Les meilleurs conclusions d'album

Annotation :

Inutile de tergiverser des heures, Cargo Culte termine en apothéose le plus grand album francophone de l'histoire. Ce chef d'oeuvre ne pouvait pas rêver meilleure fin, reprenant la légendaire, nonchalante et énigmatique ligne de basse assaisonné d'une batterie jouée piano (comme dirait certain) de Melody. On termine ce poème, véritable ode à l'amour rendant hommage au chef d'oeuvre de Nabokov en apothéose avec la puissance des chœurs et l'orchestration parfaite de monsieur Vannier.

Annotation :

Let It Bleed n'est pas (à mon humble avis) le meilleur album des Stones pour rien, You Can't Always Get what You Want y est évidement pour quelque chose. Cette hymne mythique provoque en vous ce frisson que l'on chéris tant. La magie opères dès les premières secondes grâce à la puissance de l'intro interprété par les chœurs du London Bach Choir, qui conclurons de manière toute aussi puissante ce diamant intemporel qui marquera pour des décennies la culture populaire. You Can't Alwayys Get What You Want figure officieusement sur la première marche du podium ex aequo avec Cargo Cult, malheureusement il fallait faire un choix, c'est cargo culte qui figurera en pole position car voyez vous, "you can't always get what you want".

Annotation :

Echoes ... la cultissime chanson des rois du progressif a la lourde tache de conclure un album tout aussi culte. Pari réussis pour cette oeuvre expérimentale de plus de 20 min (surement une de mes préféré du groupe) concluant de manière magistrale cet album puissant et varié mariant avec brio titres sombres et travaillés et balades fraîches et paisible. De One Of These Days à Echose, en passant par San Tropez, tout est à prendre dans cet album ... surtout Echoes s'offrant la face B du disque dans son intégralité, c'est donc naturellement qu'elle se place à la 3ème place de ce classement.

Annotation :

Premier opus du groupe de Bristol à l’esthétique singulière, ce disque devenus avec le temps une référence absolue du trip hop se paie le luxe de se terminer sur le désormais célèbre Glory Box jouant de manière très juste avec l' Ike's Rap 2 d'Isaac Hayes. Chanson sensuelle (voire érotique) prenant soin de tomber ni dans le vulgaire ni dans la caricature, clos d'une belle manière Dummy, posant dès les premières notes les bases du style Portishead qui seront réutilisées dans leurs second album, plus abouti et plus fin brisant la célèbre règle "premier = bien, deuxième = mauvais".

Annotation :

"This is the end, beautiful friend" ce magnifique poème déchus clos d'une hypnotique et grande manière ce classique parmi les classiques. On se souviendra bien évidement la citation de titre dans Apocalypse Now, comme pour annoncer de manière psychédélique (mais au combien explicite) le chaos dans lequel le protagoniste est sur le point de s’aventurer.

Annotation :

Lorsque je me suis fixer les règles de ce classement, je souhaitais en exclure les lives, mais je suis revenus sur mes exigences car ce live à lui tout seul justifie la présence de ces derniers dans cette liste. Where Did You Sleep Last Night, classique de la culture folk américaine serra la dernière chanson joué par l'icone porte étendard de la jeunesse des années 90 et deviendra ainsi également un classique de la culture grunge. Comme faisant office de requiem de l’ambassadeur de la culture grunge, cette performance poignante se devais d’apparaître dans le top 10.

Annotation :

Une de mes conclusions préférée ! l'album souvent oublié de Radiohead est pourtant un des meilleurs à mon goût. Plutôt expérimental, l'album est une avalanche de titres puissamment inventif et créatif vous faisant plus d'une foie frissonner (de plaisir ou d'émotion) tout au long de son écoute (Pyramid Song, You And Whose Army ou Knives Out pour ne citer qu'elles). L'album, très nostalgique, joue avec vos émotions vous rendant lunatique, incertain, sensible et à fleur de peau. Life In A Glasshouse, une de mes chanson préféré de l'album (et du groupe), est un "jazz ?" chaleureux et glaçant à la fois reflétant exactement les contradictions que révèle en vous cet album. C'est beau, triste, sombre et plein d'espoir en même temps. On notera l'apparition d'une magnifique clarinette pleurant la fin imminente de l'album. j’aurais sincèrement aimé le positionner plus haut dans le top 10 de ce classement déjà occupé par des classiques incontestés.

Annotation :

Je pence que l'apparition de Demain C'est Loin dans cette liste ne ferra pas débat. Sur ce titre, IAM signe une de leur plus belle performance, nous exposant face à une réalité glaçante de notre époque et résumant à la perfection ce pois lourd du rap français comme on en fait plus aujourd'hui.

Annotation :

l'étrange Headphone termine vraiment bien cet album, vous faisant voyager jusque dans les méandres du style artistique de l'Islandaise. conclusion apaisante et décalé, on termine en douceur cet album riche, inventif et contrasté.

Annotation :

The Trial et Outside The Wall

Annotation :

Lunatic Asylum

Annotation :

Western Eyes

Annotation :

Eclipse

Annotation :

The Tourist

Annotation :

Well It's True That We Love One Another

Annotation :

(Exchange)

Annotation :

The End et Her Majesty

Annotation :

Shine On You Crazy Diamond (part 6-9)

Annotation :

Volcano

Annotation :

When The Levee Breaks

Annotation :

Goodnight Bad Morning

Annotation :

Your Southern Can Is Mine

Annotation :

Breathing

Annotation :

European Son

Annotation :

I Cry Alone