Plutôt que de faire des remake douteux de chefs d'oeuvre, pourquoi ne pas partir de séries B ou Z qui auraient pu être des chefs d'oeuvre ?

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Sur une lointaine planète polaire, des garnisons abandonnées en plein conflit galactique doivent lutter contre les armes qu'ils ont créées : des robots découpeurs que leur IA a rendu incontrôlables. Un excellent script de l'auteur Philip K.Dick (à qui l'on doit rien que "Blade runner" et "Total Recall") mais des effets spéciaux affreux, une mise en scène très inégale et un rythme trop faiblard.

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Des thèmes intéressants abordés intelligemment (la surpopulation, la privatisation et automatisation des prisons, la vie carcérale dans le futur...) gâchés par une mise en scène mollassone et un low-budget flagrant. Et quelques scènes quand même hyper nanardes (cf l'évasion finale) !

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Dans un univers cyberpunk assez cheap, un courtier qui convoit des Go de données cruciales dans son cerveau est traqué par des yakuzas du futur et un terrifiant chasseur de prime gonflé aux implants accélérateurs de métabolisme. Script captivant, quelques décors passables mais mise en scène inadmissible, jeux d'acteurs insupportables et des péripéties et un final franchement honteux.

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Tandis qu'une vague d'enlèvements inquiète New York, des égouts émerge une race d'hideux mutants affamés de chair humaine, dont l'origine vient d'un secret d'état jalousement gardé. Rob Zombie a un temps envisagé le remake de cette série B oubliée, dont le concept était déjà plus profond qu'il n'y parait.

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Apologie du Grand N'importe Quoi, acte 1 : le film qui a stoppé net l'ascendance de carrière de Tobe Hooper (après les définitivement cultes "TCM" et "Poltergeist") dispose d'un scénario qui part dans tous les sens et se perd en voulant trop en dire, mais qui est loin de manquer de bonnes idées.

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Apologie du Grand N'importe Quoi, acte 2 : là encore, trop d'idées (même excellentes) pour un seul film tuent le film. Je reste persuadé qu'il a plus ou moins directement inspiré des films de bien meilleure facture (Invasion Los Angeles notamment) !

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Dans un musée de cire, des jeunes se retrouvent transportés au milieu de divers tableaux illustrant divers Monstres dont certaines célébrités : Dracula, Mr Hyde, Le Fantôme de l'Opéra.

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Un village des Balkans est investi par la Wermarcht durant la Seconde Guerre Mondiale, qui va s'installer dans la très inquiétante forteresse voisine et malencontreusement réveiller une terrifiante entité maléfique...
Le film maudit de Michael Mann, amputé de sa moitié par des salauds de producteurs. Reste un film intéressant qui alterne des scènes glauques et fascinantes et d'autres plus soporifiques, avec un final franchement nanardesque (OMG le coup de vieux des FX -_-*)

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L'un des plus gros échecs du cinéma américain avait pourtant un synopsis franchement intéressant et toujours très actuel. Mais le budget pharaonique fait toujours très très peur et, je pense, va repousser un éventuel remake à très très longtemps...

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Le bush australien abrite de bien dangereuses bêbêtes. Dont un sanglier géant de très très sale caractère. Et deux frères crasseux complètement cinglés... L'idée fonctionne, et vu la pléiade de daubes horrifiques qui inondent nos écrans, un remake de cette obsolète mais originale série B oubliée pourrait ne pas être une si mauvaise idée que ça...

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Adapté de la très outrancière BD du même nom, gros délire post-apocalyptique mixant film et séquences animées, avec quelques idées crédibles (la guerre de l'eau potable) et un cumul d'idées très farfelues (les hommes-kangourous, le méchant joué par Malcolm McDowell, certains décors...). Franchement, vu le délire assumé et les partis pris, ça aurait pu être beaucoup plus réussi, et une réadaptation de qualité pourrait dépoter sévère !

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Un des plus célèbres nanars du 7ème art, qu'il n'est plus la peine de présenter !

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Une idée très sympathique à la base hélas pas exploitée à sa mesure ! La faute aux dialogues creux et niais, aux FX dépassés, et à une mise en scène bien trop mollassonne et inoffensive. Cela dit, il serait pas si évident de prendre la relève de Julian Sands dans le rôle-titre.