Les jeux qui justifient l'achat d'une PS2...

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La créativité poétique dans toute sa splendeur. Une expérience unique que personne n'avait jamais su proposer, un jeu d'aventure subtil et émouvant, novateur.

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A même titre que Ico, ce jeu est unique en son genre et offre une aventure immersive d'une beauté sans comparaison. Un jeu plein de caractère qui demeure aujourd'hui, à l'heure du "next gen" et de la HD, un indispensable, un sommet ludique, une leçon de créativité.

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Le jeu qui m'a fait acheter une nouvelle PS2 à l'époque, l'ancienne étant incapable de le faire tourner. Poussant la console dans ses retranchements tant la réalisation était soignée, encore aujourd'hui, très rares sont les jeux d'action à faire ressentir le souffle wagnerien qui anime Kratos! Simplement à couper le souffle.

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Le petit frère de Ico, encore un OVNI capable d'offrir des choses uniques au joueur, partagé entre la stupeur devant tant de beauté, l'efficacité et la simplicité immersive du scénario, et le génie à l'oeuvre dans le design des colosses mythiques (de même que je m'étais attaché à Yorda dans Ico, ici, j'avais du mal à tuer les colosses qui m'apparaissaient comme des forces de la nature, j'avais la sensation de faire quelque chose de mal!).

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... ou le jeu qui peut vous forcer à dormir la lumière allumée. Horreur, suspense, drame, dérive onirique, Silent Hill est tout ça à la fois. Et plus encore.

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Tout le monde (ou presque) a flippé sur le film Ring. Et bien vous retrouver dans un village hanté par des esprits qui font passer Sadako pour une gentille fillette, armé(e) simplement d'un appareil photo, ça fait son effet. Dans la catégorie "jeu qui fichent la trouille", il se pose là, peut être au delà d'un Silent Hill. Même l'écran de pause est hanté!! Et en plus, c'est beau, c'est triste, c'est cruel. C'est un vrai grand jeu.

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Un début merdique, décevant, j'ai failli laisser la manette avant d'avoir passé la première demi heure... Et je suis content de ne pas l'avoir fait!!! Des personnages largement plus charismatiques que le héros assez fade finalement, des mondes à faire pâlir Zelda et Dragon Quest, voire certains FF, une richesse comme on en voit rarement, un jeu qu'on a envie de décortiquer, de revisiter, et un série qui indéniablement a quelque chose à offrir et n'a pas à rougir face au deux titans du genre.

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Il se passe quelque chose ici. Là où Code : Veronica était une resucée loupée des premiers, ici on passe à autre chose, on sacrifie l'essence de la série, mais pour finalement réussir à offrir un grand jeu qui fait honneur à ses ancêtres.

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C'est simplement beau, c'est prenant, c'est excellent, pour peu que l'on accepte les parti-pris du gameplay.

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On prend les mêmes et on recommence en poussant le truc encore plus loin. un peu moins réussi que le premier néanmoins. Mais comme la concurrence est tout simplement absente, ça règle le problème par la négative. Si vous voulez vibrer et vous laisser emporter par une rage destructrice jouissive, c'est ici que ça se passe et pas ailleurs!

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Un jeu pas pour tout le monde, croisement étrange entre un sim-date, un RPG, un jeu de dongeons, un jeu de cartes, le tout sur un fond ésotérique croisé à un scénario de film d'horreur. Bref, si vous adhérez, vous en avez pour des heures de jeu (probablement plus d'une centaine). Et bon, un jeu où il faut se tirer une balle dans la tête pour invoquer un démon, ça ne peut pas être mauvais.

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Avant que la série ne s'égare dans du bourrin pas forcément très bien géré (pavant néanmoins la voie pour l'arrivée du grand God of War), on a eu droit à un excellent épisode qui réussissait à rendre hommage au premier du nom sur Amiga, qui avait marqué son époque par la fluidité de ses animations. Tout en souplesse, un jeu entre action et puzzle game au pays des contes des Mille et Une Nuits.

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Seul épisode de cette inégale trilogie à avoir vu le jour chez nous, nous avions déjà été privé d'un des 5 meilleurs RPG du monde sur PS1 avec la non distribution en Europe de XenoGears. Ce jeu est notre seule chance à nous petits français d'entrer dans cet univers futuriste oscillant entre prophéties apocalyptiques, mythes aux ramifications profondes (non sans évoquer les belles heures d'Evangelion) et combats de Mekas (tiens, ça aussi ça fait penser à Evangelion...).

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Le premier DraQue à effleurer les doigts boudinés des joueurs français, c'est une vache de date, quand même, non ?!
Et en terme de durée de vie, ça va, il se pose là, campé sur ses pattes de derrière!

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La classe Kojima dans un des action RPG les plus nerveux de l'univers! (et, il faut l'admettre, les plus courts aussi...)

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Si ZOE était un brouillon, ZOE 2 serait la copie finale au propre avec des petites fleurs rajoutées dans la marge et un panier de gâteaux pour le correcteur. Du pur bonheur!!!