Pourquoi voir ce film

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Comparer avec celui de Rossellini

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Comparer avec celui de Tourjansky

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dialogues magnifiques et seconds rôles superbes

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Danielle Darieux, superbe de beauté et de talent.

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Charley Bowers, inventeur farfelu, mêlant prises de vues directes et animation d'objets.

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Charley Bowers, inventeur farfelu, mêlant prises de vues directes et animation d'objets.

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Bonnie and Clyde avec dix-huit ans d'avance et encore plus de trouvailles visuelles.

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Fritz Lang prouvait qu'un film de propagande pouvait être intelligent avec ce thriller antinazi, tendu et efficace. Il sublime le discours parfois manichéen du scénario par une mise en scène en clair-obscur qui transforme le hors-champs en menace permanente et suggère la porosité entre le Bien et le Mal.

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Le plus beau film fantastique de l'histoire du cinéma? L'art consommé de la suggestion, l'élégance de faire peur avec un rien, une ombre, une main posée sur une balustrade.

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Un film noir apocalyptique qui annonce David Lynch

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Un thriller politique si corrosif qu'il ferait passer le série House of Cards pour un épisode inédit des Bisounours.

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anti-western politiquement incorrecte de la conquête de l'Ouest où le racisme n'était pas dirigé que contre les Indiens

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petit bijou d'humour noir vraiment original

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Julianne Moore: " L'identité de ces personnages est souvent liée à leur vêtement, qui racontent une histoire. Ça aussi, ça me fascine."

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"C'est un film de fou sur les fous. C'est donc un film d'une beauté folle." Jean-Luc Godard

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" J'ai réfléchi et j'ai eu l'idée d'inscrire les comédiens dans des extraits de films époque, grâce à un système de rétroprojection."

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N'est pas Kubrick, n'est pas Haneke qui veut. Les noces de l'ultraviolence et de l'ultraformalisme sont un exercice qui ne peut se limiter à une bravade. Ici, les intentions sont si grossières, si naïves, qu'elles réduisent le film à un cliché, une provocation de jeune cinéphile cérébral et un peu décérébré.

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1958, Tony Curtis est le seul a accepter de travailler avec un Noir, Sidney Potier.

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Comment faire cohabiter le devoir de mémoire et la vie? Mélanger le passé tout en construisant l'avenir? Émouvante, cette chronique du souvenir rend palpable le long travail de cicatrisation. Mais agaçant l'omniprésence d'un commentaire lyrique et pompeux, qui en rajoute dans le pathos.

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Mise en scène d'une élégance et d'une précision extrêmes, Ophuls filme un grand amour malade, totalement fantasmé, eut-être rêvé par l'héroïne. Joan Fontaine, jamais mièvre, toujours ardente, une des plus belles héroïne du grand Max.

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Danielle Darrieux, une des plus belles héroïne du grand Max.

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Quatre Iraniennes opprimées par les hommes et le pouvoir. Un film audacieux et engagé.

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Inventivité visuelle étonnante?

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Une expérience psychédélique pou de la science fiction à l'ancienne.

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fertile mélange des genres: chronique intimiste, montage d'actualités, reconstitution et séquences baroques

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film plutôt astucieux sur une époque où les question de décolonisation, du racisme et du choc des cultures déboulent au-devant de la scène médiatique

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film grave et loufoque, poilant et poignant, triste et optimiste, presque aussi rare qu'un gamin amoureux d'une vieille dame.

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interdit en Chine et distributeurs japonnais découragés par menaces d'extrême droite

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Tian Zhuangzhuang réduit au silence après ce film

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Toujours pas vu?!