Lus en 2014

Annotation :

Une lecture marathon mais jouissive : une sorte de western halluciné au pays des bucherons !
(797 pages, broché)

(voir critique)

Annotation :

Un bon roman de Banks, à nouveau, teinté à la fois de cynisme et de mélancolie.
(413 pages, broché)

(voir critique)

Annotation :

Une plume magnifique, pour décrire avec intelligence et raffinement la pensée d'un grand homme d'état.
(317 pages, poche)

(voir critique)

Annotation :

Un roman totalement bluffant par sa portée et sa modernité ! Normal, cela dit : le mélange manipulation médiatique - soif de pouvoir - quête d'immortalité est forcément explosif !
(381 pages, poche)

Annotation :

Chalandon évoque la traitrise de son ami irlandais membre de l'IRA, qui fut à la solde des britanniques pendant 25 ans. Si son style manque encore un peu de consistance, on sent mûrir peu à peu le futur auteur du quatrième mur. A lire avant "retour à Killybegs" si possible, faire le contraire sera sans doute difficile.
(276 pages, broché)

(voir critique)

Annotation :

Chalandon conclue magistralement son diptyque irlandais. L'émotion est là, très forte, le propos intelligent, l'écriture a considérablement muri. Un grand roman, récompensé à juste raison.
(334 pages, broché)

(voir critique)

Annotation :

Premier roman de Johann Isern, X327 est une réussite. C'est à la fois une enquête sur un trafic de clones, et une réflexion teintée de tristesse sur les dérives de notre société techno-dépendante. Une découverte !
(160 pages, broché)

(voir critique)

Annotation :

La version papier des délires de l'allumé belge dans "retour vers le futur", la chronique de canal+. Des textes grouillant de jeux de mots, et qui, bien qu'assez répétitifs parfois, vous arracheront quelques sourires et même quelques rires francs.
(199 pages, broché)

(voir critique)

Annotation :

Une lecture abandonnée l'an dernier...
Relu cette année ; roman intéressant, qui prend parfois aux tripes, mais qui souffre de quelques longueurs. Son évocation de la guerre de Sécession est poignante et sans manichéisme. Un premier roman plutôt réussi, même si tout le texte n'est pas d'égale qualité.
(335 pages, broché)

(voir critique)

Annotation :

Queneau s'amuse à nous embrouiller dans ce roman surréaliste, avec ses multiples jeux de langage bien pensés. En dégager du sens s'avère néanmoins assez difficile pour le lecteur amateur : ce roman s'étudie sans doute mieux (en classe ?) qu'il ne se lit dans son canapé.
(276 pages, poche)

(voir critique)

Annotation :

Un roman assez méconnu de Dick, qui, sans être un chef-d’œuvre, se lit plutôt bien. Une satire paranoïaque de la guerre froide, qui amuse et effraie à la fois.
(203 pages, broché dans "romans 1963-64")

(voir critique)

Annotation :

Même si j'ai bien aimé la plume de Murakami, ce roman ne m'a pas séduit : trop glauque, et assez répétitif dans la seconde partie. J'aurais peut-être plus de chance avec un autre titre du japonais.
(619 pages, broché)

Annotation :

L'écriture de Gibson est décidément bien singulière et la qualité est au rendez-vous. Mais ce roman est hélas bien ennuyeux et souvent hermétique, malgré un final plutôt réussi. Dommage.
(493 pages, broché)

Annotation :

Sans être éblouissant par la qualité de son écriture, ce deuxième volume de la saga gagne par contre considérablement en intensité. Goddyn multiplie les personnages, sème à tout vent les graines des intrigues de demain, et amorce, en épilogue, un virage surprenant mais excitant du côté de la SF. Je plussoie et attend la suite !
(408 pages, broché)

(voir critique)

Annotation :

Pour son premier roman, l'anthropologue Albert Sanchez Piñol reste sur son territoire et nous livre un récit fantastique, mi-horrifique mi-philosophique, sondant avec virtuosité la nature de notre humanité. Si j'ai moyennement goûté à cette histoire, parfois très glauque, l'écriture de Sanchez Piñol est par contre lumineuse et intelligente. Voilà qui me donne beaucoup d'espoir pour ses deux autres romans.
(262 pages, broché)

(voir critique)

Annotation :

Premier contact avec la littérature russophone, à travers ce roman fleuve, grand classique. L'écriture de Dostoïevski m'a plutôt séduit, et même si on s'ennuie parfois, l'histoire est plutôt prenante. J'ai aimé l'âme russe telle qu'elle est présentée, avec cette sorte d'exaltation qui rappelle le théâtre. A lire, donc, même s'il s'agit sans conteste d'un vrai marathon.
(614 pages, broché)