié de jeu, après qu’on ait échappé et repoussé Seymour et son culte, la bande se réfugie dans la forêt de Macalania, Tidus retrouve Yuna maintenant conscient de la véritable nature de la mission de l’invokatrice. Il tente alors de la convaincre de renoncer à son pèlerinage et de l’accompagner à son pays natal, mais Yuna s’effondre et avoue faiblement que cela lui est impossible en raison de sa mission qui la condamne inexorablement à une mort prochaine. Et dans un geste de tendresse et d’amour pour soulager sa peine, Tidus l’embrasse pour la première fois… et le reste se passe de commentaire.

https://www.youtube.com/watch?v=OrzBHCaFrFI