Top 10 Films selon Kwal

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Un de mes réalisateurs préférés. Lorsque je pense à lui, le premier terme qui me vient à l'esprit est "virtuose" : les cadrages, les travellings, les plans-séquences, tout est sublime dans ses films.
Mon préféré reste cette longue fresque aussi ambitieuse et imposante qu'intimiste.

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Mon plus gros coup de cœur à ce jour de l'un de mes réalisateurs préférés dont j'ai vu absolument tous les films (au moins une fois)

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Gaspar Noé était le réalisateur français que je ne supportais vraiment pas après avoir vu Irreversible et Seul contre tous. Puis je suis allé voir Climax au cinéma sans conviction et j'en suis ressorti étourdi.
Outre la magnifique scène de danse qui ouvre le film, j'ai senti mon rythme cardiaque s'accélérer tout le long du film à cause de cette tension cachée qui se révèle puis explose.

Depuis j'ai (re)vu et adoré l'ensemble de sa filmographie.

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J'affectionne tout particulièrement le cinéma danois que j'ai découvert grâce à Mads Mikkelsen et Thomas Vinterberg, et Festen , pilier du Dogme 95 (https://fr.wikipedia.org/wiki/Dogme95) reste sans doute celui que je préfère.

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Un film incroyable, ce déchaînement de violence est jouissif et les combats sont tout simplement les meilleurs jamais chorégraphiés dans un film.
Et pour ne rien gâcher, le scénario n'estpas mal. Que demander de plus ?

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L'humour absurde à son apogée. Une spirale, une mise en abyme de l'espace-temps vertigineuse et sans fin, ce film est incroyable.

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Banksy est fascinant. Je ne parle pas de ses pochoirs qui sont certes beaux, ni des messages engagés qu'ils véhiculent (qui sont quand même très simplistes et donnent l'impression d'être la réflexion d'un étudiant en socio fan de Tyler Durden).
Non, je parle de sa capacité à comprendre, anticiper ou provoquer des mouvements de masse, c'est là où c'est un génie et où il nous confronte à nos contradictions, notamment sur la valeur que l'on accorde à l'art, principal thématique de ce documentaire.

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Du rock, de belles guitares et l'essence de ce qui fascine chez les vampires : la thématique de l'immortalité

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Il est particulièrement difficile de trouver un film gore qui soit bon et beau, ce que Martyrs parvient à faire. Il m'a profondément éprouvé de par la violence physique et psychologique, mais je crois que ce qui m'a le plus marqué, c'est la fin et son ouverture sur le spirituel qui m'a longtemps hanté.

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Un autre réalisateur que j'affectionne particulièrement, notamment sa trilogie "teenage apocalypse" dont Nowhere est le second volet.
On retrouve un doux parfum des 90s et la patte Araki, à savoir des couleurs flashy, des délires wtf sur fond gay très très friendly.