Mes films à sketches préférés

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L'opéra psychédélique en avance sur son temps et multipliant les genres, comme on peut le voir avec ses interprétations de "La Pastorale" et de "Une Nuit sur le Mont Chauve".

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Excellente compilation d'histoires d'horreur autour d'Halloween, et Sam fait une superbe mascotte de la Fête des Morts. La musique fait très années 80-90 voire Danny Elfman / Tim Burton.

Je recommande.

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Histoires de fantômes japonais en quatre sketches, dont :"Les Cheveux Noirs", "La Femme des Neiges", "Hoïchi sans oreilles" et "Dans un bol de thé".

Toutefois, l'intérêt des histoires baisse graduellement, la 4e histoire étant assez dispensable.

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Pas vraiment de vrai fil rouge mais une excellente collaboration tout de même.

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Contient une histoire sur une station spatial abandonnée, celle sur un homme devenu une arme de destruction massive contre son gré, et une sur une cité constamment en guerre avec une autre.

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Plusieurs sketches racontant les rêves et cauchemars de toute une vie, de l'enfance à l'âge adulte, en passant par les superstitions, la culpabilité, la peur du nucléaire, une interprétation sur Van Gogh et un appel à l'harmonie avec la nature.

Un petit mélange de drame et de fantastique qui plaira, malgré un côté contemplatif et bref de certaines séquences (8 sketches en tout, certaines aux fins abruptes mais compréhensibles).

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Adaptation de plusieurs épisodes de la série de Rod Sterling dans un film segmenté.

J'ai surtout envie de voir la partie où un gros raciste est maudit et dois vivre dans la peau des gens qu'il déteste juste sur des à-priori pour subir en retour tout ce qu'il leur a fait subir.

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Adaptation animée des "Métamorphoses" d'Ovide en plusieurs sketches, avec des monstres, des héros, des fins tragiques... et du disco !

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Adaptation de plusieurs comics d'horreur (Tales from the Crypt, Creepy, Eerie, etc.)

On appréciera aussi la participation de Stephen King dans un segment digne de "La Couleur tombée du Ciel" de Lovecraft.

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Plusieurs segments autour de nouvelles de Lovecraft et du Necronomicon, adaptant notamment "The Cold" et "Celui qui chuchotait dans le Noir".

Plus on avance, et plus les sketches se veulent grandioses mais pessimistes.

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Mon passage préféré : "The Lover's Vow" à cause de la métamorphose de la gargouille qui m'a rappelé le segment "La Reine des Neiges" du film Kwaïdan.

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Bien qu'ayant quelques effets spéciaux fauchés et n'étant pas toujours particulièrement sanglant, macabre ou gore, le flegme britannique et le montage rendent le tout concis et efficace.

"Poetic Justice" avec son Peter Cushing harcelé puis mort-vivant, et " Blind Alleys" avec son méchant directeur grippe-sou et hypocrite, sont les meilleurs sketches du film selon moi.

C'est bien pour cela que le film a rivalisé avec le film "Le Parrain" avec son 1,8 millions de $ au box-office, ça paraît pas énorme mais il est resté 2e au box-office américain pendant 7 semaines, ce n'est pas rien.

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Un peu moins bien que son prédecesseur malgré de gros moyens modernes, mais néanmoins digne d'être retenu dans les mémoires, surtout pour la partie avec l'Oiseau de feu.

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Avec des histoires sur un calife sympa, sur Ivan le Terrible et sur Jack l'Éventreur.

La deuxième partie est la meilleure, car l'acteur qui joue le tsar Ivan arrive à faire peur rien que par le regard.

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Quel est le Sens de la Vie ?

...

Même les Monty Python ne le savent pas et recherchent toujours le petit poisson.

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Dans cette adaptation des œuvres d'horreur gothique de Edgar Allan Poe, distingue la différence entre les deux réalisateurs :

La première partie progressive par George A. Romero ("La Vérité sur l'étrange cas de Mr. Valdemar") est du registre fantastique dans un cadre moderne ordinaire : un vieil homme possédée par des esprits revient à la vie pour tourmenter un couple de vivants dans une grande maison (et en plus, y a Tom Atkins de "La Nuit des sangsues" en inspecteur de police). On retrouve donc un film de mort-vivant mais moins gore.

La seconde partie plus rythmée par Dario Argento ("Le Chat Noir") est un thriller mais dans un cadre coloré et avec une musique synthétique et gothique lui donnant des allures de registre fantastique. On parle aussi d'un sadique qui hait les chats noirs, et tue son épouse mais se fait pincer par la police après l'avoir emmurée. À la différence que le coupable est un photographe macabre et qu'on rajoute une scène de rêve sur thème médiéval paganiste.

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Film à sketches sans interludes et composé de la façon suivante :

1) "Terreur à Topanga" : histoire de serial killer près d'une station-service un peu comme dans "Petits Cauchemars avant la nuit" de Carpenteret Hooper (dix ans plus tard, en 1993). Pas super original car a un plot twist assez conventionnel. Terreur nocturne assez commune en sorte.

2) "L'Évèque des Batailles" : même si y a le cliché du joueur accro aux jeux vidéos (J. J. Cooney, mais heureusement pas encore en mode "Les monstres du Labyrinthe" avec Tom Hanks), y a des effets spéciaux assez intéressant quand notre héros doit jouer au 13e niveau du jeu éponyme "IRL" tel un cowboy de l'espace. En plus, y a Emilio Estevez, connu pour son rôle du Sportif dans The Breakfast Club !

3) "La Bénédiction" : un prêtre perd la foi, ne reconnaissant plus la présence de Dieu et du Diable après avoir vu un enfant mourir. Alors qu'il quitte sa paroisse en voiture, il est agressé par un pickup noir comme vu par une puissance maléfique. "Peu d'élus sont soumis à des preuves matériels du divin comme à Lourdes, c'est pour cela qu'on parle de foi"
Serait donc sa foi en Dieu et Satan qui, chassée, reviendrait au galop sous la forme d'une voiture noir venue de l'Enfer pour le tourmenter ?

4) "La Nuit du Rat" : le meilleur sketch, avec une famille confrontée à des rats dans les murs, donc un Démon Rongeur à la fin (qui peut créer instantanément de gros trous dans la maison, renverser les grosses armoires et dévorer les chats). L'expérience de paranoïa par excellence. Et même si on peut dire "téma la taille du rat" géant incrusté sur fond vert, c'est la section la plus efficace du film.

Annotation :

Quelques allures de Contes de la Crypte du pauvre, mais on ne s'ennuie à aucun moment grâce à Carpenter.

Si "La Station service" n'est pas très original, "Les Cheveux du Docteur Miracle" a certes un perso auquel on compatit mais a une fin qui laisse un peu perplexe.

En revanche, Mark Hamill sauve le tout dans son sketch "Oeil pour oeil", avec son perso de pyschopathe, ses références bibliques et le renvoi (involontaire ?) à l'accident qui a forcé Hamill à faire de la chirurgie réparatrice après Star Wars 4.

À voir pour commencer Halloween. Spooktober, everybody !

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Adaptation du magazine du même nom.

Tellement bizarrement monté que s'en est presque bon.

C'est très WTF voire produit sous drogues par contre.

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Plusieurs histoires sur des Green Lantern (autres que Hal Jordan), avant de se battre contre Sinestro.

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"It's Good to be the King !"

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Pas vraiment un film à sketches d'horreur, mes les "histoires" au pluriel servent l'intrigue directement pour une mise en abime (et un voyage dans le temps court mais pesant d'un esprit de haine et de cupidité).

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Bryan Cranston dans "Bobo" !

Par contre, le sketch sur le tueur en série était bof...

Annotation :

Adaptation un peu édulcorée d'épisodes des comics "Tales from the Crypt" et "Vault of Terror".

Mais l’exécution britannique donne du tonus à l'ensemble (surtout le dernier sketch avec son artiste tuant ses ennemis à coup de "magie vaudou"). Le caveau de la terreur a aussi un plot twist génial et arrive à faire peur parfois rien qu'avec du suggéré.

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Sketch préféré : celui avec Lucy sur les dédoublements de personnalité.
Mais beaucoup de sketchs sont gâchés par leur sobriété pire que dans Le caveau de la terreur.

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Moins bon que le premier malgré des parties en animation, la faute à des sketchs manquant de moyens et mal exécutés. Une des créatures est juste une nappe violette mouillée qu'on fait passer pour un blob. Raté :'(

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Déjà un coup de cœur pour moi en matière de films à sketches. J'aime bien le concept d'histoires différentes avec un chat errant comme fil directeur.

"Desintox Inc" présente une compagnie de désintoxication du tabac prête à tout pour faire décrocher de l'addiction à la nicotine, quitte à torturer les proches d'un père fumeur pour lui faire pression. L'utilisation de "Every Breath You Take" est géniale et super appropriée étant donné qu'elle fait à la fois référence à la surveillance par un stalker et à la bouffée de cigarette (la scène d'hallucination est d'ailleurs hilarante et effrayante en même temps, car elle illustre bien les difficultés à arrêter de fumer). Étant moi-même non-fumeur (n'ayant fumé qu'une fois dans ma vie et arrêté immédiatement car je n'avais pas cette sensation agréable avec la cigarette), j'ai du mal à comprendre comme quelqu'un peut s'empoisonner avec ça sans poser à ses proches (le père fumeur me paraissait un peu connard et égoïste). Mais quand j'ai vu la dernière méthode employée par Desintox Inc., je me demande si c'est si mal de fumer au fond. C'est peut-être le défaut que je donnerais au sketch : qu'au fond, il veut montrer que c'est dur de se sevrer, mais je n'aime pas forcément la "diabolisation" de la cure.

"La corniche" met en scène un riche filou qui force l'amant de sa femme à longer une mince corniche autour de son appartement en hauteur de gratte-ciel. Le riche est un enfoiré manipulateur au bras long et au corps gras, et notre héros tennisman a beaucoup de mal mais autant de volonté à surmonter cette épreuve (rendu plus difficile par le riche connard à coup de jets d'eau et autres coups bas). Le tennisman fera payer à l'autre enfoiré au centuple (ou à peine mais ça suffira dans tous les cas.

"Le général" fait référence au chat du début qui fait aussi le lien entre les histoires. Dans la sienne, il doit protéger une fillette contre un lutin sortie du mur de la chambre d'une petite fille. Et quel lutin ! Armé d'un couteau, habillé comme un bouffon mais à mi-chemin entre le rat et le vautour de Dark Crystal, il peut voler l'âme des enfants. Heureusement, notre Général veille au grain.

Ce film est un combo parfait pour moi : suspense/épouvante, années 80, new wave/rock combinée à la musique d'Alan Silvestri aussi tournée aventures, chat mignon, et animatronique/costume détaillé pour le lutin. Plus des références à Christine et Cujo de Stephen King sans passer par la case Maine à tout prix. Tout pour me plaire !

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