Plus de 100 heures sur un jeu

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Mon tout premier jeu vidéo et une merveille absolue en terme de diversité de gameplay, démontrant tout le talent de Nintendo dans l'immédiateté du fun et la richesse décomplexée de l'aventure.

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Mon jeu préféré encore et toujours, un monument d'heroic fantasy, un conte de fées interactif, une aventure à la fois grandiloquente et mélancolique, peut être l’œuvre de divertissement la plus mémorable de mon enfance, un absolu chef d’œuvre.

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Un titre qui avait été une vraie déception à sa sortie et qui ne cesse de gagner de l'intérêt au fil du temps grimpant de plus en plus dans mon échelle d'appréciation personnelle des Zelda. Œuvre la plus originale, audacieuse et ambiguë de la série, elle doit sa réussite autant à l'excellence de son gameplay qu'à la qualité de son ambiance interpellant plus que tout autre titre de la série (voir même titre de Nintendo) l'empathie du joueur dans une aventure n'hésitant pas à malmener psychologiquement le joueur et à traiter intelligemment du deuil et de la séparation.

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S'il m'a fallu beaucoup de temps pour y jouer à cause de stupides préjugés sur son style graphique, je ne me suis pas fait prier pour le recommencer et me replonger dans cet univers attendrissant, cet appel à l'aventure et ce regard en arrière toujours aussi nostalgique. L'immensité de l'océan m'a par contre toujours empêché de finir le jeu à 100%

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Le seul RPG Japonais que j'ai recommencé deux fois (faut dire, ils sont tellement longs les saligauds!), il y avait toutefois une vraie replay value à refaire l'aventure avec le sort funeste qui pouvait attendre l'un des personnages et le retour inespéré d'un autre.

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Le meilleur jeu d'action jamais crée, surpassant tous les autres dans l'extraordinaire variété de son action et un rythme parfaitement maitrisé, le tout au fil d'un scénario nanardesque ayant le mérite de ne pas se prendre au sérieux. Je ne compte plus les fois où je l'ai recommencé sans compter les heures sur le mode Mercenaries, l'ultime jeu du fun retourné dans tous les sens et il en valait la peine le salaud!

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L'excellent niveau dans le monde du Crépuscule a été ma meilleure motivation pour recommencer si souvent ce volet, assez décevant au demeurant.

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Le jeu que j'ai recommencé le plus souvent sur cette génération, la formidable replay value proposée par Bioware, l'engouement immédiat suscité par le sentiment d'être le porte parole de l'humanité et cette impression d'appropriation de l'aventure, tout le talent de Bioware dans leur ultime jeu avant que ne survienne leur déchéance.

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C'est principalement portée par la continuité avec le premier opus et ma fascination pour cet univers que j'ai recommencé aussi souvent ce jeu mais la magie s'était déjà bien détériorée autant dans son gameplay peu immersif que dans son ambiance bien plus fade et convenue.

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Mon jeu multijoueur préféré. Une merveille de divertissement dans un état d'esprit sympa et décomplexé, loin de l'aspect rébarbatif et caverneux des Counter Strike. Un style graphique en cell shading immédiatement amusant, un humour absurde, une focalisation sur la coopération davantage qu'à l'exploit personnel et une diversité géniale des classes proposées m'ont fait rester avec plaisir sur ce jeu 400 heures durant. C'était toutefois avant le free to play et sa horde de nouveaux venus, le système de magasin rendant les parties bordéliques et déséquilibrées et une perte considérable de l'ambiance sympa du jeu. Dommage.

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Recommencer deux fois (il faut avoir de la motivation car le sentiment de redite est très présent passé la surprise de la découverte) + le temps passé sur les deux extensions : Liberty City et son amertume sur la désillusion du rêve américain m'auront accaparés longtemps.

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Le choix peut surprendre mais il s'agit en réalité d'un des rares Final Fantasy que j'ai recommencés, bien des années plus tard, afin de lui donner une nouvelle chance.

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En incluant le multijoueur.

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Le meilleur Open World jamais crée (en tout cas pour ma part à l'époque :p) , le jeu est d'une telle richesse, d'une telle variété et d'une telle qualité dans son contenu qu'il en est stupéfiant. Et le jeu se paye en plus le luxe d'avoir un sympathique mode multijoueur, sorte de Second Life dans la peau d'un gangster.

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En incluant les DLC.

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Recommencé à deux reprises, 100% atteint et en incluant également les DLC.

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En cumulant mes parties sur console et PC.

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Recommencé à deux reprises, tous les Sanctuaires trouvés et en incluant également les DLC.

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De toute façon, il faut au moins 100 heures pour finir ce sacré nom de jeu chronophage. :p

Annotation :

En incluant le mode multijoueur.