Lus en 2024

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Impossible à noter selon des critères habituels. Ce double témoignage sur la Shoah vécue par une petite fille qui a survécu sans même réaliser l’ampleur de l’horreur subie est très intéressant. Le regard porté par son fils devenu journaliste permet de comprendre les conséquences sur le long terme. Cadeau de Noël (merci cousin).

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Agréable à lire, ce policier situé en Guinée dont l’auteur retranscrit l’ambiance de manière convaincante. Il y ancre des personnages étonnants, en particulier Aurel le Consul enquêteur. Un livre qui vaut d’abord pour son aspect social. Bien que secondaire, l’enquête amuse grâce à la plume de JC Rufin.

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La tragédie grecque revue par Cocteau. L'histoire d'Oedipe et du Sphinx mérite vraiment d'être découverte? on ne s'en lasse pas : une belle machine, malgré son aspect infernal. Enfin relu (découvert au lycée, ç a commençait à faire un peu lointain).

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Dostoïevski rend parfaitement la fièvre (la transe) dans laquelle peut se mettre un joueur, persuadé qu’il finira par retrouver la chance en persévérant. Drogué, le joueur perd ses avoirs, son honneur et toutes ses relations. A côté de cela, les personnages et le cercle dans lequel évoluent ce joueur font bien pâle figure.

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C’est bien du Indridason (style et intrigue policière avec ramifications), par contre l’enquête ne surprend guère puisqu’on comprend rapidement un élément fondamental de l’intrigue. Heureusement, l’un d’eux reste en suspens et la conclusion réserve une surprise de taille.

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Des tranches de vies liées par un lieu, une station-service des Ardennes, une nuit. Lieu impersonnel s'il en est, mais typique de l'époque. Bien qu'original dans la forme, le contenu de ce roman est à cette image, bien pauvre en humanité (ce qui est sans doute le but). Lecture facile, mais peu enthousiasmante.

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Un roman à forte tendance autobiographique et d'ailleurs écrit à la première personne du singulier. Un taulard retrouve la liberté avec l'idée de se ranger. Mais son passé va le rattraper. Particularité, il affiche un certain recul par rapport à tout ce qu'il vit et il tente d'évaluer la différence entre le bien et le mal.

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Un classique du théâtre qui justifie parfaitement son titre. Lecture très agréable pour une pièce vraiment séduisante. Conclusion poignante et mémorable.

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La quatrième de couverture nous apprend que l’œuvre (en général) de Valérie Tong Cuong est traduite en dix-huit langues (mazette !) Certes, l’intrigue est assez bien ficelée et le style soigné. Mais l’ensemble ne sera pas mémorable.

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Une famille japonaise, après guerre, alors que des soldats américains stationnent encore dans le pays. Situation très symbolique du Japon vaincu qui vit dans le déshonneur et peine à trouver un équilibre. L’ensemble est souvent désordonné, à l’image de la traduction (ou du style ?)

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Les démêlés sentimentaux dans une famille américaine typique, sur trois générations. Ils aiment le cap Cod, pourquoi pas. Mais l’auteur noie les meilleurs aspects de son roman dans de nombreuses péripéties et détails pas franchement passionnants.

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Une belle histoire qui me semble assez autobiographique, avec la montagne en toile de fond. Émouvant sur plusieurs tableaux : la transmission père-fils, une amitié indéfectible et cette façon qu’ont les personnages de chercher leur voie, comme en montagne finalement.

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