Mes jeux SEGA Saturn

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C'était mon premier jeu SATURN, il était pour ainsi dire offert avec la console. Et quel jeu ! Aujourd'hui ça ressemble à une bouillie de pixel, mais à l'époque c'était une claque graphique. Je me souviens encore comme je frimais avec ce jeu. Je disais à tout le monde "Tiens regarde comme c'est beau." "T"as vu l'effet de lumière ? Les projections de sables ?" Certe il y eu des jeux techniquement mieux réussis par la suite, y compris sur cette console, mais comme ce fut pratiquement le premier jeu de la plateforme a avoir été développé (ça vient de l'arcade), on peut dire que la TEAM SEGA a vraiment bien bossé.

L'impression de vitesse était vraiment impressionante. Quand je suis passé de ça au lentissime Need For Speed ou encore Ridge Race, j'étais vraiment été déçu. Ce jeu m'a tellement marqué que moi qui suit un réfractaire au genre simulation de course, j'ai n'ai pu que m'intéresser aux jeux de Rally par la suite. Comme si j'essayais de retrouver les anciennes sensations. D'ailleurs niveau simulation, ce jeu était ardu. La moindre touche trop appuyée et ça tournait de trop. L'endroit où l'on roulait avait également une incidence. Ca peut paraître évident aujourd'hui mais à l'époque c'était une nouveauté.

Le jeu était objectivement dur mais on pouvait s'entrainer. Les choix de courses étaient assez limités également. 4 (ou 5 ?) circuits pour 3 voitures (dont 1 à débloquer). Et pourtant on ne s'ennuyait pas une seule seconde et à force de refaire on connaissait tout au millimètre près. C'était quasiment du pattern ! D'ailleurs je gérais tellement bien ce jeu que je jouais en transmission manuel. Un vrai roxxor :p

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Ce jeu est réputé comme n'étant pas très bon et la preuve que SEGA n'a jamais su faire de bon jeux de sports. Je ne suis pas d'accord de mon côté car j'adore tout particulièrement ce jeu et d'autres similaires pour la simple et bonne raison que la touche SEGA restera l'arcade et que Worldwide Soccer est une vraie-fausse simulation de sports.

Le jeu était super simple et tant mieux : deux boutons différents pour tirer (un normal, l'autre pour lober), un pour contrer (yeah les glissades à la Olive et Tom !!!), et un autre pour les passes. Je crois que c'est à peu près tout, même si je me souviens qu'on pouvait faire des passements de jambes et surtout la fameuse roulette qui ne sert à rien. On pouvait aussi changer la caméra et jouer en vue horizontale.

Le jeu est objectivement très moche mais pour l'époque (soit à la sortie de la saturn) ça ne se voyait pas. J'ai eu ce jeu avec la console et Sega Rally, autrement je ne l'aurai jamais acheté. Ce qui aurait été dommage car je prenais vraiment du plaisir à y jouer. Je crois que j'étais arrivé assez loin et que je m'étais même frotter au mode Hard.

L'environnement était quand même très pauvre et l'immersion n'était clairement pas ce qu'il y avait de plus réussi (peu de stades et toujours le même bruit de fond). N'importe quel FIFA met à l'amende ce jeu mais là encore ce n'est pas un jeu qu'on compare en dehors de ceux réalisés par SEGA. Pour un fan d'arcade comme moi, Worldwide Soccer était un très bon jeu et si les graphismes seraient moins rebutants aujourd'hui, je crois que j'y prendrais encore du plaisir.

Sinon je crois me souvenir que le Goal était un sacré clampin une fois géré par l'IA et qu'on pouvait faire de sacrés scores (ou se prendre de sacrées raclées) grâce à cela. Ah, et c'est le seul jeu de foot où vous pouvez faire en sorte qu'un match dure vraiment 90 minutes.

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Bon déjà avant de parler du jeu je trouvais l'intro absolument géniale (pour l'époque ça en jetait graphiquement et surtout niveau animation) et ça mettait direct dans l'univers fantastique du jeu. Il y a un vrai scénario derrière.

Ensuite pour un rail-shooter, c'était un jeu très original qui développait sa propre atmosphère et un gameplay qui le rendait unique à l'époque. Évidemment les musiques - souvent épiques - participaient bien à renforcer cela. Surtout que des musiques symphoniques ça n'était pas possible sur 16 bits. De plus est-ce que vous saviez que le design des dragons a été fait par Moebius en personne ?

Le jeu a mal vieilli aujourd'hui mais à l'époque c'était vraiment impressionnant. Comptant parmi les premiers jeux de la Saturn (et donc de la 32 bits) c'était l'un des rares à être complètement en 3D et ça en jetait pas mal.

Son système de lock des ennemis était novateur, sa caméra dynamique fort bien utilisée et le seul gros défaut ce serait finalement sa difficulté pas trop élevée, ce qui en fait un jeu assez court à l'arrivée. Le fait de ne pas avoir de stick analogique sur les premières manettes ne rendait pas toujours très agréable les longues sessions de jeu.

Mais même si j'ai laissé de côté le jeu avec le temps, c'était vraiment une superbe expérience de jeu. Grosse claque vidéoludique.

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Autre gros souvenir vidéoludique. Comparé à un jeu comme Clockwork Knight (que je jouais en démo), je pouvais enfin distinguer très clairement l'ajout de la 3D dans les niveaux. Le passage en colimaçon dans le deuxième niveau était réputé pour montrer cela justement.

Jouer à Pandemonium pour l'époque c'était vraiment rentrer dans un autre monde et personnellement je ne jouais que pour admirer les graphismes. Ce n'était pas un mauvais jeu pour le reste mais la difficulté était aléatoire, le personnage jouable du "bouffon" sans grand intérêt et dans l'ensemble je n'avais pas envie de passer tout mon temps sur ce jeu. Mais ça reste quand même un très bon jeu pour l'époque et qui pour le côté nostalgique vaut la peine d'être rejoué.

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Bon on oublie la 2D et désormais bienvenue à la 3D. Sorti peu de temps après le 1 (premier jeu console en 3D) c'est désormais un jeu culte. Certe ça parait très "rectangulaire" aujourd'hui (et encore regardez le 1) mais au niveau du gameplay c'était un régal. Des coups complètement différents selon les persos, une palette de coups incroyables pour l'époque, un véritable jeu technique qui n'avait rien à voir avec ceux de l'arcade. Quand on passe de ça à Tekken, on se demande si c'est le même genre de jeux.

Je n'ai pas tant que ça joué à la version originale car par la suite je préférais y jouer dans la compilation Fighters Megamix dont je parlerais plus bas. Mais Virtua Fighter démontre que SEGA possède un talent au moins comparable à CAPCOM pour ce qui est d'innover dans les jeux de bastons. Faut l'avoir connu mais c'était une vraie claque technique pour l'époque.

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C'est bien parce que ce jeu est sorti sur SATURN qu'il n'est pas plus connu. Attention : jeu fun à mort ! Oubliez vos Tekken, Bloady Roar et j'en passe, voici le meilleur jeu de combat orienté ARCADE. La vitesse du jeu était incroyable pour l'époque. Il y avait plein de nouveautés qui en faisait un jeu différent. Fighting Vipers était le premier à intégrer le systèmes des "Armures" qui se cassent et c'était vraiment jouissif. On avait une palette de coups très puissants qui permettait d'accélérer l'usure et dans les combats on essayait tous de les sortir au bon moment. Réussir à détruire l'armure dès le premier round c'était presque la victoire assurée. Aussi c'était le premier jeu où on pouvait envoyer l'ennemi s'exploser dans le décor. Eh puis graphiquement c'était beau avec une animation super fluide. Ah et comme d'hab les musiques étaient entrainantes comme tout.

Fighting Vipers est un jeu bien nerveux comme il faut. On a des persos tous très différents, des coups et des combos qu'on mémorise vite et surtout un jeu qui ne se prenait pas au sérieux et misait sur l'action. Il n'y avait que SEGA pour réaliser ce type de jeu. Pour moi c'est le meilleur jeu de combat auquel j'ai jamais joué, et pourtant j'en ai testé d'autres surtout sur PS1. Mais quand on a goûté au savoir-faire de SEGA en la matière on a vraiment du mal à aimer le rester. J'ai encore récemment joué à Fighting Vipers II en émulation sur Dreamcast et j'ai eu du mal à m'arrêter. Une vraie réussite mais connue par trop peu de gens malheureusement.

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C'est pratiquement l'autre grand jeu de course de la SATURN, sorti d'ailleurs en même temps que Sega Rally. Enfin comme ce dernier, il est graphiquement dépassé et il était déjà moyennement beau à l'origine. Mais là c'est de l'arcade pur donc c'est limite hors-sujet.

Car bon sang que ce jeu était fun. Les circuits étaient complètement tordus et ça innovait dans pas mal de choses encore. Si je ne raconte pas de bêtises, ce jeu était le premier à intégrer autant de collisions des dégâts. En regardant une vidéo on pourrait se dire que ce jeu ressemble beaucoup à Destruction Derby, mais c'est bien Daytona qui est sorti en premier et qui a inspiré tous les autres. Vraiment je pense qu'il faut y avoir joué pour comprendre.

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Si Pandemonium montrait ce pouvait faire la 3D dans un jeu de plate-formes, dites-vous ce que j'ai pu ressentir en voyant Tomb Raider. Oh...my... god ! Que c'est beau ! C'est incroyable, tout est en 3D. On peut bouger à 360° c'est complètement fou ! Et regarde les scènes cinématiques Ahhhhhh !!!! Enfin bref, quelque chose de ce genre là.

Alors bon aujourd'hui c'est certes tout moche et pixelisé à regarder mais quelle claque graphique et simplement technique c'était pour l'époque. Tout était génial dans ce jeu, même les défauts (un nombre de bugs impressionnant). C'est avec Tomb Raider, bien plus qu'un Sega Rally ou Virtua Fighter, que j'ai compris ce que pouvait signifier un jeu entièrement 3D.

Tomb Raider n'était pas qu'une prouesse technique, c'était aussi l'invention d'un genre nouveau : le jeu de plate-formes aventure à la mode badass. Parce que oui, Tomb Raider était plutôt difficile avec des énigmes à faire chauffer la cervelle et des sauts au centimètre prêt. L'aspect aventure était prédominant avec des musiques (vraiment épiques) adaptés à la situation. Un monstre vous attaquait et la musique changeait. Parfois dans le sens inverse, ce qui augmentait le stress. Tout ça c'était plus ou moins nouveau et faisait qu'on était vraiment pris dans le jeu. Combien de fois j'ai refait le deuxième niveau rien que pour l'arrivée du T-Rex.

Jouer à Tomb Raider à l'époque c'était expérimenter les nouveaux jeux à venir.

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La découverte du survival horror ! Je me souviendrais toujours de ce début de jeu. Je sors de la salle avec le pendule, j'avance dans le couloir et je tombe sur le cinématique avec le zombie. Et le voilà qui commence à s'avancer vers moi. Merde qu'est-ce que je fait ? Ah, je panique et après c'est que du classique. Voilà, c'était ça Resident Evil. On avait tout simplement jamais joué à ce genre de jeux auparavant. Un jeu mature et à l'ambiance oppressante.

C'était un jeu prenant et stressant à la fois. Tu voulais vraiment avancer, découvrir l'histoire, les nouvelles salles, avoir les nouvelles armes mais à chaque fois tu flippais. Un peu moins avec le temps mais quand même. Eh puis ces bruitages horribles (les pas des Hunters qui courent vers toi) et les musiques qui n’arrangeait rien. Le côté très cinématographique du scénario et des caméras fixes apportait aussi un gros charme au jeu.

Le jeu était très rigide (on était obligé de s'arrêter pour tirer) mais c'était toujours au bénéfice du côté horrifique du jeu. Eh puis le fait d'avoir plusieurs fins et façons d'avancer dans le jeu ça motivait à le rejouer. Et en général on adorait le refaire même si on connaissait tout par cœur ou simplement pour relever des défis et avoir le lance-roquette infini (que j'ai eu à ma première tentative !).

Grosse claque dans la gueule que ce jeu. A noter que la version Saturn est bien meilleure, plus sombre que la version PSX. Par contre la localisation était minimale et donc le plus souvent en anglais. Un gros défaut des jeux saturn.

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Un jeu qu'on m'a offert à Noël et que je n'aurais jamais acheté autrement, ce qui aurait été bien dommage vu que c'est un jeu culte de la Saturn. C'est un genre de jeu assez part et il faut vraiment y jouer pour comprendre. C'est une espèce de course/parcours à franchir dans les temps histoire de passer le niveau et à la fin il y a un boss à éliminer. Mais c'est vraiment plus riche que ça niveau gameplay, surtout que tu peux aussi ne pas rentrer dans le personnage de Nights et juste te balader au sol (avec le réveil qui te poursuit). Enfin c'est vraiment compliqué à expliquer. Il y avait du scoring à faire mais Il fallait surtout avancer avec du style d'une certaine manière.

Les gros points forts du jeu, outre son indéniable originalité, c'était ses graphismes somptueux et colorés, son atmosphère et ses musiques, sa vitesse folle digne d'un jeu d'arcade. Le plus gros défaut c'était de te casser les pouces sur ta manette sans joystick (à moins de t'acheter la très chère manette spécifique au jeu). Sérieusement : je souffrais. D'une certaine manière le jeu est assez court aussi mais c'était pas plus mal.

Un jeu à essayer, même en émulation.

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C'était mon premier FPS et j'en garde un souvenir impérissable. J'ai vais vite parler du défaut principal du jeu qui est que graphiquement les ennemis étaient un amas de pixels dès que tu t'approchais d'eux. Par chance il existe depuis une version HD.

Mais tout le reste c'était génial. Le jeu est uniquement solo et a pourtant une très bonne durée de vie. Parce que c'est un jeu assez dur (plus encore sur la version Saturn) et labyrinthique mais carrément prenant. Tu voulais vraiment tout découvrir et de toute manière tu devais le faire vu que le jeu fonctionnait sur le principe de revisiter les anciens niveaux mais armés d'un nouvel objet. En plus ce jeu est bourré de passages secrets et tous les trouver ça sans soluce relevait d'un sacré défi (en parti relevé par moi). Et là encore il valait mieux les chercher car ça t'aidait pas mal d'attraper ce qu'on y trouve. C'est donc un jeu avec une excellente difficulté. En plus il proposait plusieurs fins possibles.

Ensuite bah l'univers de l’Égypte ancienne est juste génial et parfaitement retranscris. Les musiques sont très bonnes et pas du tout soulantes. J'adore m'écouter l'OST encore aujourd'hui.

Ce jeu est un petit bijou et un peu une madeleine de Proust pour moi. Parce que réussir un FPS solo (avec une bonne dose de plateformes) c'est quand même pas évident et ce jeu y arrivait à la presque perfection.

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Ce jeu est la référence de ma génération, d'ailleurs on appelait les FPS des Doom-like. Ceci dit, et de toute évidence, ce n'était pas mon premier jeu de ce genre puisque je l'ai découvert à travers sa version Saturn sortie en 1997 et que l'original date de 93 !

Le portage Saturn possède l'avantage de regrouper tous les nombreux niveaux des versions déjà sorties entre temps donc grosso modo j'avais aussi Doom II mais je dois dire que la différence avec le I ne m'a jamais sauté aux yeux. Probablement car j'y ai joué assez tard, ce jeu ne m'a pas autant marqué que d'autres en outre que je le trouvais assez difficile et que mon passe-temps favori restait encore de découper les ennemis à la tronçonneuse. L'ambiance était quand même unique et démontre que dès le départ ce jeu était vraiment novateur et addictif.

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Découvert sur saturn, c'est devenu très vite un de mes jeux culte. Je me souviens pratiquement par coeur du premier niveau.

Duke Nukem 3D innovait par son humour baroque et salace (non censuré sur Saturn) mais aussi graphiquement (même si à l'instar de Doom les ennemis en se rapprochant ressemblaient à un tas de pixel) et le fait qu'on pouvait détruire le décor. Le tout fournissait une ambiance unique pour l'époque.

Pour le reste j'ai tout de même trouvé le jeu assez dur et il m'a fallu tricher pour le finir. Je peux toujours blâmer le fait que j'y ai joué à la manette mais sur d'autres jeux je m'en sortais assez bien, donc...

Sorti tardivement, l'avantage du portage sur Saturn c'était qu'il était à mon sens bien meilleur que celui sur Playstation.

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Fighters Megamix est une idée de génie de plus de la part de SEGA. Sorte de compilation Spin-off entre les deux mastodontes de fighting game que sont Virtua Fighter et Fighting Vipers, ça donne le meilleur jeu de combat jamais réalisé sur les consoles première génération *. Quoi j'ai déjà écrit pareil avant ? Oui mais comme c'est l'association des deux c'est donc forcément meilleur que les meilleurs. Enfin pas sur tous les aspects mais c'est normal quand on fait un mélange aussi particulier.

Parce que entre les persos ultra-speed et arcade de Vipers et ceux très techniques de Virtua Fighter, on se retrouve avec la meilleure combinaison possible surtout pour qui veut mesurer les styles. Fighters Megamix c'est aussi un nombre franchement impressionnants de combattants pour l'époque car les développeurs en ont rajoutés beaucoup d'autres, pour la plupart issus d'autres jeux qui n'ont souvent rien à voir.

Comme la SATURN ne cartonnait déjà plus depuis un bail, ce jeu est resté culte pour tous ceux qui l'ont eu. Un indispensable de la SATURN qui vous évite en plus d'acheter tous les autres jeux de combats présents sur la plateforme.

* Bien que les Rival Schools avaient l'air bien fun, mais je n'ai découvert que plus tard.

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Je pense qu'il fallait que ce soit un jeu de basket pour que j'arrive à m'intéresser à un jeu de simulation sportive. Du Basket j'en faisais et je connaissais bien le milieu de la NBA (collections de cartes, posters de partout et abonnements magazines, la totale quoi !). Je n'ai connue que celle-ci - de simulation - et elle me convenait parfaitement.

Je ne sais pas trop quoi dire d'autre si ce n'est que hormis le fait de trouver les graphismes un peu minuscules (forcément si on compare à NBA Jam), tout m'avait bien plu. Je crois aussi qu'il y avait un mode spécial All Stars Game avec les traditionnels concours de lancers-francs ou de dunk. Honnêtement très bon jeu, mais ça remonte à loin et j'aurai du mal à rentrer dans les détails.

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Voilà un jeu de course graphiquement similaire à Sega Rally (mais en mieux) et dans l'ensemble plus proche de Daytona USA puisque franchement un jeu arcade. Un mélange intéressant mais à qui il manque une certaine variété. En tout cas c'était le plus beau graphiquement parlant, mais surtout celui-ci était le plus rapide des deux. Que dire d'autre sinon à part que les musiques étaient fun au possible (et typiques de la SEGA TEAM).

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Tout gamer qui se respecte aura au moins connu les trois déceptions vidéo-ludiques suivantes : Le jeu qu'on a adoré et dont la suite est complètement catastrophique, le jeu sans doute absolument génial mais qui n'a jamais été localisé ou sorti sur la console qu'on possède et là dans le cas présent le jeu super bien noté dans les magazines et qui s'avère être une véritable daube.

A l'époque de la Saturn, il n'y avait que la revue MEGAFORCE à être 100% SEGA et on peut imaginer un minimum de copinage avec les éditeurs pour qu'ils continuent à rentrer dans leurs frais vu que la Saturn marchait de moins en moins fin 1997. Quoi qu'il en soit, après la bonne surprise de la démo de Steep Slope Slider je m'étais dit qu'un jeu de sports d'hivers très complet et orienté arcade à la manière de SEGA allait me satisfaire. Ainsi la bonne note du magazine aidant je suis allé l'acheter en neuf.

Au final la plupart des épreuves étaient sans intérêts (le curling...) et si graphiquement ça pouvait aller, tout le reste était raté. Aucune impression de vitesse véritable et maniabilité catastrophique : pas de quoi s'amuser longtemps. En plus c'était dur. Je m'essayais presque toujours à l'épreuve de ski à vitesse, la moins pire du lot, et impossible de faire quelque chose de correct. Pour les figures n'en parlons (pouvait-on seulement en faire ?). Le pire c'est qu'il n'y avait même pas de mode entrainement histoire de répéter les courses.

Un jeu tombé dans l'oubli et c'est bien normal (bien que bizarrement on continue à en dire du bien...). Enfin ce n'est pas ça qui a sauvé la Saturn et encore moins les gars de chez MEGAFORCE.

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GROSSE BOUSE !

Franchement dans l'idée c'était pas mal. Sonic c'est lié à la vitesse à la base donc en faire un jeu de course pur et dur eh bien pourquoi pas. En plus graphiquement le jeu est pour l'époque loin d'être moche, on ne peut pas lui enlever ça. On retrouve la patte de SEGA.

Mais alors tout le reste... entre la musique dance complètement décalée, les courses labyrinthiques au possible, les personnages inégaux (donc celle qui est en voiture est la plus lente, ok...) , et surtout le fait qu'il est impossible d'avancer droit sans déraper... c'est juste injouable et crispant.