Les films (qui t'agacent) où les méchants restent méchants jusqu'au bout

Annotation :

Décidément, ce sale morveux de stagiaire zélé est bien agaçant. Heureusement, à la fin il se prend l'humiliation de sa vie et les gentils, ben heureusement ils sont embauchés et pas lui, na !

Annotation :

Le détail le plus agaçant du film, qui au demeurant est un bon film, c'est ce fiancé jaloux et con alors qu'il survit au plus terrible des naufrages. Cache pas ta joie surtout d'être vivant ! Le personnage le plus plat et le plus inutile du film.

Annotation :

A croire que ce méchant là n'était là que pour se faire becqueter par un dinosaure sadique et montrer des effets spéciaux impressionnants. En effet, peut-on faire plus caricatural qu'un gros lard qui s'empiffre, con comme ses pieds, corrompu, véreux et geek en plus ?! Morale du film : méfiez vous des hackers !

Annotation :

A tous les coups, ce méchant colonel doit avoir beaucoup souffert durant son enfance parce qu'il aime le feu, tout péter et sortir des pseudos citations néo-colonialistes et racistes. Une caricature du nazi fou et du type dévoré par le traumatisme de la guerre du Vietnam. La preuve en est ses magnifiques cicatrices. C'est sûr qu'avec une tête pareil, il pouvait pas faire enfant de choeur...

Annotation :

Si le film avait suivi le bouquin on aurait évité un Voldemort absolument plat qui ne fait que tuer pour se venger... De quoi ? Le film ne le dit pas... ou si peu. Du coup, on a un méchant tout plat et un gentil trop génial...

Annotation :

Pourquoi ce ministre japonais reste-il méchant jusqu'au bout ? Argent, pouvoir quand tu nous tiens. Mais, tu te tapes la grosse honte devant l'Empereur du Japon himself , ouf !

Annotation :

Toi t'étais trop beau, Gaston, pour être innocent. Et pour cause, tu bois, tu chasses, t'as les bottes couvertes de merde et tu as un charisme d'huitre.

Annotation :

Le vieux Palpatine, toujours aussi méchant et linéaire. Pourquoi ce méchant là devait entacher les autres méchants tout aussi géniaux les uns que les autres (Vador, Jabba). Heureusement qu'il permet la rédemption de Vador.

Annotation :

Parce que dans la version française y avait pas vraiment de méchants, comme dans le vraie vie quoi, il a fallu que les américains en colle un, dans le rôle du fiancé plein aux as, sans moral et idiot. À la fin, comme toujours, il se tape la honte et les deux acolytes arrivent à retourner dans leur Moyen-Âge, youpi !