Top 10 Séries selon Starbeurk

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Lost c'est la vie.Le Sergent Pepper's Lonely Heart-club Band des séries, tout y est; cette série déchire et nous transporte ailleurs avec talent et émotion...

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Les erreurs et les faiblesses de chacun sont plus grandes qu'un monde parfait.C'est la série que j'ai vu et revu car je ne m'en lasse pas. C'est la meilleure fin que j'ai pu voir dans une série. Elle me semble tellement supérieure à bien d'autre que j'aime pourtant beaucoup.

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l'entropie peut nous arriver à tous! à partir d'un mot grec signifiant « transformation ». Il caractérise le niveau de désorganisation, ou d'imprédictibilité du contenu en information d'un système.

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Better Call Saul reste une masterclass dans la narration dramatique

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le brio d'Esmail: Il réécrivait non seulement le scénario de ce à quoi pourrait ressembler une émission de télévision – enfreignant toutes sortes de «règles» en cours de route d'une manière cinématographiquement aventureuse et parfois déstabilisante qui reflétait les problèmes de santé mentale de son protagoniste – mais était également assez bon avec le réel scénario, taquiner les rebondissements complexes et même savoir, une fois que vous avez compris le principal, que vous seriez sacrément satisfait de vous-même.

Annotation :

C'est une série de bravoure qui interroge le pouvoir, la narration et le premier intégré dans le second. Il a une distribution (encore inhabituelle) diversifiée, une équipe de rédaction et une cohorte de réalisateurs en termes de sexe et de classe, et, même s'il s'éloigne du contenu original de Moore et Gibbons, il honore leur ambition sous-jacente : déconstruire nos légendes et nos mythes, demandez d'où ils viennent, à quoi ils servent ; et pour nous faire réfléchir et repenser à qui nous dit quoi, pourquoi – et pourquoi ce sont eux qui le font.

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Peaky Blinders a considérablement évolué depuis la saga des gangsters des ruelles de la saison 1 pour devenir la série intrigante et tout à fait satisfaisante sur le pouvoir, la famille et la richesse qu'elle est aujourd'hui.

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Cette histoire intergénérationnelle peut-être une ode au respect: respect de la nature, respect du genre et sur l'ouverture d'esprit vers cela et vers les autres.

Surtout c'est la collision de deux monde: le patriarcat de l'ancienne génération avec ses valeurs de travail et le respect traditionnel de l'héritage du père à faire fructifier, emprunt de machisme et de rudesse, d'éleveurs de troupeau de zébus représenté par José Léoncio, et celui du monde citadin actuel, basée sur la tolérance (genre, alimentaire, animaux ...etc) mais aussi l'entropie et la douceur représenté par son fils Joventino. C'est d'abord la collision entre le monde sauvage et le monde moderne.

Les paysages du Pantanal sont magnifiques et la musique également. C'est le meilleur générique de toutes les séries que j'ai pu visionner.

Annotation :

L'histoire d'un gang de motards sortant des sentiers battus pour une fin à la James Dean: Culte!
L'efficacité de la réalisation calibré comme un moteur de Harley et ce sur 7 saisons, c'est tellement plus que d'autres séries, tellement les risques sont élevés.