Top 20 Metal

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Probablement l'album sur lequel j'ai le plus plané, voyagé. Tout est fait (travail de production, guitares-synthétisées, utilisation massive de réverbération, epicness du songwriting) pour amener l'auditeur à un état surnaturel de conquête cosmique et/ou futuriste. J'ai découvert cet album dans mon adolescence et il m'a accompagné avec bienveillance tout le long de ces années difficiles. J'y retrouvai à travers lui une sorte de réalité parallèle, un genre d'absolu que je m'imaginais atteindre, en souhaitant qu'il soit permanent. Je me rappel même avoir fait, au lycée, une dissertation, m'inspirant de l'univers visuel et des paroles de l'album, ce qui a accentué ma proximité, ma complicité avec ce dernier.

C'est le genre d'album qui, quoiqu'il arrive, restera parmi mes références, comme scellé à vie. Merci, Somewhere In Time!

Il y aurait évidemment énormément de choses à rajouter sur cet album, je pense le chroniquer, un jour.

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Alors, à l'instar de Somewhere In Time de Maiden, Images & Words de Dream Theater fait également parti de ces albums sur lesquels j'ai le plus plané. Je l'ai d'ailleurs découvert à la même période (et donc avec des besoins similaires de me détacher de la réalité).

La musique y est onirique, fantastique, optimiste même, le songwriting est parfait, des cassures pas trop redondantes, l'aspect symphonique est bien prononcé, les arrangements sont intelligents, l'effet de surprise est permanent, le chant de LaBrie très coloré et très émotif, tout comme les parties claviers de Kevin Moore, ce dernier possédait la qualité de ne pas en faire des tonnes ... Bref l'ensemble de ces ingrédients - dont certains qui me paraissaient improbables à l'époque - ont eu une fascination immédiate sur moi.

Ah, pour surpris, j'étais surpris. Tu vois, parfois on nous présente des albums de certains groupes considérés comme "cultes" et qui moi peuvent me laisser perplexe quand à ce statut, mais là ce Images & Words, j'ai beau chercher, je ne lui trouve aucun défaut. Absolument tout fonctionne. J'aime cet album. Pour les fans de Prog-Heavy-Grandiloquent-Symphonique-Surréaliste, c'est évidemment selon moi la référence ultime.

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On connaît assez mal Voïvod. C'est dommage. Et par conséquent, on connaît encore moins bien Killing Technology. C'est regrettable. Pour moi le meilleur album de thrash metal (oui, rien que ça). Il y a une telle intensité et une telle volonté sur cet effort qu'il ne peut pas laisser les amateurs du genre indifférent.

C'est du gros thrash punk SF. Autant, ça balbutiait sur "Rrröööaaarrr", autant ici, c'est tangible, et ça fait mal. C'est un peu l'antithèse de Somewhere In Time, c'est planant, c'est cosmique, mais c'est différent, mais tout aussi fascinant. Et c'est également un album que j'ai découvert dans mon adolescence.

Et je suis littéralement entré en transe les premières fois que j'ai écouté cet album en entier.

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Encore un groupe que j'ai découvert au lycée, dans mes années de formation aux musiques extrêmes. Et là, encore un album qui ne souffre d'aucun défaut et qui fait figure de totem parmi les fans de la scène Death Technique.

Cynic, propose un metal hybride totalement inédit pour l'époque, mélange de Death-Metal (Masvidal et Reinert ont joué avec le Death de Schuldiner l'année d'avant) et de Jazz-Fusion (dont le principal apport sera amené par Sean Malone et sa très chaleureuse basse fretless), ce qui donne un truc improbable, très dense, ultra maitrisé et qui laisse une impression de perfection particulièrement déroutante. Cynic, c'est du sérieux.

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Bien que je connaisse Opeth depuis plus de 10 ans, Deliverance est un album que j'ai découvert récemment (en 2016) et je me suis dis aussitôt que j'étais passé à côté de quelque chose de fondamental.

Y'a beaucoup de choses à dire sur cet album. Il est froid, brut, mordant, sombre. Il accompagne ces moments un peu solennels où en hiver, au petit matin, tu te frayes un passage avec ta voiture dans une brume naissante. Oui. Cette bonne et saine mélancolie. Très scandinave cet album en fin de compte, le background Black Metal y est encore très présent, mais pas étouffant. Bien.

Coup de cœur ultime: Masters's Apprentices. Mon Itunes m'indique que je l'ai écouté plus de 60 fois. C'est beaucoup pour un morceau de 10 minutes.

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Threshold n'est pas un groupe très connu (à mon grand regret) et cet album n'est de surcroît pas le plus estimé par les fans (pour preuve sa note actuelle moyenne assez basse).

Mais ça ne m'a pas découragé, car ça ne changera pas le fait que ça reste à l'heure actuelle mon préféré parmi la discographie du groupe. Et pourquoi donc? Parce que, bien qu'il ait quelques défauts, notamment sur le songwriting et sur le choix des sons utilisés, ne pas sous-estimer ce qui fait qu'un album s'avère être bon ou pas: l'ambiance! Et sur celui-ci il remplit totalement son contrat, car l'ambiance y est profonde, froide et puissante. La voix de Glynn Morgan peut jouer sur plusieurs registres, certains riffs et certains morceaux sont d'une lourdeur et d'une tabasserie insoupçonnée pour un groupe affilié Heavy-Prog (mais écoutez-moi donc ce "A Tension Of Souls" là! Vous sentez pas le sol s'écrouler sous vos pieds?), et évidemment une puissance épique phénoménale (Into The Light, Devoted) et mon petit préféré (He Is I Am) qui n'a rien de particulier mais qui a l'avantage d'être très efficace et d'être très addictif.

Oh et puis y'a cette pochette aussi. Je la trouve totalement incompréhensible, mais tellement fascinante.

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On reste dans un registre similaire avec encore une fois, un groupe assez peu connu, les russes de Mechanical Poet, qui avec "Woodland Prattlers" nous livre un album concept tout à fait ambitieux, tant sur le plan visuel (pochettes très détaillées, où les paroles de chaque morceau sont illustrées à travers une mini-bande dessinée visible dans le livret) que musical (orchestrations poussées - quoiqu'un peu cheesy - riffs lourds, interludes légers à base de cordes, de clavecins et de glockenspiels, chant interprétant plusieurs personnages via différentes tessitures) qui donne (à cet album) un univers propre (et surtout incroyablement varié) dans lequel je n'ai eu aucun mal à pénétrer.

On retrouve des similitudes à l'univers de Tim Burton et à celui de Rayman (Oui oui, la série de jeux-vidéos et son personnage sans bras, ni jambes, aux cheveux hélico) dans sa tonalité enfantine, fantastique et légèrement mélancolique.

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Il m'était impossible de ne pas inclure dans mon top un album de Metallica. Bien qu'ils m'exaspèrent de plus en plus, ils ont marqué à jamais le genre, surtout dans les années 80.

Et s'il y a bien un album dont je n'arrive pas à me lasser, c'est bien Ride The Lightning. Les gars, on sent qu'ils étaient dans une créativité folle, et sans limite, avec de surcroit énormément de conviction dans l'exécution. Ça tabasse, c'est épique, on voyage, et on en prend plein la gueule. Tous les morceaux sont des petits chefs d’œuvre sur quasiment tous les plans, la production est très immersive et froide (avec également cet arrière-goût de cadavres de bière trainant dans les coins d'un garage poussiéreux), de sorte que même un "Escape" arrive à avoir autant d'intérêt que les autres morceaux de l'album par son aspect simpliste et addictif.

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Un peu à l'instar d'Opeth, j'ai découvert la majorité des albums de Mastodon très récemment, dont celui-ci. "Crack The Skye" correspond en fait à un changement dans le style du groupe, moins brutal, moins sludge, aux sonorités plus lisibles et plus claires, que l'on retrouve traduites par l'arrivée de Brann Dailor en tant que chanteur principal sur deux des sept pistes, et qui sera croissant les années à venir.

En fait, cet album c'est en quelque sorte un consensus. Ce n'est pas à proprement parler mon préféré de la discographie du groupe, mais objectivement c'est clairement le plus abouti. Et j'ai toujours grand plaisir à l'écouter (Ghost Of Karelia, l'intro de The Czar et la machine de guerre qui est The Last Baron notamment).

J'ai une légère préférence pour le récent "Emperor Of Sand" que j'ai torché comme jamais. Mais du fait qu'il soit sorti (trop) récemment et de par sa nature plus mainstream et plus consensuelle, j'ai préféré ne pas l'intégrer à ce top.

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Cannibal Corpse fait parti de mes groupes préférés. Cependant, j'ai énormément hésité avant de pouvoir donner une préférence à un album en particulier ... Tomb Of The Mutilated? The Bleeding? Bloodthirsty? Torture? ... Hmm, après réflexion, ce dernier semblait pouvoir tenir le rôle. Et pourquoi celui-là plutôt qu'un autre? Parce qu'il tabasse. Et il tabasse très fort. Cet album est d'une lourdeur extrême, ce qui m'avait surpris à l'époque, le groupe étant surtout connu pour avoir une production très sèche et incisive. Bah pas là, c'est gras et heavy, mais toujours aussi bourrin et précis dans l’exécution. On est vraiment happé par cette masse, on a l'impression d'être atteins d'une démence destructrice totalement salvatrice.

Cet album est une énorme baffe dans la gueule.

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Groupe éphémère, qu'est Control Denied. Et quel dommage. Side-project de Chuck Schuldiner de Death, la musique est moins brutale que son projet phare, avec la présence d'un chant clair, typé Heavy, mais avec des compos tout aussi ambitieuses que ce qu'il proposait avec Death à l'époque. Très progressif, avec des plans audacieux, de grandes envolées guitaristiques et une putain de basse fretless qui est toujours la bienvenue.

Le projet est très mature et ne comporte que des pépites. Malheureusement, le groupe ne perdura pas, la faute au décès de Schuldiner deux années plus tard, laissant un hypothétique deuxième album posthume qui ne verra vraisemblablement jamais le jour.

D'ailleurs, si vous appréciez le chant de Tim Aymar sur cet album, je vous conseille d'écouter le groupe de Heavy américain "Pharaoh" dans lequel il officie également.

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Le genre d'album qui te réconcilie avec le Thrash. (en même temps les gars sont fans de Voïvod, ça pouvait que bien se passer).

Premier album des américains de Vektor. Du Thrash Science-Fiction ultra dense qui en met plein la gueule, une avalanche de riffs tous très inspirés, une vibe et des structures ultra progressives, une voix hurlée à la mort comme on en a rarement entendu (ces envolées démentielles sur Forest Of Legends (!!!)), des petits arpèges bien sentis ça et là. "Black Future" de Vektor ne révolutionne pas à proprement parler le genre mais le modernise, lui qui peinait à se renouveler.

Le seul reproche que je lui ferait c'est que ça manque un peu de respiration. Après avoir englouti les 68 minutes du disque, on en ressort totalement rincé.

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J'ai hésité à le mettre dans mon top celui-là, il était tellement évident à y figurer que je l'ai totalement occulté. Et pourtant c'est évidemment une référence.

Alors, pourquoi cet album a-t-il marché, au détriment d'autres? Alors, comme souvent, c'est les mêmes ingrédients qui reviennent, efficacité, qualité du songwriting et de la structure, diversité des riffs - ça sautille par moment, comme sur Holy Wars - ou une production équilibrée, ni trop propre ni trop crade, ce qui explique son grand succès, totalement mérité.

J'ai d'ailleurs découvert le groupe ado, en écoutant "Tornado Of Souls", j'ai accroché tout de suite. Beaucoup plus qu'avec Metallica, même si ces derniers se sont bien plus aventurés que Megadeth.

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Tout comme Opeth et Mastodon, Gojira est un groupe que j'ai apprécié sur le tard, et je ne saurai pas vraiment dire pourquoi.

En tout cas, la découverte de "The Way Of All Flesh", récente donc, m'a fait prendre conscience du potentiel de ces gaillards. C'est ultra-puissant, précis, technique sans être redondant. J'aime cet espèce d'alliage entre les "tappings à outrance groovy et les patterns vocaux de Joe Duplantier bidouillés au vocoder" qui selon moi est la marque de fabrique, la quintessence du style Gojira (A Sight To Behold! Coup de coeur ultime! ...)

Alors pourquoi cet album en particulier? En fait c'est surtout au niveau de la production. J'ai un peu de mal avec les deux premiers albums. From Mars To Sirius est très bon, mais y'a beaucoup de phases qui m'emmerdent. Alors que sur "The Way Of All Flesh", le groupe n'a jamais autant groové, même si certains morceaux ont pour moi quelques faiblesse (Vacuity notamment)

Et puis, sur les deux albums qui suivent (L'Enfant Sauvage et Magma) c'est les compositions que je trouve moins marquantes.

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Alors là, on va partir loin. Sur quelque chose d'assez improbable.

Du Disco Doom.

Oui, oui, du disco doom. Chrome Hoof. Un genre d'extraterrestre hybride à cheval sur pleins de styles musicaux aussi différents les uns les autres que pertinents. Et c'est très varié, y'a du prog, du zeuhl, de la funk, et of course, du metal.

Side-project de Leo Smee, l'ancien bassiste de Cathedral, célèbre groupe de doom anglais.

En fait cette formation représente vraiment tout ce que je souhaite trouver quand je cherche de nouveaux groupes, de nouveaux sons: de la puissance, de la créativité, de la diversité, et de la surprise. Et avec eux, je suis gâté.

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Il faut pas grand chose à chaque fois pour que Stratovarius nous sorte des albums parfaits, c'est dommage. Et c'est à l'image de leur discographie. Il y a des titres monumentaux, épiques, des ambiances ultra éthérées et cosmiques, mais y'a toujours 2-3 morceaux sans relief, plats qui viennent tout gâcher. Oh.

Et en fait, Episode est un des rares albums qui correspond le moins à ce dont je viens de parler; tous les titres sont solides et grandiloquents, tout est fait pour transcender l'auditeur, comme s'il se trouvait, vaillant, en plein cœur du Colisée, combattant moult animaux et gladiateurs et provoquant d'un point rageur César, comme lui démontrant son immortalité. Ouais!

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J'ai découvert ce groupe, probablement par hasard, sans doute happé par cette pochette totalement barrée. Lesbian (c'est bizarre comme nom pour du Sludge Progressif ça non?) propose du ... Sludge Progressif du coup. Où les ambiances sont très travaillées, les morceaux longs, les sons de guitares dégueulasses mais pas trop, deux chanteurs au timbre très proche d'un Troy Sanders (Mastodon) ... En fait, j'ai reçu une grosse claque immédiate.

J'aurai espérer les voir un jour en concert mais ils ont splitté malheureusement peu de temps après. C'est un groupe qui a très peu de renommée, c'est dommage, ils auraient mérité meilleur reconnaissance. En tout cas pour moi c'est un album mythique!

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Ah, Rings Of Saturn, les précurseurs de l'aliencore bien sûr. (en gros, c'est du deathcore avec plein de sweeping et de sons gameboy-like, en gros)

J'en ai évidemment pris plein la gueule quand j'ai découvert leur musique, c'était avec "Dingir". Depuis ils ont sorti le très très bon "Lugal Ki En" et donc Ultu Ulla, deux ans plus tard. Et c'est celui-là qui m'a tout simplement le plus plu, tout simplement parce que c'est le moins démonstratif, où ça respire le plus, où les mélodies, le riffage est le plus abouti. Tout simplement. Probablement du à la présence de Miles Dimitri Baker de Interloper à la deuxième guitare et à la composition, c'est pas à exclure.

Morceaux marquants: Servant Of This Sentience, The Relic, The Macrocosm, Prognosis Confirmed (vers la fin avec ce pattern batterie en contre-temps juste jouissif)

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Je me rappelle, c'était un pote qui m'avait fait découvrir Igorrr à l'époque où ce dernier n'avait sorti que des démos, dont le surpuissant "Poisson Soluble", je trouvais ce disque génial, improbable, ces mélanges des genres, ce processus de création un peu nouveau, c'était fascinant ... Par la suite, j'ai décroché et je n'ai pas fait attention à sa carrière qui prenait de l'ampleur au fil de ses sorties, jusqu'à ce que j'écoute récemment ce "Savage Sinusoid".

Alors, c'est toujours aussi barré, mais c'est beaucoup plus professionnel, avec la présence de deux chanteurs, un féminin, l'autre masculin, qui grommellent, chantonnent ou hurlent des choses qui n'ont aucune signification, c'est tout ce qu'on demande.

C'est devenu propre, mais c'est toujours aussi surprenant. Un de mes albums coup de cœur de cette année.

Titres marquants: Opus Brain, Houmous, Spaghetti Forever, Ieud.

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J'ai pas perdu de temps avec ce groupe. Youtube me fit la suggestion d'écouter ça, la pochette était magnifique, j'ai écouté les premières secondes, et juste après que ça soit parti, j'ai tout de suite cherché un moyen de me procurer l'album, donc de le commander et le recevoir une semaine plus tard ...

Et je l'ai torché comme jamais, j'ai rarement ressenti un tel engouement pour un groupe aussi rapidement. Le truc un peu chiant, c'est qu'en encodant le disque en mp3 sur mon pc je me suis dis que ça ferait plus "trve" de l'encoder en cyrillique (les gars sont ukrainiens), alors qu'en fait, non c'est une idée à la con ...

Et puis, concernant leur background politique douteux, n'étant pas forcément politiquement correct j'avoue je m'en fous un peu. Et puis dans le black et le pagan c'est récurent, on sait dans quoi on s'embarque donc bon. Polémiques inutiles selon moi.