(re)Joués en 2025

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Fini (100%)

Mon avis n'a pas changé depuis la fin d'année dernière. Un super petit jeu d'action sans prétention qui fait très bien son travail avec plein de gimmicks différents et une super ambiance!

Pas du tout indispensable, mais très content de l'avoir fait.

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Platiné (115h)

Jeu de role action dans l'univers d'Harry Potter. Pas grand chose à ajouter à mon avis de l'année dernière, si ce n'est que...je pense que j'y rejouerai un jour, malgré le fait de l'avoir platiné. Et c'est partiellement parce que c'est un jeu à la fois on ne peut plus dans le standard jeu en monde ouvert des années 2015-2020, et aussi un jeu étonnamment étrange par moment dans ses choix très propres à l'univers d'HP.

Il y a un attachement et un souci du détail à des trucs presque insignifiants à l'expérience globale: on peut par exemple "sauver" (ça veut dire capturer) des créatures fantastiques dans un sac façon Newt Scamander et les mettre dans sa Salle Sur Demande, pour les brosser et les nourir; si on capture un mâle et une femelle on peut même les faire se reproduire. Et cela ne sert à rien à part accumuler quelques éléments de crafting pour améliorer son équipement; quelque chose qui n'est pas vraiment crucial car on trouve de l'équipement très efficace sans exploiter ce crafting.

La Salle Sur Demande est également une fantaisie étonnamment complexe: il s'agit d'une sorte de hub dans le hub qu'est Poudlard. On peut y placer des centaines d'items parmi une liste de 168 que l'on trouve dans des coffres dans le jeu (oui ce sont des collectibles et oui il les faut tous pour le Platine, et oui ça m'a saoulé de les trouver). En plus d'objet purement cosmétiques, on a des trucs pour faire pousser des plantes plus ou moins grosses, qui sont des ingrédients pour les items que l'on utilise en combat. Et pour le coup, ça sert par mal. Mais ce qui est étonnant c'est le niveau de customisation de cette Salle qui a de toute évidence été l'oeuvre de beaucoup de labeur.

Et de l'autre côté, le jeu a également une map assez marrante dans son étendue, mais incroyablement aisée à parcourir car on vole sur son balais pour y naviguer. J'ai apprécié m'y promener, mais plus on avance dans le jeu et plus on réalise que Poudlard n'a finalement aucune utilité réelle passées quelques heures. Poudlard héberge la Salle sur Demande (et deux autres salles "hub"), mais on peut s'y TP directement sans visiter le chateau. On a quelque cours là bas dans le premier quart du jeu. Mais rapidement on n'y remet plus les pieds, car rien ne nous y oblige. Pas de cours, pas d'activités régulière: les minis jeux comme le club de duel ne peuvent être fait qu'une fois (on trois pauvres combats et c'est fini...) et même pas d'obligation de rentrer dormir.

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Fini (3 fins)

Visual Novel où l'on joue l'héritier.e de sa grand-mère, cheffe de famille, venue pour les funérailles de celle-ci. Et la suite, c'est un peu la réunion de famille la plus chelou que vous ayez jamais vécue.

Style graphique joli avec de beaux chara-designs simples mais plein de personalité et qui permet de bien distinguer chaque personnage de la grande tapisserie que l'on a devant les yeux au cours de l'aventure. La musique est chouette sans être ultra mémorable. Globalement la présentation est très compétente sans être transcendentale.

Côté gameplay, on est sur un VN classique avec des embranchements à la fois dans les dialogues et dans les lieux où l'on peut aller et personnages à qui l'on peut parler. Le corps du jeu, c'est de choisir ses répliques, mais aussi de suivre une partie du scénario en oubliant le reste, de manière à parler à certains personnages plutôt qu'à d'autres, ou à éviter certaines situations qui se déroulent dans un lieu précis à un certain moment de l'histoire.

Il y a de nombreuses fins à voir avec ce simple système d'embranchement, et le jeu en a sous le pied pour que l'on garde l'envie de relancer "juste une fin de plus", avec un aspect meta qui s'installe au fur et à mesure des runs.

C'est court, c'est très chouette et c'est un des rares VN à m'avoir tenu du début à la fin, plusieurs fois!

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Fini

Jeu d'aventure et d'enquête à la première personne, où l'on traverse une bourgade québécoise et ses alentours, en quête du meurtrier du docteur local. Et c'était pas trop mal.

Le jeu est honnête visuellement. Le sound design vend le tout pas trop mal. Et l'acteur vocal à la narration fait son job. Il n'y a rien de transcendant sur toute cette partie ceci dit.

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Platiné

Jeu d'aventure et d'exploration où l'on joue une sorcière en devenir, contrainte de jouer les postières pour obtenir un balais volant assez puissant pour rejoindre la directrice de son école de sorcellerie. Et c'est super cute et relax.

Le jeu consiste évidemment en des quêtes fedex. On nous confie un paquet que l'on doit amener à un habitant de l'île, sous certaines conditions (ne pas mouiller, ne pas casser et/ou amener rapidement).

Pour ce faire on a un balais volant qui nous permet d'esquiver les obstacles et de suivre le vent pour aller vite. C'est plutôt agréable à manier, et on se prend vite à utiliser des chemins optimums pour arriver à destination.

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Fini

Jeu d'aventure et d'épouvante à la première personne se déroulant dans les Grisons Suisse Et c'est super bien.

Artistiquement, ce qui saute aux yeux, c'est évidemment que le jeu est en noir et blanc grâce à l'ensemble de ses textures dessinée au crayon. L'autre évidence, c'est la langue parlée par l'ensemble du casting: le romansh. Le résultat, c'est une atmosphère immédiatement unique.

La partie narrative est franchement chouette; le jeu a un rythme lent en terme de gameplay, avec beaucoup d'exploration, mais on obtient constamment des détails par les personnages, les éléménts de décors ou les objets que l'on trouve. On a un journal qui se rempli de documents, de dessins et de photos. Et la narration s'intègre superbement au gameplay de navigation et de puzzle.

Côté épouvante Mundaun n'a pas été particulièrement stressant; le gameplay s'appuie régulièrement sur des ennemis mais ceux-ci ne sont pas spécialement problématiques. Sans ses antagonistes, le jeu ne serait toutefois pas le même. Le folklore utilisé est original, ils participent activement à la trame, soit métaphoriquement, soit de manière littéral. Et s'il est plus sensé d'éviter les ennemis la plupart du temps, le jeu fait un travail admirable pour nous donner des solutions pour s'en débarrasser, ou les braver avec des objets de l'inventaire, ou nous forcer à utiliser le level-design pour les contourner.

Au global Mundaun est une superbe réussite artistique, avec un gameplay d'aventure simple mais où l'on est constamment actif. J'ai adoré le parcourir, pour l'originalité de son contexte, sa maîtrise narrative et sa solidité sur tout le reste.

Je recommande chaudement!

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Fini

Point&click d'investigation où l'on résout une série de mystères liés à l'éponyme Golden Idol. C'est très très bien.

Le jeu se présente sous forme d'écrans fixes avec différents points d'interaction clairement en évidence; parfois on peut zoomer sur l'objet/sujet; et chaque clic permet de débloquer des mots, des noms ou des verbes. Le but du jeu n'est donc pas de trouver les interactions (comme dans un p&c classique) mais d'analyser les différents points, et de remplir une phrase à trou expliquant ce qu'il s'est passé dans la situation présente.

Et ça marche hyper bien. Le jeu regorge de détails à se rappeler, de conclusions qui permettent de confirmer une hypothèse sur tel personnage ou tel action.

Et même quand on est bloqué, le jeu a un système d'indices qui va d'une question permettant d'orienter le.a joueur.euse, à une phrase d'aide à, enfin, la solution quasi complète à l'élément qu'on cherche.

Le style graphique est superbe, simple, expressif et un peu grotesque, animé juste assez pour casser le caractère statique des tableaux.

Un immanquable pour les détectives.

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En cours

Point&click d'investigation où l'on résout une série de mystères liés à l'éponyme Golden Idol. Et en fait, c'est le premier épisode parce que j'ai joué à sa suite avant comme un gros naze. Bah c'est tout aussi très très bien que "Rise".

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Fini

Jeu d'infiltration et d'épouvante dans un univers de science-fiction. Je rêvais d'y jouer depuis sa sortie sans jamais oser le prendre. J'ai bien fait de finir par m'y mettre parce qu'Echo est une merveille d'ingéniosité sur tous les plans:

Artistiquement et narrativement tout est fait pour justifier élégamment l'utilisation intensive de réutilisation d'assets; on est sur une planète isolée où les seuls antagonistes sont des clones de l'héroïne, où les décors superbement modélisés et éclairés sont une création d'une IA qui se développe comme un cancer sur cette planète couverte d'une méga-structure (Blame! est clairement une grosse inspiration).

Mécaniquement, c'est du même acabit. Plutôt que de proposer 40 variations de gameplay, le jeu n'offre qu'un nombre limité d'actions faisables (s'accroupir, tirer avec un pistolet, pousser ou neutraliser dans le dos, sprinter etc.). ET au lieu de chercher à créer des niveaux qui vont tout faire utiliser, le jeu opte pour forcer le joueur à limiter ce qu'il va utiliser à un moment T dans cet arsenal. Et là ça demande une explication.

Le jeu se passe en cycle en deux parties: lumière allumée (5 min) puis lumière éteinte (15-20 secondes). Quand la lumière se rallume on est dans un nouveau cycle. Les ennemis ne peuvent utiliser QUE ce que la.e joueuse.eur a fait durant le cycle précédent. Si vous avez tiré mais pas ouvert de porte, alors les ennemis pourront vous tirer dessus, mais pas ouvrir et fermer une porte eux même. Et durant la courte séquence sans lumière (le reboot de la simulation) c'est carte blanche, ces actions là ne sont pas enregistrées pour le cycle suivant.

Le jeu est parfois un peu brouillon sur certains niveaux, mais l'ensemble fonctionne hyper bien.

C'est élégant. Point.

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Démo

Jeu de billard rogue-like prenant place dans un univers Lovecraftien où l'on joue pour accomplir ou s'échapper d'un rituel des grands anciens. Et c'est chouette.

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Démo

Jeu d'escalade en plein air où l'on gravit prise après prise de longue falaise. La démo m'a ultra convaincu, j'ai pas été aussi chaud pour une nouvelle sortie depuis des années.

Le jeu est SPLENDIDE. J'adore la direction artistique, l'UI est réussie, sobre et unique (notamment l'inventaire sous forme de sac à dos avec les items qui se baladent dedans). C'est beau comme tout et ça donne envie d'utiliser le mode photo.

Le jeu en lui même consiste en deux parties: soit on marche/trotte sur du plat, soit on grimpe. Et quand on grimpe, on a un gameplay basé sur le placement de chacun des quatre membres sur des prises. En gros le jeu circule d'un membre à l'autre (main gauche, pied gauche, main droite, pied droit) et on essaie d'aller chercher les prises une à une pour se hisser de plus en plus haut sur la paroie.

C'est encore un peu branlo dans certaines animations qui peuvent tremblotter de temps à autre quand on pose une main ou un pied bizarrement. Mais le truc incroyable, c'est l'état de zénitude que j'ai atteint en jouant juste à la démo et en testant toutes les différentes faces de la première falaise.

La fin de la démo tease la montagne que l'on va aller escalader et ça me fait rêver!

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Fini

Jeu d'enquête de la série Sherlock Holmes par Frogwares, il s'agit à la fois de la suite de Chapter One et d'un remake de The Awakened. Un peu mitigé, même s'il y a de la qualité en terme d'atmosphère.

Les deux derniers titres de Frogwares se déroulaient dans des mondes ouverts. Ici, on oublie, on revient au modèle de Crimes&Punishments, concentré sur des zones plus petites, séparés par des chargements où une enquête égal un lieu. Cela permet de créer plus de lieux différents: on passe ici notamment de Londres à la Louisianne.

Comme d'habitude, le jeu est joli pour le budget, avec un vrai effort sur la lumière et les textures, mais pêche par les animations un brin raide qui ont du mal à vendre le caractère vivant de ses lieux les plus habités. La musique de ce volet est par contre extrêmement bonne. Notamment quand il s'agit "mind palace", qui pourrait être un thème de MGS2. Et les voix varient en qualité.

Côté enquête...très mitigé. Je trouve que le jeu peine à créer un enjeu global. On sent qu'on essaie d'opposer la logique de Holmes au surnaturel de Lovecraft. Mais dans les faits, 95% du temps, on fait des déductions "normales" et 5% du temps on rêve, et on résout des puzzles plus ésotériques. Et du coup, le jeu doit tenir sur ses enquêtes qui sont toujours chouettes à dépiler, mais qui manque soit de liant entre elles, soit d'une vraie révélation propre à chacune.

Les mécaniques par ailleurs sont celles de Chapter One en grosse maille, sans l'écoute à distance (good ridance, c'était pas ouf). Et ça marche bien dans l'ensemble.

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Fini

Jeu de rôle tour par tour dans un monde d'épouvante. Je le ressors pendant ma lecture découverte de Berserk, et je vois beaucoup mieux les inspirations. J'en profite pour faire quelques runs et tester le mode "Terror & Starvation"...je crois que je vais revenir au mode normal.

Toujours une méga claque esthétique. On sent que la DA est parfois à l'étroit dans RPG Maker (notamment dans les déplacements dans le donjon) mais je pense que c'est le meilleur usage du moteur que j'ai vu. Excellent design sonore aussi, je l'avais un peu oublié.

Niveau gameplay, le mode le plus hard est vraiment vraiment punitif. Pas super fun pour ma part. Je dois me cantoner à suivre des guides et wikis pour chaque run et c'est pas hyper satisfaisant. Je reviens donc au mode normal pour pouvoir reprendre l'exploration où je l'avais laissé!

Je découvre aussi des scènes absolument dégueulasses (je ne m'étais jamais laissé "prendre" par le Harvest Man et...bah faut pas hein!) et des délires de gameplay que je n'imaginais pas aussi riche.

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Fini

Puzzle-actionner en vue isométrique dans l'univers de Tomb Raider. C'est pas trop mal!

Je n'avais eu l'occasion que de faire le second épisode, Temple Of Osiris, en coop: et je n'en avais pas un souvenir fameux (c'était pas mal buggé de mémoire). Cet épisode, auquel je joue en solo, est bien polish. C'est pas extraordinaire graphiquement, mais ça marche et surtout c'est super lisible.

C'est niveau gameplay que c'est chouette: on a un mélange entre du puzzle, de l'exploration et du combat. Le level-design est solide, on ne réfléchit pas des heures et on avance vite, mais on n'est pas non plus en mode "brain dead". La combinaison des différentes capacités de Lara (grappin, bombes, les lances qui peuvent servir de plateforme etc) fait presque penser à une version isométrique de Trine par certains puzzles. Et les objectifs de collections de pognon, de trésors et de rapidités donnent envie de faire gaffe au décor et de rejouer pour finir tout.

Au final, pas grand chose à en dire, en réalité. Le jeu est pas mal, mais ne me restera probablement pas en mémoire.

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Fini

Quatrième épisode (pas vraiment) de la licence de jeux d'action en monde ouvert. Mon préféré et...punaise, qu'est-ce qu'il était en avance sur son temps et qu'est-ce qu'il a bien vécu le passage du temps.

Déjà, et j'ai beau jour à RDR2 en parallèle, GTAIV est une merveille visuellement. Le niveau d'attention aux détails est assez hallucinant pour un jeu de 2008. La représentation de cette New York fictive est hallucinante vivante et pleine de PNJs dont les mini-interractions vont ajouter du caractères au différents quartier.

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Fini (102h)

Jeu d'aventure et d'action en monde ouvert, préquel à Red Dead Redemption, où l'on incarne le bras droit d'un chef de gang. J'ai fini mon run de l'année dernière et...omg la sauce a repris!!

J'ai vraiment une relation étrange avec RDR2. Premier run l'année de la sortie, j'ai adoré les trente premières heures dessus, ultra immergé dans les décors, la simulation de cowboy. Puis, ça a tourné en eau de boudin, parce que plus j'avançais les missions principale et plus leur linéarité me sautait au visage. Je fini par me rendre compte que cette linéarité atteignait parfois aussi le monde ouvert, bloquant certains batiments, certaines interactions, certaines mécaniques, parce que le jeu voulait que fasse à sa manière en suivant un truc pré-écrit dont je ne peux deviner l'existence d'avance. Résultat, en 2018, j'ai lâché le jeu dans les dernières heures de l'histoire...Et depuis, chaque tentative de le recommencer s'est soldée par moi qui rage comme un putois devant les missions ultra linéaires.

Mais je dois devenir sage avec le temps, j'ai poussé au-delà de l'intro qui m'a saoulé, et consommé le jeu bouchée par bouchée, une mission par soir, et après des à-côtés. Ça me fane d'avoir eu à faire ça, mais au moins j'ai pu rentrer dedans...alors verdict final?

Le jeu est trop long, toujours limité par ses scripts très contextuels parfois. Mais l'histoire est fantastique, malgré les longueurs. Et l'exploration est lente mais grisante. Un jeu exceptionnel mais à l'étroit dans sa volonté d'en faire toujours plus en terme cinématographique...

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Fini

Jeu d'escalade où l'on grimpe le long d'une énorme falaise en admirant le décors et en trouvant des indices du passé. C'est super bien, j'adore.

Le jeu se déroule sur ce qui semble être un massif coraillien géant à l'air libre et on comprends vite (en particulier si on regarde la définition de "Jusant") que l'on se trouve sur une terre sans eau où l'océan a disparu.

Le jeu consiste à grimper progressivement chaque starte du massif. Pour cela on a accès à de l'équipement de grimpette (des cordes et des pitons) et...à un étrange petit animal magique qui permet de ranimer de gigantesque plantes qui serviront parfois de lianes ou de prises pour monter plus haut.

Il n'y a pas tant de choses à dire sur Jusant, à part que c'est très joli et serein; la musique est superbe (je l'ai beaucoup écoutée hors jeu d'ailleurs) et la mécanique est juste assez prenante pour demander un peu d'attention, en particulier quand on cherche tous les secrets, et pas trop pour cacher l'ambiance recherchée. L'histoire est vague (lol) mais évocatrice, misant plus sur une poésie visuelle à la Journey ou Abzu; c'est pas spécialement ma came, mais ça marche pas mal pour ce titre atypique de Dontnod.

Beaucoup aimé, je recommande.

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Fini

Point&Click avec un vague esprit survival-horror greffé dessus, se déroulant en Bretagne. Sympa.

J'apprécie beaucoup l'effort fait sur la partie visuelle. Les devs ont pris le temps de produire beaucoup d'assets 3D de qualité qui permettent une grosse densité de détails dans des décors restreints, dans la tradition du genre P&C en 3D à la française d'ailleurs. C'est assez drôle d'avoir un jeu se déroulant en France, par des français, avec des choses comme la marque de lessive parodique "Le Chien", les boîtes aux lettres LaPoste jaune en métal, les posters pour un tournoi de handball etc. La direction artistique est donc orientée sur un réalisme qui se juxtapose à des éléments fantastiques. Vrai effort aussi sur les bruitages et la musique. Les doublages en français comme en anglais, sont tout à fait honnêtes.

L'histoire est assez intrigante pour tenir en haleine, mais on reste sur du lovecraft-like breton. La protagoniste est...okay; pas grand chose à en dire. Elle est en réalité "normale" au sens vraiment commun du terme. Un peu de sens de l'humour, pas idiote. Pas non plus une bombe de charisme. Je pense que c'est évidemment par design, mais il lui manque peut-être un je-ne-sais-quoi pour l'élever un tout petit plus aux côtés de Kate Walker de Syberia ou April Ryan de Longuest Journey.

En terme de gameplay, on est sur du P&C en 3D, avec des énigmes simples mais cools dans l'ensemble qui rythment bien la progression. On n'a pas des tonnes d'allers-retours et l'exploration en est plutôt agréable.

(Gros) bémol, une vieille couche survival-horror nulle; on marche et soudainement des fantômes nous agressent; on doit les "tuer" avec un gunplay que Deadly Premonition ne renierait pas. C'est raté, ça sert pas à grand chose. Le jeu propose même une option pour s'en passer quand on démarre une partie.

Un jeu OK. J'aime bien, ça me rappelle ma période Syberia, Longuest Journey, Still Life et cie.

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Fini

Jeu d'action aventure, à l'ancienne, dans un univers où tout est dicté par des lancés de dés. Et c'est très chouette bien qu'un peu long à se lancer sur la première heure.

Il y a deux choses qui sortent du lot dans Lost In Random:

1-La partie visuelle et musicale sont PARFAITES. Voilà, ils ont pris une direction artistique et ils l'ont développée: c'est abouti. Ça prend énormément aux plus classiques des Tim Burton (Beetlejuice, Nightmare Before Christmas, The Corpse Bride...) mais c'est fait avec tellement de savoir faire, dans les modélisations, animations et choix de couleurs que ça ne fait jamais plagiat. Il y a une personalité propre, on voit simblement qu'elle est l'inspiration principale. Et la musique fait dans le Danny Elfman de Edward Scissorhand, on pourrait faire une pub Lindt avec

2-Le système de combat est une sorte d'hybride entre action et menu-ing. En gros, chaque capacité de l'héroïne, de son épée de base aux pouvoirs spéciaux, requière, pour être utilisée, de jouer une carte d'un deck qui sert d'inventaire. Pour jouer une carte, il faut avoir de l'énergie de carte. ET pour avoir cette énergie, il faut pouvoir jeter son compagnon dé, dont le résultat va déterminer quelle quantité de d'énergie l'on a pour jouer. On ne peut jeter le dé que lorsqu'il a mangé assez de critaux que l'on décolle de différents endroits sur les enemis et...
Ça a l'air compliqué, mais en réalité c'est assez simple et ça ajoute, une couche rigolotte à ce qui serait sinon un simple système hack&slash classique. Ici on dodge, on tire sur les cristaux et quand on a assez tiré de cartes intéressantes, on jette son dé et on croise les doigts pour pouvoir jouer ce qu'on veut.

Très charmé par l'esthétique ET la proposition de gameplay, initialement, j'ai fini par adorer sa narration, ses personnages et son humour. J'ai rigolé genre vraiment à quelques reprises, ce qui est assez rare devant un jeu pour ma part.

J'ai adoré. Je recommande, en mettant en avant la difficulté 'story' qui rendra les combats moins longs pour les gens que ça lassera.

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Fini

Jeu d'action et d'infiltration en monde ouvert dans un Londres d'anticipation. Troisième épisode de la série Watch_Dogs, où l'on joue cette fois non pas un protagoniste, mais potentiellement une infinité de londonniens prêts à se rebeller contre un régime britannique de plus en plus militarisé dans sa capitale. Et j'aime beaucoup! Alors que je n'en ai entendu que du mal, de cet épisode, au moment de sa sortie.

Si je comprends l'origine du problème pour la plupart des gens...bah j'aime cette idée de switcher de citoyen en citoyen; et de recruter de plus en plus de personnes dans une résistance secrète. Mon seul reproche...c'est que cela ne change pas beaucoup le gameplay qui est similaire à WD2, un jeu que j'adore. La plupart des personnages sont versatiles pour utiliser la plupart des mécaniques; alors oui, certains ont accès infini à des drones taser, d'autres ont, de base, une résistance aux dégats ou un coup de poing qui OS les ennemis, ou encore un déguisement qui permet de ne pas instantannément se faire repérer par les PNJs hostiles, et de passer au travers des caméras et détecteurs quand on entre dans des zones interdites; cela apporte de la variété d'approche. L'utilisation de différents PJ est plus encouragée via les habilités spéciales des nouvelles recrues que par les déguisements par contre. Le seul souci, c'est que le spiderbot est toujours très très fort en terme d'infiltration et peut être confié à n'importe quel membre de DeadSec. Donc il faut se pousser un peu pour changer d'approche. Mais les possibilités de roleplay sont complètement là.

J'aime aussi beaucoup le Londres au futur proche de l'épisode, et le point de départ est tout à fait okay pour lancer le jeu. Le côté totalitaire est un peu épuisant au début (conduire est ultra relou à cause des checkpoints policiers constants), mais rapidement on comprend comment s'en accomoder et le réduire.

Et, je n'arrive pas à croire que j'écrive ça, mais le jeu est plutôt bien écrit. Que ça soit les dialogues, les propagandes que l'on croise dans la ville, les interactions mondaines avec les PNJs, les émissions de radio...c'est assez cohérent et parfois ça mord comme une dystopie de correcte facture devrait le faire. Le jeu est aussi assez crade en terme de scénario, avec une histoire centrale bien bien plus sombre que le second, voire que le premier opus, malgré des méchants trop clichés, à la Far Cry en fait, aka soit sociopathe sans état d'âme soit psychopathe en roue libre.

Au glob

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Fini

Jeu de rôle japonais avec combat au tour par tour, 4ème génération des créatures les plus connues de la planète (après Bleu/Rouge, Or/Argent et Diamand/Perle). Et c'est un bon épisode. C'est Pokémon quoi!

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Fini

Jeu d'action sur rail à la 1ère/3ème personne où l'on incarne sept tueurs pour débarrasser le monde de démon kamikaze. J'ai détesté le jeu sur GameCube: pas réceptif ni à l'univers vague et étrange, ni au gameplay. Aujourd'hui, je suis absolument ravi d'en tomber amoureux grâce à cet excellent remaster PC, auquel je joue sur Steam Deck.

Déjà, visuellement Killer7 est un des jeux les plus stylés auxquels j'ai joué de ma vie: il n'y a pas vraiment d'autres mots pour le dire. Les choix techniques, artistiques et d'UI sont juste incroyables. Avec le retour en force des techniques de toon shading, d'aplats de couleurs et de modélisation façon 90s, Killer7 pourrait clairement être sorti là, maintenant, et j'aurais le même avis. Les choix sonores sont également ultra stylés, avec ces synthèses vocales étranges, ses rires malaisants, ses bruitages impactants et sa musique electro de toute beauté.

Et l'écriture à la Suda51, bizarre, sexuelle, gore, exploitation à mort, mais en même temps étrangement subtile et vraie par moment, vend l'univers sans trop d'effort.

Alors il reste ce gameplay chelou s'il en est:

Factuellement, on bouge le personnage en ligne droite, avec possibilité de marcher en avant ou de se retourner; on est sur un rail, mais il y a une notion d'exploration. À chaque embranchement de couloir, porte à ouvrir, PNJ à qui parler ou puzzle, on a le choix de changer de direction vers un autre rail. Et sur le chemin, on tue des démons explosifs; plus ou moins rapides ou nombreux.

Le jeu est mine de rien plus orienté exploration que le principe de base le laisserait penser. Et le système de combat oblige à être vigilent et à varier son personnage principal régulièrement.

Si je comprends qu'on adhère pas (parce que je n'ai pas adhéré quand j'y ai joué) aujourd'hui je dois reconnaître que ça va plus loin qu'un rail shooter chelou.

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Fini

Jeu d'aventure narratif mâtiné de livraison de paquets. Déjà fini il y a un ou deux ans et petit besoin de jeu cozy chill. Toujours gros coup de cœur. Toujours la cata technique mais he! Ça m'empêche pas de me reposer mentalement.

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Fini

Jeu d'aventure plateforme où l'on joue une jeune femme qui cherche à écarter un fog maléfique sous les commandes de sa grand mère. C'est cute, c'est simple, c'est chouette. Mais ça manque d'un petit quelque chose.

Visuellement, je suis partagé. La DA est jolie: chaque élément est modélisé avec soin, les petits dessins des personnages, de l'UI, les textures dessinées, tout cela a un charme indéniable. J'aime aussi les alliances de couleurs. Le problème c'est qu'à l'exécution, je trouve que les choix technique tirent le jeu vers le bas. Le toon shader utilisé donne trop d'aplats de couleurs différents, au lieu d'une couleur de base + une d'ombre, ce qui rend les modèles plus difficiles à lire. Ça marche pour des jeux comme Killer7, où les modèles sont fait pour. Mais ici la plupart des modèles (persos comme environnements) perdent en lisibilité car trop détaillés pour ce genre de shader.

Et c'est un peu le même constat pour tout: le ciel et la mer ont des superpositions trop complexes d'effets variés qui enlèvent en lisibilité et rendent l'image moins parlantes qu'elle aurait pu l'être.

C'est dommage, car la partie histoire et l'univers qui va avec sont chouettes. La musique est peut-être un peu too much, même si elle est assez cool et je l'ai écouté en dehors du jeu.

Et le gameplay est sympa en terme de prise en main. On bouge bien et vite. Les combats ne sont pas fous, mais le jeu se laisse faire. Le souci est plus le level-design et la présentation. On fait toujours un peu la même chose dans des décors très similaires.

Au global, c'est okay, mais le jeu pêche par manque de maîtrise dans les graphismes et l'architectuure globale...

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Fini

Jeu de plateforme. Oui.

Bon, plus j'y rejoue et plus l'amour que j'ai pour le jeu se dissout un peu face au fait d'y jouer.

Les contrôles sont supers. La musique est toujours fun et entraînante; 23 ans plus tard je l'écoute toujours durant l'été. Il y a des niveaux super rigolos et l'utilisation du jetpack est drôle parfois.

Cependant, après l'avoir terminé, je vois qu'il y a quand même pas mal de niveaux dont je me serais bien passé.

Un tout petit peu descendu dans mon estime.

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Fini

Jeu de puzzle et VN, cinquième épisodes, suite de la première préquelle et premier épisode 3DS de la saga Professeur Layton. Toujours dans mes séries préférées. Un bon épisode bien dans la norme.

Le changement principal est plus visuel qu'azutre chose. Déjà, il y a l'utilisation de modèles 3D pour les personnages; je les trouve chouette, mais le jeu gardant la même esthétique globalement statique (on ne bouge pas le personnage, et on voit principalement des écrans de dialogues et/ou de puzzles) l'intérêt est limité et la 2D aurait pu rester. Ensuite il y a l'ajout de la 3D stéréoscopique (3DS oblige) et là c'est juste super: on a l'impression de jouer à un livre pop up, ça marche à mort pour Layton.

Les minijeux sont plutôt cools pour cet épisode. On a un robot que l'on fait bouger trois cases par trois cases qui doit rejoindre une case précise: beaucoup d'obstacles rigolo. Le jeu du magasin qui consiste à trouver une chaîne d'objets permettant de tout vendre en suivant une certaine logique. Et on a le dressage de lapin de théâtre qui est plus mignon qu'autre chose.

Bref un cool épisode. C'est cozy, c'est nawak, la musiques et les graphismes sont excellents, c'est plein de puzzles funs. C'est Professeur Layton.

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Fini

Jeu d'action et d'aventure sur une planète envahit par "the gunk", une substance étrange qui étouffe la faune et la flore locale et que l'on nettoie à l'aide d'un gant aspirateur.

Et j'adore la DA et la musique, tandis que le gameplay et la progression "se laisse faire".

En gros, on parcourt de petits environnements de la planète découpée en zones. Et on fait une chose parmis trois:
-aspirer le titulaire "gunk", cette matière étrange qui pulse et qui pourri l'environnement; une fois tout le "gunk" d'une petite surface aspiré, la nature repousse instantannément
-on résout un puzzle à base de boule à jeter dans une mare pour faire pousser un truc, explosif à coller sur une surface qui bloque un chemin, passage caché par une petite ouverture etc.
-on "combat" des petites créatures

Tout cela est très classique, mais rythmé correctement, avec vraiment une jolie DA et un talent certain en terme de modélisation, de texturing, d'effets visuels etc. Une "petite" expérience sans prétention, mais solide.

Environ 7/8h. Un cool petit casse-croûte!

Annotation :

Fini

Jeu d'aventure et d'exploration en monde ouvert où l'on joue Sable, jeunette prête à explorer le monde au cours de son voyage initiatique traditionel. Et c'est trop trop bien!!!

Le plus évident avec Sable, c'est que visuellement c'est l'un des plus beaux jeux que j'ai vu de ma vie. Le jeu utilise un (des?) shader(s) assez ouf qui mélange des ombres en aplat, des lignes fines de démarquation entre les ombre et lumières, tout en conservant des nuances, des dégradés etc. Les textures sont aussi dessinées à la main ou composée d'aplats. Et le tout est, très clairement, un emprunt à Jean "Moebius" Giraud, l'un des plus grand artistes français de BD, films, en particulier connu pour sa SF. Et c'est beau punaise. On a constamment l'impression de regarder une BD en mouvement. Et la DA très post-apocalyptique, avec ces persos qui ont une relations aux machines presque organiques, ça marche à mort.

J'adore le sound design également, et les thèmes musicaux sont doux et accompagnent comme il faut l'exploration qui est le coeur du jeu.

Car côté gameplay, on sent que l'inspiration c'est Breath Of The Wild, auquel on a retiré tous les "chichis" (j'ai rien contre les chichis par ailleurs). Ici c'est pacifique, on va voir les choses parce qu'elles sont au loin et ont l'air intéressantes. Le jeu est composé d'un vaste désert en biomes plus ou moins verticaux, avec des épaves géantes de vaisseaux et traces de vies animales, quelques villages autochtones et c'est tout. Alors on traverse le désert sur sa moto flottante et on parle aux quelques PNJs que l'on trouve, on grimpe, on ramène des trucs, et on se fait un peu de sous pour acheter des vêtements ou des parties de carrosseries pour sa moto.

Je suis entièrement dedans à 100%. C'est chill au possible.

Annotation :

Fini

Jeu d'objets cachés, version noir et blanche et animée d'un 'Oú Est Charlie?', bruité à la bouche et interactif. C'est super cool, chill, simple et rigolo. J'ouvre le jeu de temps à autre sur mon téléphone et ça me fait triper 15 minutes de voire tous les détails.

Très chaudement recommandé!

Annotation :

Fini

Jeu de bicyclette en monde ouvert où l'on fait la course et explore en modifiant sa bécane. J'avais adoré la démo, je suis trop content d'y jouer!

J'avais des réserves uniquement sur la partie technique, mais les mois de peaufinages post-demo ont été super bénéfiques: sur Steam Deck, ça tourne sans rechigner.

C'est chouette visuellement, même si ça manque un peu de d'élaboration pour rendre les décors plus mémorables, la DA reste sympathique. Le chara design est rigolo, le shader est propre et net (pas comme un Wavetale typiquement) pour une lisibilité exemplaire. Ça manque peut être un peu d'effets, mais les sensations de jeux sont là, déjà dans le visuel. Et la musique est très cool, super vibes!

Le but du jeu est de reconstituer une bicyclette légendaire en affrontant à la course les meilleurs coureurs de ce monde car chacun possède une pièce de ce vélo légendaire. Concrètement, on est dans un monde ouvert, séparé en grands biomes avec chacun un terrain majoritairement d'un type (gravier, terre, bitume...) qui va favoriser certaines bécanes (ville, course, VTT ou hybride). Avant de pouvoir affronter une légende, on doit gagner de la réputation en gagnant des courses face à des groupes de cyclistes disséminés partout. Et pour les battre, il faut bien pédaler, et aussi customiser son vélo. On trouve des pièces de bécane dans le monde ouvert en explorant, ou en battant des adversaires sous certaines conditions.

La prise en main est chouette. C'est arcade, avec une notion de balancement: on ne peut pas tourner immédiatement, il faut un minimum suivre les courbes et prévoir les virages. Les différentes pièces permettent de mettre l'emphase sur une des quatre qualités: maniabilité (si ça tourne bien ou pas), grip (si ça glisse au freinage ou en virage), accélération et vitesse de pointe. Sur terrain de gravier, on peut favoriser le grip à l'accélération; alors que dans un petit circuit sur bitume, on mettra en avant la maniabilité et l'accélération.

Le jeu a aussi une mécanique d'aspiration quand on est derrière les adversaires; ainsi qu'un système de boost qui se remplit quand on fait des sauts, dérape, frôle une voiture etc. Le jeu est un peu chiche en opportunité de remplir la jauge ceci dit.

Au global, c'est pile ce que j'en attendais. Je passe un super moment dessus et recommande. Jeu de courses de vélo chill en monde ouvert, tout à fait ma came!