Les films que j'ai vu en 2022 [Édition Voyage à travers le monde]

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Cinéma : Visionné le 1er janvier en VF
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5/10 : Une suite qui se casse la gueule en beauté avec un scénario qui ne fait aucun sens, une histoire repompée sur le premier opus et qui de ce fait annule tous les enjeux des précédents films. Fait une pseudo critique sur Hollywood et la production de suites mais se mord la queue en faisant ensuite exactement ce qu'il critique au début. Les pauvres scènes d'action n'arrivent même pas à rattraper le tout. Une déception pour un film qui aurait pu tenter quelque chose de largement plus ambitieux.

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Télévision : Visionné le 04 janvier en VOSTFR
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6,5/10 : Premier long-métrage réalisé par Lars von Trier, Elements of Crime est une œuvre bien singulière visuellement marquante par sa colorimétrie majoritairement tournée dans des teintes orangées. Le film se démarque par cette mise en scène surréaliste et onirique justifiée par la narration du film qui se fait par la remémoration du personnage principal étant sous hypnose. Très fascinant dans la direction artistique, moins efficace dans l'histoire qu'elle propose. J'ai trouvé ça assez lent et malgré cette ambiance de film noir mélangé à cette d'expérience cinématographique, j'avouerai avoir moyennement accroché au film. Cela reste néanmoins sympathique à regarder !

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Cinéma : visionné le 05 janvier en VF
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4/10 : Alors là nous sommes tombés bien bas. Tout d'abord avec ce nouveau Kingsman on perds selon moi l'essence même de ce qu'était la série à la base : une comédie d'action. Là, à la place nous avons une sorte de semi dystopie à caractère très grossier car on voit bien cette volonté de créer une comédie mais l'époque et les personnages sont complètement en décalage donc on se retrouve avec des idées de mise en scènes qui se veulent comiques mais qui deviennent ridicules à cause de ce trop gros décalage. On rajoute en plus de ça les innombrables incohérences qui m'ont fait sortir du film, on se retrouve avec un film très clairement raté. Grosse déception pour ma part qui appréciait cette série de films.

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Télévision : visionné le 09 janvier en VOSTFR
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7/10 : Une belle histoire sur une relation épistolaire, cela m'a beaucoup fait pensé au film d'animation Mary et Max car la dynamique est la même : une jeune femme qui écrit un à un homme plus vieux et racontant leurs journées et les problèmes de leur vie. Malgré une fin assez frustrante le film a une grande qualité d'écriture qui se ressent notamment dans ses dialogues baignés d'une légère philosophie sur la vie, le temps qui passe et la perte de ses proches.

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Télévision : visionné le 11 janvier en VOSTFR
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8/10 : De tous les films qui montrent les horreurs de la guerre, celui-là est de loin le plus percutant qui m'ai été donné de regarder. Le titre original peut se traduire par "viens et vois" et cela correspond entièrement aux intentions du film : nous placer directement comme témoin de ce massacre. Les plans sont toujours à hauteur d'homme, il y a quelques plans subjectifs et le réalisateur a recours de temps en temps à la caméra portée pour ajouter plus de réalisme et nous immerger le plus possible dans cette histoire. Par ce biais, Elem Klimov nous fait devenir un véritable témoin du drame. Il réussit donc ce pari haut la main en donnant le plus de sens possible aux images qui nous sont transmises. Excellent dans la mise en scène bien visuelle que sonore, une interprétation fascinante des acteurs, Requiem pour un massacre a parfaitement réussi à me convaincre.

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Télévision : visionné le 14 janvier en VOSTFR
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6/10 : Je n'ai malheureusement pas accroché à ce film bien qu'il ait de belles qualités de narration et de mise en scène. J'ai beaucoup de mal quand le rythme d'un film est lent et dans celui-ci il l'est particulièrement. Il y a cependant certains moments dramatiques assez prenants, notamment à la fin du film où l'interprétation des deux acteurs principaux est particulièrement touchante.

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Télévision : visionné le 16 janvier en VF
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5/10 : Ce film est une succession d'éléments narratifs vus et déjà revus dans de précédents films James Bond et on arrive à peine à croire les motivations du méchant tant elles sont loufoques et clichés. Le film ne brille pas non plus dans sa mise en scène qui reste toujours très pauvre dans les chorégraphies et les idées de plans proposées (la scène de combat finale entre James Bond et Requin est vraiment ridicule). Et j'ai toujours le même problème : je déteste le personnage de James Bond et Roger Moore m'aide clairement pas à l'apprécier davantage.

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Télévision : visionné le 16 janvier en VOSTFR
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7,5/10 : Il est difficile de savoir par quel bout prendre Il était une fois dans l'Ouest pour en faire la critique tant le film est bon en tout point. Une fois n'est pas coutume, Leone nous fait rappeler qu'il est un véritable chef d'orchestre dans le genre du western que ce soit dans la mise en scène, sublimée par la bande son toujours composée par Ennio Morricone qu'on ne présente plus, ou que ce soit dans l'écriture : le scénario, les personnages, les messages transmis, tous sont traités avec maîtrise. C'est par cette constance que se démarque Il était une fois dans l'Ouest, une fable sur la transition à une nouvelle époque de l'histoire.

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Télévision : visionné le 18 septembre en VF
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7/10: Au-delà du thème de l'intersexuation, XXY se veut être un film qui porte sur la jeunesse, la recherche de soit, de son identité. La force de ce message est porté par une intensité dramatique qui traverse le récit par ses personnages crédibles et attachants et par une mise en scène qui se veut sobre mais efficace.

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Cinéma : visionné le 21 janvier en VOSTFR
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6/10 : Licorice Pizza c'est une histoire d'amour bien singulière entre un jeune garçon de 15 ans avec des projets pleins la tête et une jeune femme de 25 ans qui a besoin de se trouver un but. Rien ne les uni mais pourtant ils vont se trouver et développer une relation assez complexe. Bien que l'histoire pourrait avoir tout pour me plaire (excepté le fait que le personnage de Garry soit mineur, cela m'a assez gêné), ça ne prend pas. Tout d'abord car j'ai du mal à saisir l'alchimie entre les deux personnages, ils sont tellement en décalage que je ne trouve pas la relation amoureuse pertinente, surtout que la conclusion de leur relation arrive à un moment assez mal choisi à mon goût. La façon de filmer de Paul Thomas Anderson ne me laisse néanmoins pas indifférente, il propose de belles idées visuelles tout au long de son film.

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Télévision : visionné le 21 janvier en VOSTFR
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7/10 : Un chouette documentaire retraçant le parcours des acteurs et membres de la production de la série de films Harry Potter. Très émouvant de voir leurs ressentis et de comment ils en sont tous sorti grandis de cette grande aventure.

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Télévision : visionné le 22 janvier en VF
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5,5/10 : Malgré la forte critique sociale que fait le film je n'ai pas réussi à m'y investir. Tout d'abord, j'ai trouvé que tout ce qui se passe dans le film est absolument grossier. Certes, dans la vraie vie certains importants dangers ne sont ne sont absolument pas pris au sérieux notamment à cause des médias mais c'est poussé beaucoup trop à l'extrême dans le scénario. Encore si cela aurait été fait dans un monde alternatif où tout est volontairement grossier j'aurais pu y croire mais malheureusement le film prend le pari d'être le plus proche possible du réel jusqu'à même utiliser Ariana Grande qui se parodie elle-même. Et c'est là que je trouve que le film pose problème : il perd en crédibilité en voulant s'affirmer en tant que film d'anticipation alors que les évènements sont beaucoup trop exagérés. Mêlés à ça des moments de comédie inappropriés (les scènes post-générique étant le parfait exemple, elles ne servent à rien) on se retrouve avec un film vraiment pas terrible où même les acteurs peinent à nous convaincre (et il y a quand même DiCaprio dedans, ils ont vraiment fait fort pour le coup).

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Télévision : visionné le 23 janvier en VF
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6/10 : Encore une fois, un film James Bond qui garde la même recette depuis ses débuts, rien de novateur dans le scénario qui est globalement toujours le même avec juste des variations sur les lieux présentés, l'objectif des méchants, etc. La bataille de fin dans l'espace nous montre au moins quelques beaux plans mais cela reste anecdotique quant au reste du film qui est semblable à ses précédents opus.

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Télévision : visionné le 24 janvier en VOSTFR
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Le Goût de la cerise, c'est avant tout un film philosophique qui a pour objectif de nous remettre en question. C'est par les différentes réactions des personnes prises en stop par l'homme qui a une mission à confier que le réalisateur nous propose différents points de vue sur la vie et la mort. Ce film brille essentiellement par sa poésie qui se manifeste dans de puissants dialogues qui cessent de nous captiver tout au long de cette histoire, c'est aussi par une force de mise en scène vraiment singulière : le fait de suivre le personnage roulant dans sa voiture sans pratiquement jamais en sortir, comme si l'on était nous-même les passagers de ce récit.

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Télévision : visionné le 26 janvier en VF
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8/10 : Un film traitant intelligemment de l'univers carcéral en se concentrant sur les personnages et de toute l'humanité qui découle d'eux. Une grande palette de différentes personnalités sont dépeintes dans ce récit permettant d'accentuer encore plus l'intensité dramatique que va connaître la dernière partie du film.

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Télévision : visionné le 28 janvier en VOSTFR
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7/10 : Si il y a bien un film qui est difficile de lui attribuer une note c'est bel et bien La Montagne sacrée tant le film est en décalage absolu avec ce qu'on a l'habitude de regarder. C'est un pur produit cinématographique à mon goût car tout se joue dans la mise en scène, en soit le scénario importe peu car il sert seulement de fil rouge. Le plus important selon moi est tout l'aspect symbolique de ce long-métrage car tout élément de mis en scène a été crée pour représenter une idée, ce qui nous amène à une quasi infinité de points de vue analytiques tant le film est riche de ces symboles.
Il faut cependant être réceptif à cette symbolique qui traverse tout le film. Personnellement j'ai un peu de mal quand des films de ce type tentent ce genre d'expérience mais la Montagne sacrée reste malgré tout un monument de ce genre cinématographique (si on peut qualifier ce film comme appartenant à un genre).

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Télévision : visionné le 30 janvier en VF
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6,5/10 : Un film James Bond toujours semblable dans la structure des précédents opus mais avec une dernière partie qui s'affranchit très légèrement de ce qu'il fait habituellement en proposant des scènes plutôt sympathiques, dommage que le reste du film est assez moyen.

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Télévision : visionné le 30 janvier en VOSTFR
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8,5/10 : Metropolis est une œuvre complète : visuellement sublime, une mise en scène poussée à l'extrême, une narration qui ne se perd pas en chemin, des décors grandioses, des effets spéciaux ingénieux et une maîtrise totale du montage. Tout s'orchestre parfaitement comme une machine qui tourne à plein régime. Et cela donne lieu à une œuvre vraiment très impressionnante qui justifie pleinement son statut de film culte.

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Télévision : visionné le 02 février en VOSTFR
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8,5/10 : "L'imagination est le salut de l'homme", voilà une réplique qui résume très bien ce film qui regorge de tellement d'inventivité tant dans le récit que dans la réalisation. Telepolis se démarque par le parfait mélange entre puissance visuelle et intentions d'écriture. Les images desservent directement le propos et c'est ce qui selon moi fait de Telepolis un produit purement cinématographique.

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Télévision : visionné le 04 février en VOSTFR
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7/10 : Pour une raison inconnue Senscritique a supprimé mon annotation sur ce film donc pour résumer mon avis car flemme de la réécrire en entier : c'était très good vibe, les musiques et les chorées était belles et les personnages étaient vraiment attachants.

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Télévision : visionné le 06 février en VF
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5/10 : Encore un James Bond dénué d'intérêt pour moi tant il est semblable aux autres opus, puis là j'ai vraiment trouvé les motivations des antagonistes vraiment floues et incompréhensibles.

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Télévision : visionné le 06 février en VF
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7/10 : Ce qui est bien avec le cinéma de Leone, c'est que ses films ont une portée universelle et ne traite pas seulement de la période western mais d'autres évènements qui se sont produits dans l'histoire. C'est ainsi que Leone fait plusieurs références à la Seconde Guerre mondiale par exemple. Il était une fois la révolution n'hésite pas à être violent pour servir son propos, ce qui nous donne des scènes visuellement sublimes et intenses. Ce n'est clairement pas son meilleur film mais il a des qualités que ses autres films n'ont pas.

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Télévision : visionné le 08 février en VOSTFR
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7,5/10 : J'ai beaucoup aimé ce documentaire car il utilise le procédé ingénieux de l'animation pour illustrer les différents souvenirs racontés par les anciens soldats que le réalisateur interview. Ari Folman nous offre très certainement son film le plus personnel. J'ai été complètement bluffé par son histoire car elle est vraiment digne d'une très bonne fiction : la structure narrative se construit comme celle d'une œuvre fictionnelle alors que tout ce que Folman raconte dans son film est véridique vu qu'il s'appuie sur des témoignages et parle d'un évènement qui s'est réellement passé.
Valse avec Bachir c'est un voyage à travers la psyché du réalisateur, un film documentaire enrichissant dans son fond, et ultra bien pensé dans sa forme.

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Télévision : visionné le 10 février en VOSTFR
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5,5/10 : Bon ben comment dire… Je pense que le film avait tout pour me plaire, un récit allégorique d'une quête spirituelle tout en proposant une expérience unique dans le style visuel. Je n'ai malheureusement pas été sensible à ces images et à cette histoire car j'ai énormément de mal quand le style est lent, je sais très bien que c'est parfaitement voulu par le film pour le rendre encore plus singulier mais rien à faire je n'y arrive pas, c'est vraiment symptomatique chez moi mais dés que il y a de la lenteur dans le rythme je n'arrive pas à être investi dans l'histoire qu'on me propose. C'est vraiment dommage car à cause de ça j'ai vraiment l'impression d'être passé à côté du propos qui aurait pu plus me toucher si j'y avais été plus sensible.

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Cinéma : visionné le 12 février en VF
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7/10 : Un film correct dans l'ensemble, le scénario est une adaptation du livre d'Agatha Christie donc je me doute qu'il n'est pas difficile qu'il soit bon mais le film propose également de bonnes idées dans la réalisation et les acteurs sont plutôt bons. Bref, ça se laisse regarder !

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Télévision : visionné le 12 février en VOSTFR
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8/10 : Une histoire très touchante entre une vieille femme à la retraite et un jeune garçon sans famille qui vont vivre un voyage haut en couleurs et en rencontres diverses et variées. Dans ce film qu'on pourrait qualifier de Road Movie par sa structure narrative, jamais ce fameux dicton n'a été aussi véridique : "Dans un voyage ce n'est pas la destination qui compte mais toujours le chemin parcouru" car c'est dans ce chemin parcouru qu'on y retrouve toute la puissance de ce film. Et bravo au film d'avoir réussi à me faire tirer une larme à la toute fin.

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Télévision : visionné le 13 février en VF
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5/10 : Plus ça avance et plus j'ai l'impression de voir juste le même film en boucle, aidez-moi à sortir de cette boucle temporelle, JE VOUS EN SUPPLIE !

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Télévision : visionné le 14 février en VOSTFR
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7/10 : Une séparation est un film d'une complexité à tous les niveaux. En Iran, la religion a une place hyper importante dans le quotidien de la population. Le film nous propose alors une histoire qui nous démontre à quel point l'ampleur de la religion influe sur le comportement des individus présentés dans le récit. Mais le film n'aborde pas que le sujet de la religion, ce serait trop réducteur de penser que c'est son seul propos car il en est riche.
Tous ces sujets différents restent néanmoins liés à L'Iran, ce qui rend cette œuvre vraiment intéressante car elle est incarne alors en quelque sorte la mémoire du pays, elle est un témoignage de la vie Iranienne en 2011 tout en ayant ce statut d'œuvre de fiction.

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Télévision : visionné le 15 février en VOSTFR
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6/10 : Un épisode mitigé où l'histoire peine à me convaincre, et j'ai trouvé les moments censé être émouvants peu crédibles. J'ai également beaucoup de mal à m'attacher aux acolytes du docteur. Après je vous cache pas que ça fait quand même plaisir de revoir Jack Harkness !

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Télévision : visionné le 16 février en VOSTFR
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7/10 : Il est difficile de noter un film retraçant des évènements historiques, surtout de cette ampleur. Ce qui est bien avec la Chute c'est qu'il ne va pas faire le paris risqué de traverser toute une période de l'histoire en un seul film, ce serait beaucoup trop casse-gueule. La Chute va plutôt faire le paris de se concentrer sur la bataille de Berlin et étendre ça sur 2 heures et demi histoire de bien prendre le temps de comprendre ce qui s'est passé du côté des nazis. 2h30 c'est certes long mais c'est très intéressant de voir comment toutes ces personnes réagissent à cette fin imminente, c'est presque jouissif de voir leur perte et leur incapacité à pouvoir agir.
La force de ce film se fait essentiellement par les acteurs qui sont tous excellents, nous ne pouvons qu'être subjugués par le jeu d'acteur de Bruno Ganz qui joue le rôle d'Adolf Hitler, et qui doit être un rôle tellement difficile à interpréter tant sur le plan psychologique que sur le plan physique avec toutes ses manies et ses crises colériques.