Mon Top 1960 des meilleurs films

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Immense classique du cinéma italien et mondial, La Dolce vita est aussi un chef-d'oeuvre. Un film sur la vacuité, sur la vie nocturne romaine et la célébrité en suivant les virées de Marcello Rubini journaliste mondain dans les rues de Rome, les soirées des jet-seteurs. Beaucoup de scènes d'ivresse, avec les musiques, les actrices qui dansent et évidemment la finalement courte scène de la Fontaine de Trévi. Le texte est poétique mais surtout mélancolique, les dialogues sont un plaisir en soi, le récit est elliptique car sans réel fil dans la continuité. La réalisation de Fellini est rythmée par son montage dans les moments d'effervescence ethylisée, l'objectif de la caméra virevolte dans ces passages et le noir et blanc tout en constraste. Marcello Mastroianni parfait dan ce type de rôle est accompagné de superbes actrices.

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Un classique parmi les classiques, Ben-Hur possède un souffle épique comme rarement atteint. Les scènes grandioses se succèdent, avec la bataille navale, l'arrivée à Rome, La course de chars et j'en passe. Gigantesque travail pour les décors, les costumes et autres accessoires, le casting est prestigieux et le scénario est bien remplit.

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Une des meilleures comédies de l'Histoire. Tout y est parfait, des dialogues subtils, drôles et romantiques au personnages qui sont fabuleux en particulier celui joué à merveille par Jack Lemmon, Shriley mac Laine est à l'avenant. Bref, un chef-d'oeuvre.

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Un thriller vraiment fascinant. Hommage au cinéma, mise en abîme et une réalisation hyper inspirée, des couleurs frappantes tant dans les costumes que dans les nombreux jeux de lumières. Une histoire osée pour l'époque, des personnages très intéressant psychologiquement parlant. Seul petit reproche (mais qui ne gâche en rien ce film) les acteurs forcent un peu le trait dans leurs jeux.

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Immense chef-d'oeuvre, un de plus pour Ingmar Bergman. Ce conte médieval et mystique raconte une histoire forte parfois même cruelle avec l'utilisation d'une symbolique religieuse subtile mais pas uniquement on ressent d'autres influences. Les images crées par le réalisateur impressionnent véritablement l'écran pas seulement grâce au superbe noir et blanc mais aussi par la création de cadres tour à tour bucolique, baroque voir même gothique. Puis, il y a les acteurs comme possédés lorsqu'ils jouent sous la direction du maître suédois.

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Un grand drame et classique du cinéma italien que ce Rocco et ses frères. Luchino Visconti en trois heures élabore une saga familiale qui oscille entre tragédie et oeuvre sociale sur les classes laborieuses. Le script est construit en 5 chapitres qui se concentrent (légèrement) chacun d'eux sur les 5 frères de la famille Parondi, c'était un procédé pas si souvent vu à l'époque. La réalisation est certe académique (sans grand moment de virtuosité) mais il y a une atmosphère créée par ce noir et blanc et par les lieux de tournage (des taudis, des rues malfamées, ...). Très plaisant de voir une telle affiche avec des acteurs et actrices que j'apprécie beaucoup.