Prix Ryder White de la fin bidon

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J'ai créé cette liste rien que pour ce jeu à vrai dire.

Donc, à la fin, vous alliez donner l'antidote à Ryder White, MAIS IL EST ASSEZ IMPATIENT pour vous gazer dans l'ascenseur et aller directement le prendre, annonçant au passage vouloir envoyer une bombe atomique sur l'ile. Et c'est COMME CA qu'il devient le méchant...
Ensuite, on se tape LITTERALLEMENT des couloirs entiers remplis de monstres dont certains n'ont RIEN A FOUTRE ICI (les noyés), pour arriver à un showdown final où White envoie de nulle part une milice pour vous tuer, puis quand vous êtes enfin façe à lui, techniquement 7 CONTRE 1 (Vous vous déplacez à 4 même en solo + le nerd + la tribale + la garagiste) ET SON FLINGUE VOUS INTIMIDE ? Ah, désolé, c'était pour un moment de bravoure random, puis un sacrifice de la garagiste.
A CE MOMENT PRECIS, je suis prêt à tout oublier parce que White s'est fait mordre par sa femme et qu'il est forcé de s'inoculer le vaccin, ce qui avait le potentiel de faire un dilemme tire-larmes bien foutu, ainsi que de justifier la "méchanceté" de White. AVAIT, car il se l'inocule SANS BRONCHER et, évidemment, c'était un vaccin accélérant la mutation et le transformant en boss final...

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Tu passes ton temps à essayer de sauver le monde, juste pour que le jeu ne te laisse pas le finir sans LITTERALLEMENT DEBLOQUER LE MAL QUE TU VIENS JUSTE D'ENFERMER, et ce JUSTE POUR LA VIE D'UNE MEUF. Et le jeu se finit sur cette meuf qui te demande pourquoi t'as fait ça. Et la vraie fin est EN DLC. PAYANT. NON DISPONIBLE SUR PC.

J'ai falli suivre le jeu par The Last Of Us, dont la fin avait le même principe, mais après avoir pesé le pour et le contre, je me suis rendu compte que Joël, lui, avait sans doute eu raison d'hésiter, et même s'il n'a pas l'honnêteté d'assumer son choix en façe d'Ellie, sa catastrophe à lui était sûrement moins réversible et son vaccin trop lent pour avoir un quelconque sens. Pour résumer, je pensais que c'était une fin de merde, je pense toujours que le jeu donne trop la place à la spéculation, mais la deuxième lecture est plus intéressante que "Joel est un putain d'égoïste". TAKE THAT, PRINCE.

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A la fin ,on vous montre que vous avez réussi votre objectif. Et après ? Les Conséquences ? Des réactions ?


Que nenni, le jeu se termine sur ça, même pas d'encart ou de texte.

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Euhh... La dernière fois que je m'en suis souvenu parfaitement, j'avais rigolé. La moitié du jeu en cinématique pour un truc aussi gros. Mention spéciale pour la fin où le méchant était en fait manipulé par un autre méchant qui était lui-meme manipulé par un autre méchant qui se fait contrôler par son bras. Ah oui, et la toute fin, quand t'apprends que les Patriotes n'existaient PAS...

Ah oui, et on se tape un duel d'épée contre le président des États Unis qui est notre père (je crois)

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On te hype sur l'Arche, l'objet super mystérieux, et sur le fait que si tu bats le gros monstre bien chiant, tu vas pouvoir rentrer dedans... Sauf que non, tu rentres pas, et c'est reparti pour 200 ans.

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Sans Extended Cut, c'est effectivement un énorme foutage de gueule. La couleur de l'explosion, Joker qui est prêt à repeupler une planète avec ton love interest...

Avec, ça reste vraiment décevant. Le catalyseur annule tout ce que tu as vécu et t'offre des choix qui ne sont en effet pas des happy endings, mais qui restent bien décevants vu les choix, les dillemes, les sacrifices déjà effectués. J'aurais aimé la fin si elle ne concluait pas la trilogie, mais un seul jeu.

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T'es mort, mais en fait non, et tu es candidat à la présidence. Comme il le dit lui-même : "What kind of shit ending is that ?"

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J'ai pas du tout aimé la manière "anticlimatic" de la destruction de la terre. La fin est pas du tout épique par rapport au début et sa "bonne version" ne suffit pas à masquer l'impression d'avoir fait le tour de la chose. Et puis, que vient foutre Jane Austen à part être un narrateur surprise ?

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Mon Frère :"Mouhaha, je suis un tyran, mon frère, et tu ne pourras jamais me renverser !"

*Libération du royaume*

Moi : "Bon, je dois choisir si je te tue ou pas"
Mon Frère ; " Mouhaha, ça ne changera rien, je reprendrai le pouvoir car tu ne saura pas gouverner !"
Moi : "Bon, t'es quand même mon frère, je te gracie"

(S'ensuit la phase de collecte d'argent bidon)

Mon Frère : "Bravo frérot, t'as sauvé le royaume. Merci de m'avoir jarté au bon moment !"
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WTF ?

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Ce sont des démos tournantes de quelques secondes de tous les niveau... MERCI D'AVOIR JOUE ENCULE

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Le Boss final est un moment de bravoure bien fichu qui sembre préfigurer la Lara Croft que l'on connaissait. Mais bon, sur le bateau, elle veut plus d'aventure alors que rien ne disait avant qu'elle aimait ce qu'elle faisait (bien au contraire, c'est le principe du jeu). La survie, ce n'est pas un jeu... Mais le truc le plus cheap, c'est l'encart à la fin qui dit sobrement " A survivor is born" (ce qui est basiquement le slogan publicitaire du jeu)... Enfin, un point mineur du scénario : la relation ambiguë entre Lara et Sam, jamais mise au point.

Annotation :

Symboliser des choix cruciaux par des boutons, vous trouvez pas ça un peu cheap dans la mise en scène comme dans l'explication, messieurs et mesdames les développeurs ?

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On vient pour buter Borgia, MAIS TOUT A COUP Ezio décide de ne pas le tuer alors qu'il a techniquement refroidi la moitié des politiques véreux de l'Italie...

Et ensuite on a une déesse qui parle à Ezio, sauf qu'en fait non elle nous parle à Desmond, alors que, bon, il EST Ezio, techniquement.

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"Bravo, tu as gagné après avoir farm l'XP de tes Pokémons comme un gros porc ! Si tu as battu ton rival, c'est parce qu'il n'aimait pas ses Pokémon, contrairement à toi. Quoi ? Tu me demandes comment tu as fait pour les aimer plus qu'un petit merdeux égoïste en les gavant de Bonbon Super, en farmant leur XP pendant des heures, en sélectionnant que les plus puissants en attrapant les autres juste pour le swag? Euuuhhh... Le pouvoir de l'amitié ?"

Annotation :

What.The.Fuck ?

Annotation :

Le déroulement tenait la route, jusqu'à la fin.

Amanda est donc bloquée dans un vaisseau avec un xénomorphe, qui montrent clairement durant le jeu qu'ils nous tuent à la première occasion. Sauf que pas cette fois ! Elle perd juste conscience dans le vide intersidéral et elle se réveille.

Sans parler de la guérison miraculeuse de Taylor, qui est assez pratique pour se débarrasser de Marlowe....

Annotation :

Dans l'épilogue, nos héros rentrent dans une sorte de monolithe technologie où une exposition à la Mass Effect 3 se dévoile à eux. C'est à dire des points d'intrigues essentiels mais pas expliqués et qui n'arrivent qu'à la toute fin. Celle-ci fait tâche par rapport au reste du jeu, vraiment dommage.

Annotation :

Le Joker, le personnage malin, imprévisible et fin depuis le début de la série, apparaît en putain de titan géant pour faire boss final. Ouch.

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Non seulement la fin est encore plus longue que celle de Bioshock Infinite, mais...

"Batman, je t'ai déjà injecté 3 fois ma toxine de peur. Tu as peur ?"
"Non"
"FUUUUUUU"
"Et tiens, je vais t'injecter ta propre toxine"
"Meeeeerde ! Comme je suis idiot, je n'ai pas prévu l'éventualité d'être confronté à l'arme que j'ai créé, me faisant craquer dès la première injection même si je suis sensé être le maître de la peuuuuur !"

Plus tard

"Maître Bruce, tout le monde sait que vous êtes Batman. Qu'allez-vous faire ?"
"C'est simple Alfred : je vais simuler ma propre mort à la Michael Bay"

Annotation :

Vous avez récupéré un morceau de Trine, il vous en reste encore à collecter pour vaincre le grand méchant ,et... QUOI ? C'est la fin du jeu ? Mais...Le méchant...L'histoire à conclure...Les principes basiques de la narration ?

Annotation :

"En fait, je suis ton père"

*Le générique de fin arrive immédiatement après*

WTF ?

Annotation :

Ok, Labyrintha n'est pas une cité magique ni un univers alternatif, mais une expérience scientifique. La magie n'existe pas et tout n'est qu'illusion, certes.

Mais vous auriez pas oublié que la bande à Layton & Phoenix ont été transportés là bas EN ÉTANT HAPPÉS PAR UN LIVRE ?

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"Et au final, même si vous avez empêché le virus de contrôle des émotions de marcher, que vous avez tué le grand patron de la multinationale machiavélique et que vous avez mis le doute dans le cerveau de votre soeur, qui vous en veut bizarrement pour avoir cru qu'elle était morte quand vous étiez toutes les deux gamines, absolument rien n'a changé."

Annotation :

Dans la fin pacifiste, la méchante pose son cul sur un trône, puis est victime d'une illusion qui la pousse à rentrer dans un portail, dans un monde où elle est coincée pour toujours. Bon, c'est pas une si mauvaise fin, mais ça fait pas du tout épique pour un dernier boss.

Annotation :

Vous avez bravé les dangers de la malvoyance pour chercher votre chat ? Vous vous rendez compte au bout de deux heures que pas de bol, il est mort.

La gamine que vous jouez chiale, retourne chez elle et quelqu'un vient lui rendre visite. Fin du jeu. Absolument rien d'autre.

Annotation :

Ce n'est pas la qualité intrinsèque de la fin dont il est question, mais davantage de son côté "facile" par rapport au reste du jeu.

J'ai adore Thimbleweed Park, généreux et moderne successeur des point-n-click à la Monkey Island. C'est pour cela que j'ai été très déçu par la tournure des évènements, qui est une variation un poil plus élaborée que la moyenne du cliché "Oh mon dieu, nous sommes des personnages de jeu vidéo !". J'ai eu l'impression que le jeu s'est coupé dans son élan scénaristique. Le soufflé délicatement cuit pendant 8 heures est totalement retombé, pour laisser place à une fin qui dit littéralement "Voici les objets dont vous avez besoin pour que vos histoires soient bouclées"

Si vous aviez activé l'option "blagues meta", cette fin est d'autant plus décevante.

Ron Gilbert, j'adore ton jeu, mais ne fait plus jamais ce coup-là.

Annotation :

Plus le jeu avance, plus on sent que le développeur n'avait pas le temps ou l'envie de boucler son histoire. Parce que les points douteux ne manquent pas :

-Le héros qui arrive à aller dans une île reculée en pleine tempête avec un canot, et qui arrive plus tôt dans le jeu à survivre à la noyade les mains menottées. D'ailleurs, c'est qui les deux mecs qui ont tenté de le buter ainsi ? Je sais que c'est suggéré que ce soit le docteur et l'homme en noir, mais rien n'indique qui l'ont fait eux-même.

-Un protagoniste littéralement esseulé dans la nature sans rien sur lui qui arrive on ne sait pas comment sur cette même île pour sauver le héros

-L'homme de confiance du héros qui finit assassiné. Qui l'a tué ? Pourquoi ? Le jeu ne le sait pas non plus, apparemment.

-Le jeu ne sait pas non plus qui a tué la patiente de la cellule 2.

-D'où viennent les "DELETE" du patient de la cellule 1 ?

-POURQUOI PERSONNE DANS CE JEU N'ARRIVE A TOUCHER DES GENS IMMOBILES AVEC LEURS FLINGUES AAAAAAAAAAAAA

-Ultime insulte, la femme du héros qui semble lui pardonner amoureusement dans la dernière cinématique. Sauf que pendant TOUT LE JEU, c'est justement un arc narratif important qu'elle et notre ami avocat nous font bien comprendre que nos pulsions de violence ont fait de leur vie de couple un enfer et que c'est pour ça qu'elle demande le divorce aussi nettement. Même si tu prouves que ta violence vient d'une manipulation de l'armée, c'est pas si simple que ça de s'en contenter comme excuse, non ?

Les fins ouvertes ont leurs avantages, mais dans le cas d'Overclocked, c'est un trou béant dès la moitié du jeu.

Annotation :

Ca concerne pas directement la fin du jeu, mais c'est con quand même.

Le principe du jeu repose sur les robots, esclaves de l'humanité, qui veulent que ça change et gagner du libre-arbitre. A un moment du jeu, on peut même libérer Chloé, celle qui vous accompagne dans les menus du jeu. Idée cool, non ?

Sauf que quelques semaines plus tard, après avoir écouté les requêtes des joueurs, Quantic Dream a rajouté une option pour que le joueur ait une "nouvelle Chloé". Ce simple ajout suffit pour nullifier le message du jeu.

Annotation :

Le boss est la seule séquence QTE du jeu, ce qui ne serait pas si mal s'il n'était pas précédé d'un cache-cache digne d'Adibou où il faut éviter des lumières qui s'allument et s'éteignent.

La fin en elle-même est un cas d'école de non-dits et tombe complètement à plat. Préjudiciable pour un jeu qui est une chasse au terroriste sur tout le globe et avec autant d'ambition.

Mention spéciale à la scène post-crédits inutile qui dure 3 secondes montre en main et où on nous rappelle l'existence d'un perso secondaire blessé pendant le tuto.

Annotation :

L'un des grands twists du final est que la mégacorporation a racheté les fameux bracelets qui montrent les émotions des gens et enregistrent leurs données afin, entre autres desseins, de personnaliser les pubs et les déclarations que tout le monde voit (ce qui franchement ne devrait être une surprise pour personne dans la ville à ce point de l'histoire).Ce qui est choquant pour l'héroïne qui pourtant, plus tôt dans le jeu, avoue s'être habituée au fait que les pubs intègrent directement l'apparence de celui/celle qui les regarde. Dans la diégèse, ça ne fait aucun sens,

De plus, la personne qui lui apprend est son amie, qui l'a manipulée et surveillée pendant tout le jeu, et qui va essayer une ultime fois de la convaincre...tout en portant un collier afficheur d'émotions, ce qui permet à l'héroïne, dans l'une des fins, de voir clair dans son jeu et de retourner la situation. Glorieux.